Le mensuel Afrique Asie a consacré un dossier spécial à l'Algérie où il revient sur l'hommage rendu par le président de la République. Abdelaziz Bouteflika, à l'Armée nationale populaire (ANP), après la mise en échec d'un commando terroriste à Tiguentourine (In Amenas) en janvier dernier, en soulignant la continuité entre la lutte de libération et le combat pour la souveraineté nationale. Le mensuel Afrique Asie a consacré un dossier spécial à l'Algérie où il revient sur l'hommage rendu par le président de la République. Abdelaziz Bouteflika, à l'Armée nationale populaire (ANP), après la mise en échec d'un commando terroriste à Tiguentourine (In Amenas) en janvier dernier, en soulignant la continuité entre la lutte de libération et le combat pour la souveraineté nationale. L a "voie de fermeté" imposée par le président Bouteflika contre le terrorisme, a également été évoquée par le mensuel dans son numéro du mois de mars, paraissant vendredi. "Ce n'est sans doute pas fortuit : le président Abdelaziz Bouteflika a choisi la journée du Chahid, traditionnellement réservée à la célébration du souvenir des résistants tombés en martyrs pendant la guerre d'indépendance contre le colonialisme français, pour célébrer l'exploit accompli par l'armée à In Amenas en janvier dernier", écrit le mensuel dans une longue analyse signée par Philipe Lebeaud, intitulée " Aujourd'hui et hier, même combat". "Celle-ci a mis en échec un commando terroriste lourdement armé, déterminé à faire le maximum de dégâts matériels et humains en faisant sauter le site gazier", note le mensuel qui fait valoir que le chef de l'Etat a voulu établir une filiation entre "ceux tombés les armes à la main pour libérer leur pays et ceux (..) qui, dans la continuité, restent vigilants, prêts au sacrifice suprême pour écarter tout danger menaçant la patrie". Il rappelle alors le discours du président Bouteflika, prononcé à l'occasion de la journée du Chahid où il affirmait que "Les héros de la bataille d'In Amenas ont prouvé par leur efficacité, leur précision et leur professionnalisme qu'ils sont les successeurs incontestés et incontestables de nos valeureux Chouhada et que l'Armée nationale populaire (ANP) est bien la digne héritière de l'Armée de libération nationale (ALN). Le mensuel souligne également que les forces armées algériennes "n'ont pas ménagé leurs efforts ces dernières années pour traquer et anéantir les groupes terroristes" et qu'elles ont payé "un lourd tribut à cette lutte implacable" L'armée, en première ligne pour la défense des frontière s Le rôle de l'ANP, dans la défense des frontières, a également été souligné par le mensuel qui observe que cette mission est "déjà difficile en temps normal du fait du nombre et de la longueur de ces frontières (à) et qu'elle s'est encore compliquée ces derniers mois par l'apparition de menaces générées par les mal nommés « printemps arabes », notamment dans les deux pays voisins, la Libye et la Tunisie". "La guerre du Mali conséquence immédiate de l'effondrement de l'Etat libyen et de la dispersion à grande échelle des arsenaux de guerre du colonel Kadhafi, n'en est qu'à ses débuts", craint le mensuel. Afrique Asie soutient enfin que le président Bouteflika, avait mis en garde les Algériens dès 2010 "contre les conséquences désastreuses sur le Maghreb et le Sahel de ces «printemps arabes» et de leurs dérives...". Afrique Asie, souligne également que le chemin "long et semé d'embûches", emprunté "seule" par l'Algérie "au milieu du scepticisme général, et parfois d'une certaine hostilité", lui a permis de retrouver "une stabilité ébranlée par la «décennie rouge» du terrorisme et sa place dans le concert International". Enfin, saluant le rôle des forces de sécurité, dans la lutte antiterroriste, Afrique Asie souligne que leurs partenaires dans la lutte mondiale contre ce phénomène transnational, souvent venus à Alger échanger leurs informations et confronter leurs expériences avec les responsables de la lutte antiterroriste du pays, "reconnaissent volontiers leur professionnalisme". L a "voie de fermeté" imposée par le président Bouteflika contre le terrorisme, a également été évoquée par le mensuel dans son numéro du mois de mars, paraissant vendredi. "Ce n'est sans doute pas fortuit : le président Abdelaziz Bouteflika a choisi la journée du Chahid, traditionnellement réservée à la célébration du souvenir des résistants tombés en martyrs pendant la guerre d'indépendance contre le colonialisme français, pour célébrer l'exploit accompli par l'armée à In Amenas en janvier dernier", écrit le mensuel dans une longue analyse signée par Philipe Lebeaud, intitulée " Aujourd'hui et hier, même combat". "Celle-ci a mis en échec un commando terroriste lourdement armé, déterminé à faire le maximum de dégâts matériels et humains en faisant sauter le site gazier", note le mensuel qui fait valoir que le chef de l'Etat a voulu établir une filiation entre "ceux tombés les armes à la main pour libérer leur pays et ceux (..) qui, dans la continuité, restent vigilants, prêts au sacrifice suprême pour écarter tout danger menaçant la patrie". Il rappelle alors le discours du président Bouteflika, prononcé à l'occasion de la journée du Chahid où il affirmait que "Les héros de la bataille d'In Amenas ont prouvé par leur efficacité, leur précision et leur professionnalisme qu'ils sont les successeurs incontestés et incontestables de nos valeureux Chouhada et que l'Armée nationale populaire (ANP) est bien la digne héritière de l'Armée de libération nationale (ALN). Le mensuel souligne également que les forces armées algériennes "n'ont pas ménagé leurs efforts ces dernières années pour traquer et anéantir les groupes terroristes" et qu'elles ont payé "un lourd tribut à cette lutte implacable" L'armée, en première ligne pour la défense des frontière s Le rôle de l'ANP, dans la défense des frontières, a également été souligné par le mensuel qui observe que cette mission est "déjà difficile en temps normal du fait du nombre et de la longueur de ces frontières (à) et qu'elle s'est encore compliquée ces derniers mois par l'apparition de menaces générées par les mal nommés « printemps arabes », notamment dans les deux pays voisins, la Libye et la Tunisie". "La guerre du Mali conséquence immédiate de l'effondrement de l'Etat libyen et de la dispersion à grande échelle des arsenaux de guerre du colonel Kadhafi, n'en est qu'à ses débuts", craint le mensuel. Afrique Asie soutient enfin que le président Bouteflika, avait mis en garde les Algériens dès 2010 "contre les conséquences désastreuses sur le Maghreb et le Sahel de ces «printemps arabes» et de leurs dérives...". Afrique Asie, souligne également que le chemin "long et semé d'embûches", emprunté "seule" par l'Algérie "au milieu du scepticisme général, et parfois d'une certaine hostilité", lui a permis de retrouver "une stabilité ébranlée par la «décennie rouge» du terrorisme et sa place dans le concert International". Enfin, saluant le rôle des forces de sécurité, dans la lutte antiterroriste, Afrique Asie souligne que leurs partenaires dans la lutte mondiale contre ce phénomène transnational, souvent venus à Alger échanger leurs informations et confronter leurs expériences avec les responsables de la lutte antiterroriste du pays, "reconnaissent volontiers leur professionnalisme".