La marche des chomeurs du sud du pays, jeudi à Ouargla, a été, incontestablement une grande réussite. Ayant suscitée de grandes appréhensions ça et là, cette marche, s'est finalement dans de bonnes conditions ce d'autant que, contrairement à certains prévisions, elle n'a connu aucun incident majeur. La marche des chomeurs du sud du pays, jeudi à Ouargla, a été, incontestablement une grande réussite. Ayant suscitée de grandes appréhensions ça et là, cette marche, s'est finalement dans de bonnes conditions ce d'autant que, contrairement à certains prévisions, elle n'a connu aucun incident majeur. La marche a été bien encadrée par les organisateurs et les forces de forces de l'ordre, bien que présentes en grand nombre, se sont distingués par leur discrétion. L'aspect pacifique de cette marche, qui est une première dans le sud du pays, a été respecté par les organisateurs de cette grande manifestation. Ainsi donc plusieurs milliers de personnes, de jeunes chomeurs pour la plupart, ont répondu présent à l'appel du Comité national de défense des droits des chômeurs (CNDDC). La place attenante à la mairie de Ouargla s'est avérée étroite pour contenir cette marée humaine. Venus de plusieurs wilayas et villes du sud du pays, ces jeunes et moins jeunes, ont crié haut et fort leur colère avec des slogans qui expriment leur ras-le-bol par rapport à leurs conditions de chomeurs, de marginalisés et d'exclus du marche du travail. « Non à la fitna dans le pays ! L'Algérie appartient à tous ! », « Nord-Sud, l'Algérie dans les cœurs », « Les jeunes veulent du travail » et « Unité nationale : ligne rouge », « nous voulons vivre dignement », ont été les principaux slogans scandés par les manifestants. L'emblème national, a été présent en force au cours de cette manifestation. Une manière pour les manifestants de démentir tous les soupçons qui pesaient sur les organisateurs et leurs visées régionalistes. D'aucuns ont accusé le CNDDC de vouloir créer la zizanie entre le nord et le sud du pays, dont l'objectif de saper l'unité nationale. Mais tout cela a été démenti avec force par les animateurs de CNDDC lors de leurs interventions car tous ont mis l'accent sur le caractère sacré de l'unité nationale, tout en mettant e exergue leurs revendications relatives à l'emploi. Le CNDDC a, on s'en doute, exprimé son entière satisfaction et ce malgré certaines manœuvres tendant à faire avorter cette action. Il faut dire que de nombreuses parties sont intervenues en vue de cette perspective. Les autorités locales de Ouargla particulièrement qui ont donné des gages quant à la prise en charge des revendications des chomeurs. Sidi Saïd, le secrétaire général de l'UGTA, est sorti de sa longue léthargie, et a fait le déplacement à Ouargla en vue de dissuader les jeunes de passer à l'action. Les dignitaires de la région se sont, eux aussi, mis de la partie. Soumis ainsi à une très forte pression le CNDDC, qui a connu une scission, a pourtant tenu bon face à ces pressions en réussissant la gageure de rassembler des milliers de jeunes chomeurs à Ouargla et d'interpeller ainsi le gouvernement. IL faut dire que cette marche a été un succès avant qu'elle n'ait lieu. Dés l'annonce de la marche le gouvernement a tout mis en œuvre pour rassurer les chomeurs, reconnaissant ainsi implicitement la légitimité de leurs revendications. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a émis une circulaire dans laquelle il est explicitement dit que les chomeurs de la région Sud ont la priorité s'agissant de l'accès à l'emploi dans les entreprises pétrolières, Sonatrach en tête. La circulaire du Premier ministre continent aussi d'autres mesures à même de mettre fin au chômage d'une bonne partie des jeunes de la région. Des comités intersectoriels de suivi du dossier de l'emploi à Illizi, Tindouf, Adrar et Tamanrasset ont été mis en place avant-hier jeudi. C'est dire combien l'action du CNDDC a été, finalement, très payante puisque elle a poussé le gouvernement a engagé des actions concrètes pour l'emploi au profit des jeunes