Dirigé par les islamistes d'Ennahda, le nouveau gouvernement doit résoudre une crise institutionnelle, des problèmes économiques et juguler la menace extrémiste. L'islamiste Ali Larayedh a annoncé vendredi la composition du nouveau gouvernement tunisien, constitué de représentants des partis de l'alliance sortante élargie à des indépendants, en promettant que cette équipe quitterait ses fonctions fin 2013, après des élections. "J'ai présenté au président (Moncef Marzouki) le dossier comprenant la composition du nouveau gouvernement et un résumé du programme du gouvernement", a déclaré à la télévision le ministre de l'Intérieur sortant, appelé à devenir Premier ministre, avant d'annoncer les noms des membres du cabinet. "Nous prévoyons que la composition du gouvernement obtiendra la confiance des députés", a-t-il ajouté. Le parti islamiste Ennahda et ses deux alliés laïques, le Congrès pour la République de M. Marzouki et Ettakatol, contrôlent, en effet, plus de 109 des 217 sièges de l'Assemblée nationale constituante (ANC), la majorité nécessaire à l'approbation du cabinet. Dirigé par les islamistes d'Ennahda, le nouveau gouvernement doit résoudre une crise institutionnelle, des problèmes économiques et juguler la menace extrémiste. L'islamiste Ali Larayedh a annoncé vendredi la composition du nouveau gouvernement tunisien, constitué de représentants des partis de l'alliance sortante élargie à des indépendants, en promettant que cette équipe quitterait ses fonctions fin 2013, après des élections. "J'ai présenté au président (Moncef Marzouki) le dossier comprenant la composition du nouveau gouvernement et un résumé du programme du gouvernement", a déclaré à la télévision le ministre de l'Intérieur sortant, appelé à devenir Premier ministre, avant d'annoncer les noms des membres du cabinet. "Nous prévoyons que la composition du gouvernement obtiendra la confiance des députés", a-t-il ajouté. Le parti islamiste Ennahda et ses deux alliés laïques, le Congrès pour la République de M. Marzouki et Ettakatol, contrôlent, en effet, plus de 109 des 217 sièges de l'Assemblée nationale constituante (ANC), la majorité nécessaire à l'approbation du cabinet.