Le président de la République n'a pas caché ses craintes de la situation qui prévaut aux frontières sud du pays. Le chef de l'Etat estime que la situation au Mali et le terrorisme sont un danger pour notre sécurité. « Notre sécurité est mise en danger par la situation au Mali à notre frontière Sud et par les manifestations sporadiques d'un terrorisme que nous n'avons de cesse de combattre » a-t-il souligné dans un message adressé au SG de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, et aux travailleurs algériens, à l'occasion du double anniversaire de la création de l'UGTA (24 février 1956) et la nationalisation des hydrocarbures (24 février 1971). Dans ce contexte, Bouteflika relève que « ce qui s'est passé dernièrement à In Amenas en est une illustration édifiante, qui a mis en lumière la cruauté des bandes terroristes, mais en même temps le savoir-faire de notre armée, de nos services de sécurité, qui ont su mettre fin à cette agression contre l'une des installations les plus importantes de notre pays ». Le chef de l'Etat a rendu un hommage « particulier » aux officiers, soldats et membres des services de sécurité et ceux de la Protection civile, dont, a-t-il précisé, « l'intervention a fait notre admiration et celle de l'opinion internationale ». Il s'est incliné également « à la mémoire des travailleurs algériens et des étrangers qui ont perdu leur vie lors de ce lâche attentat » et exprime son « admiration » et sa « gratitude à ceux d'entre eux qui, par leur sang-froid et leur attitude courageuse, ont permis la sauvegarde des installations et de l'outil de production ». Dans ce même message, Bouteflika évoque également la jeunesse algérienne qui constitue selon lui, le « véritable capital » du pays et qu'elle devrait être préparée pour assumer sa responsabilité de demain. « Notre véritable capital réside dans notre jeunesse, que nous devons préparer à assumer sa responsabilité de demain et pour laquelle nous devons tout faire pour lui léguer un pays apaisé et capable de tenir son rang au sein de la communauté internationale », a-t-il souligné. A propos du double anniversaire du 24 février, le chef de l'Etat indique que ces dates « comptent parmi (celles) qui jalonnent notre histoire et qui marquent chacune une étape dans l'évolution de notre pays vers plus de prospérité, plus de progrès, plus de maturité ». Pour Bouteflika, « ces deux dates, sont associées à des événements de très haute importance pour l'Algérie», rappelant que la première est liée à la naissance de l'UGTA et la seconde est celle de la nationalisation des hydrocarbures. Dans ce sens, il affirme que « la commémoration, aujourd'hui, de ces deux événements nous invite d'abord à un retour sur notre histoire et rendre hommage à tous ceux et toutes celles qui y ont apporté leur contribution et consenti des sacrifices pour lesquels nous leur devons une reconnaissance éternelle ». Concernant le développement socio-économique de l'Algérie, le président de la République a souligné qu'il nécessitait « davantage » d'efforts et de sacrifices, mais aussi une « efficacité » dans la gestion et une préservation de l'outil de production nationale, appelant les Algériens à « se tourner vers l'avenir et les défis qu'il nous réserve». «Nos sacrifices et nos efforts seront encore nécessaires pour aller de l'avant et satisfaire les ambitions que nous nourrissons pour l'Algérie », a-t-il conclu son message. Le président de la République n'a pas caché ses craintes de la situation qui prévaut aux frontières sud du pays. Le chef de l'Etat estime que la situation au Mali et le terrorisme sont un danger pour notre sécurité. « Notre sécurité est mise en danger par la situation au Mali à notre frontière Sud et par les manifestations sporadiques d'un terrorisme que nous n'avons de cesse de combattre » a-t-il souligné dans un message adressé au SG de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, et aux travailleurs algériens, à l'occasion du double anniversaire de la création de l'UGTA (24 février 1956) et la nationalisation des hydrocarbures (24 février 1971). Dans ce contexte, Bouteflika relève que « ce qui s'est passé dernièrement à In Amenas en est une illustration édifiante, qui a mis en lumière la cruauté des bandes terroristes, mais en même temps le savoir-faire de notre armée, de nos services de sécurité, qui ont su mettre fin à cette agression contre l'une des installations les plus importantes de notre pays ». Le chef de l'Etat a rendu un hommage « particulier » aux officiers, soldats et membres des services de sécurité et ceux de la Protection civile, dont, a-t-il précisé, « l'intervention a fait notre admiration et celle de l'opinion internationale ». Il s'est incliné également « à la mémoire des travailleurs algériens et des étrangers qui ont perdu leur vie lors de ce lâche attentat » et exprime son « admiration » et sa « gratitude à ceux d'entre eux qui, par leur sang-froid et leur attitude courageuse, ont permis la sauvegarde des installations et de l'outil de production ». Dans ce même message, Bouteflika évoque également la jeunesse algérienne qui constitue selon lui, le « véritable capital » du pays et qu'elle devrait être préparée pour assumer sa responsabilité de demain. « Notre véritable capital réside dans notre jeunesse, que nous devons préparer à assumer sa responsabilité de demain et pour laquelle nous devons tout faire pour lui léguer un pays apaisé et capable de tenir son rang au sein de la communauté internationale », a-t-il souligné. A propos du double anniversaire du 24 février, le chef de l'Etat indique que ces dates « comptent parmi (celles) qui jalonnent notre histoire et qui marquent chacune une étape dans l'évolution de notre pays vers plus de prospérité, plus de progrès, plus de maturité ». Pour Bouteflika, « ces deux dates, sont associées à des événements de très haute importance pour l'Algérie», rappelant que la première est liée à la naissance de l'UGTA et la seconde est celle de la nationalisation des hydrocarbures. Dans ce sens, il affirme que « la commémoration, aujourd'hui, de ces deux événements nous invite d'abord à un retour sur notre histoire et rendre hommage à tous ceux et toutes celles qui y ont apporté leur contribution et consenti des sacrifices pour lesquels nous leur devons une reconnaissance éternelle ». Concernant le développement socio-économique de l'Algérie, le président de la République a souligné qu'il nécessitait « davantage » d'efforts et de sacrifices, mais aussi une « efficacité » dans la gestion et une préservation de l'outil de production nationale, appelant les Algériens à « se tourner vers l'avenir et les défis qu'il nous réserve». «Nos sacrifices et nos efforts seront encore nécessaires pour aller de l'avant et satisfaire les ambitions que nous nourrissons pour l'Algérie », a-t-il conclu son message.