chomeurs du Sud. Sellal effectuera aujourd'hui une visite dans la wilaya de Béchar ou il ne manquera pas certainement de préciser davantage les intentions du gouvernement. Mais d'ores et déjà, à en croire les animateurs du CNDDC, l'exécutif est très favorable au dialogue avec les chômeurs de la région. La marche a été bien encadrée par les organisateurs et les forces de forces de l'ordre, bien que présentes en grand nombre, se sont distingués par leur discrétion. L'aspect pacifique de cette marche, qui est une première dans le sud du pays, a été respecté par les organisateurs de cette grande manifestation. Ainsi donc plusieurs milliers de personnes, de jeunes chomeurs pour la plupart, ont répondu présent à l'appel du Comité national de défense des droits des chômeurs (CNDDC). La place attenante à la mairie de Ouargla s'est avérée étroite pour contenir cette marée humaine. Venus de plusieurs wilayas et villes du sud du pays, ces jeunes et moins jeunes, ont crié haut et fort leur colère avec des slogans qui expriment leur ras-le-bol par rapport à leurs conditions de chomeurs, de marginalisés et d'exclus du marche du travail. « Non à la fitna dans le pays ! L'Algérie appartient à tous ! », « Nord-Sud, l'Algérie dans les cœurs », « Les jeunes veulent du travail » et « Unité nationale : ligne rouge », « nous voulons vivre dignement », ont été les principaux slogans scandés par les manifestants. L'emblème national, a été présent en force au cours de cette manifestation. Une manière pour les manifestants de démentir tous les soupçons qui pesaient sur les organisateurs et leurs visées régionalistes. D'aucuns ont accusé le CNDDC de vouloir créer la zizanie entre le nord et le sud du pays, dont l'objectif de saper l'unité nationale. Mais tout cela a été démenti avec force par les animateurs de CNDDC lors de leurs interventions car tous ont mis l'accent sur le caractère sacré de l'unité nationale, tout en mettant e exergue leurs revendications relatives à l'emploi. Le CNDDC a, on s'en doute, exprimé son entière satisfaction et ce malgré certaines manœuvres tendant à faire avorter cette action. Il faut dire que de nombreuses parties sont intervenues en vue de cette perspective. Les autorités locales de Ouargla particulièrement qui ont donné des gages quant à la prise en charge des revendications des chomeurs. Sidi Saïd, le secrétaire général de l'UGTA, est sorti de sa longue léthargie, et a fait le déplacement à Ouargla en vue de dissuader les jeunes de passer à l'action. Les dignitaires de la région se sont, eux aussi, mis de la partie. Soumis ainsi à une très forte pression le CNDDC, qui a connu une scission, a pourtant tenu bon face à ces pressions en réussissant la gageure de rassembler des milliers de jeunes chomeurs à Ouargla et d'interpeller ainsi le gouvernement. IL faut dire que cette marche a été un succès avant qu'elle n'ait lieu. Dés l'annonce de la marche le gouvernement a tout mis en œuvre pour rassurer les chomeurs, reconnaissant ainsi implicitement la légitimité de leurs revendications. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a émis une circulaire dans laquelle il est explicitement dit que les chomeurs de la région Sud ont la priorité s'agissant de l'accès à l'emploi dans les entreprises pétrolières, Sonatrach en tête. La circulaire du Premier ministre continent aussi d'autres mesures à même de mettre fin au chômage d'une bonne partie des jeunes de la région. Des comités intersectoriels de suivi du dossier de l'emploi à Illizi, Tindouf, Adrar et Tamanrasset ont été mis en place avant-hier jeudi. C'est dire combien l'action du CNDDC a été, finalement, très payante puisque elle a poussé le gouvernement a engagé des actions concrètes pour l'emploi au profit des jeunes chomeurs du Sud. Sellal effectuera aujourd'hui une visite dans la wilaya de Béchar ou il ne manquera pas certainement de préciser davantage les intentions du gouvernement. Mais d'ores et déjà, à en croire les animateurs du CNDDC, l'exécutif est très favorable au dialogue avec les chômeurs de la région.