L'Association "Kalima pour la culture et l'information" a récompensé, mercredi à Alger, l'écrivain Ahmed Ben Naâmane pour son apport intellectuel et scientifique lors d'une cérémonie organisée à l'occasion de la célébration de la Journée arabe de la langue arabe. L'Association "Kalima pour la culture et l'information" a récompensé, mercredi à Alger, l'écrivain Ahmed Ben Naâmane pour son apport intellectuel et scientifique lors d'une cérémonie organisée à l'occasion de la célébration de la Journée arabe de la langue arabe. Dans son allocution d'ouverture à l'amphithéâtre Ben Baâtouche à la faculté centrale, le président de l'association, le poète Abderrezak Mezghiche a rappelé le riche parcours de cette personnalité que ce soit avant la guerre de Libération ou après l'Indépendance en tant que cadre supérieur au sein de différentes institutions de l'Etat. Plusieurs personnalités, présentes à cette cérémonie, ont témoigné de la lutte et de l'apport d'Ahmed Ben Naâname durant les 50 dernières années qu'il a passées à écrire et à effectuer des recherches dans les domaines culturel, scientifique, religieux, politique et sociologique. Les intervenants se sont relayés pour évoquer les aspects inconnus de cette personnalité digne de respect qui ont permis d'acquérir une place de choix parmi l'élite intellectuelle. Le président de l'association des ulémas musulmans algériens, Abderrezak Guessoum a, dans ce contexte, indiqué que Ahmed Ben Naâmane, auteur de 24 ouvrages en sciences islamiques, histoire et linguistique, a consacré sa vie à la science, la recherche et la propagation de ses idées qu'il n'a cessé de défendre. Le président de l'association de défense de la langue arabe, Othmane Saadi a, quant à lui, souligné que "Ahmed Ben Naâmane était fidèle à ses principes et ses convictions avec comme seul souci, la préservation de l'unité nationale, de la langue arabe et de l'islam". Lamine Bechichi, ancien ministre, a de son côté, abordé les spécificités et caractéristiques militantes et scientifiques de cette personnalité prolifique connue pour sa sympathie, "son humour et sa sagesse", mettant en exergue son "enthousiasme" à défendre la langue arabe. De l'avis des intervenants, la nation doit conférer à ses enfants de la trempe de Ben Naâmane la place qu'il méritent et faire connaître leurs œuvres aux générations montantes afin qu'elles suivent les traces de leurs aînés. Ahmed Ben Naâmane a reçu comme cadeau symbolique un burnous et une gandoura de la wilaya de Djelfa. M. Ben Naâmane a exprimé sa joie pour ce geste symbolique, appelant à suivre l'exemple des aînés qui, a-t-il dit, "en dépit des moyens matériels modestes et le joug colonial ont réussi à préserver l'identité nationale et la langue arabe." Dans son allocution d'ouverture à l'amphithéâtre Ben Baâtouche à la faculté centrale, le président de l'association, le poète Abderrezak Mezghiche a rappelé le riche parcours de cette personnalité que ce soit avant la guerre de Libération ou après l'Indépendance en tant que cadre supérieur au sein de différentes institutions de l'Etat. Plusieurs personnalités, présentes à cette cérémonie, ont témoigné de la lutte et de l'apport d'Ahmed Ben Naâname durant les 50 dernières années qu'il a passées à écrire et à effectuer des recherches dans les domaines culturel, scientifique, religieux, politique et sociologique. Les intervenants se sont relayés pour évoquer les aspects inconnus de cette personnalité digne de respect qui ont permis d'acquérir une place de choix parmi l'élite intellectuelle. Le président de l'association des ulémas musulmans algériens, Abderrezak Guessoum a, dans ce contexte, indiqué que Ahmed Ben Naâmane, auteur de 24 ouvrages en sciences islamiques, histoire et linguistique, a consacré sa vie à la science, la recherche et la propagation de ses idées qu'il n'a cessé de défendre. Le président de l'association de défense de la langue arabe, Othmane Saadi a, quant à lui, souligné que "Ahmed Ben Naâmane était fidèle à ses principes et ses convictions avec comme seul souci, la préservation de l'unité nationale, de la langue arabe et de l'islam". Lamine Bechichi, ancien ministre, a de son côté, abordé les spécificités et caractéristiques militantes et scientifiques de cette personnalité prolifique connue pour sa sympathie, "son humour et sa sagesse", mettant en exergue son "enthousiasme" à défendre la langue arabe. De l'avis des intervenants, la nation doit conférer à ses enfants de la trempe de Ben Naâmane la place qu'il méritent et faire connaître leurs œuvres aux générations montantes afin qu'elles suivent les traces de leurs aînés. Ahmed Ben Naâmane a reçu comme cadeau symbolique un burnous et une gandoura de la wilaya de Djelfa. M. Ben Naâmane a exprimé sa joie pour ce geste symbolique, appelant à suivre l'exemple des aînés qui, a-t-il dit, "en dépit des moyens matériels modestes et le joug colonial ont réussi à préserver l'identité nationale et la langue arabe."