En quelques mois, les éléments de la Gendarmerie nationale de Guelma ont réussi à démanteler pas moins de 30 réseaux de trafic en tous genres, alors que 50 trafiquants, parmi eux, trois femmes ont été arrêtés. En quelques mois, les éléments de la Gendarmerie nationale de Guelma ont réussi à démanteler pas moins de 30 réseaux de trafic en tous genres, alors que 50 trafiquants, parmi eux, trois femmes ont été arrêtés. Le Groupement de la Gendarmerie nationale de Guelma a frappé fort, ces derniers mois, en réussissant à démanteler pas moins de 30 réseaux de trafic de cheptel, de véhicules mais aussi de faux et usage de faux et agressions contre les personnes et leurs biens. Le bilan nous a été dévoilé par le colonel Guena Benouada, commandant de la GN de Guelma, lors d'un point de presse tenu au siège de la Gendarmerie de Guelma. "Dans la majorité des affaires que nous avons traité, au cours de ces derniers mois, il s'agit beaucoup plus des vols répétitifs des bétails, où plusieurs trafiquants ont été interpellés, à l'image de l'affaire du réseau national démantelé il y a quelques jours et où 26 trafiquants, parmi eux, une jeune fille de 28 ans, ont été arrêtés pour plusieurs vols de cheptels commis contre des éleveurs de bétail de Guelma", souligne le colonel Guena. Parlant de ce dernier réseau démantelé il y a deux semaines seulement, ce dernier est composé de 26 trafiquants où une jeune fille âgée de 28 ans est considérée comme le véritable cerveau de cette bande. Cette dernière travaille dans un cabaret à Guelma, où de nombreux éleveurs de bétails viennent ici, chaque nuit, pour passer des heures à boire de l'alcool et écouter la "gasba". Ces éleveurs ont été victimes de vols de plusieurs milliers de têtes de bétails (ovins et bovins) commis par le réseau de trafic qui est composé, faut-ile le rappeler, par 26 contrebandiers. C'est grâce aux renseignements fournis par la fille de cabaret que les trafiquants du réseau ont pu dépouiller les cheptels appartenant aux éleveurs. Cette dernière, étant donnée qu'elle fréquente régulièrement les éleveurs qui se présentent au cabaret, a pu gagner leur confiance et ces relations se sont retournées contre eux. Ceci dit, la jeune fille de Souk Ahras avait, tout au long de ces derniers mois, alimenté sous formes des renseignements, le réseau de trafic qui servaient à localiser les lieux des bétails appartenant aux éleveurs. Pis, la fille de cabaret savait les heures de présence des éleveurs au cabaret, comme elle était au courant du nombre de leurs bétails ainsi que le lieu de leurs maisons et firmes. Partant de cette "banque de données", la fille fournissait autant d'informations à ses acolytes qui, effectivement, au bout de plusieurs années de vols (depuis l'année 2008), sont arrivés à dépouiller des milliers de têtes d'ovins et bovins. Cette complicité reliant la fille avec le réseau de trafic de cheptel a pris fin avec l'arrestation de l'ensemble des accusés suite à une enquête diligentée par les gendarmes de Guelma. En effet, les éléments de la GN de Guelma ont agi suite à de nombreuses plaintes déposées par les éleveurs de cheptel qui ont vu leurs bétails volés par le réseau. par ailleurs, les gendarmes du même groupement ont traité aussi, durant ces derniers mois, d'autres affaires liées au trafic de véhicules, où la ville de Guelma a été sérieusement touchée par le fléau. En quelques mois seulement, pas moins de cinq réseaux ont été neutralisés par les enquêteurs gendarmes. En tout, plus d'une vingtaine de véhicules ont été saisis, tandis que 25 trafiquants ont été arrêtés. "Les trafiquants de véhicules s'intéressent à Guelma du fait des pistes qui existent dans cette région et qui mènent, facilement, vers d'autres wilayas du pays ce qui facilite le sale travail des trafiquants. Toutefois, nous établissons, chaque semaine, une nouvelle carte de crime suivant les itinéraires empruntés par les criminels, cela pour mieux les cerner et arriver à les arrêter. Grâce à cette carte de crime nous avons pu démanteler plusieurs réseaux de trafic de véhicules et récupérer plusieurs voitures volées à Guelma et ailleurs", ajoute le colonel lors du point de presse. Le Groupement de la Gendarmerie nationale de Guelma a frappé fort, ces derniers mois, en réussissant à démanteler pas moins de 30 réseaux de trafic de cheptel, de véhicules mais aussi de faux et usage de faux et agressions contre les personnes et leurs biens. Le bilan nous a été dévoilé par le colonel Guena Benouada, commandant de la GN de Guelma, lors d'un point de presse tenu au siège de la Gendarmerie de Guelma. "Dans la majorité des affaires que nous avons traité, au cours de ces derniers mois, il s'agit beaucoup plus des vols répétitifs des bétails, où plusieurs trafiquants ont été interpellés, à l'image de l'affaire du réseau national démantelé il y a quelques jours et où 26 trafiquants, parmi eux, une jeune fille de 28 ans, ont été arrêtés pour plusieurs vols de cheptels commis contre des éleveurs de bétail de Guelma", souligne le colonel Guena. Parlant de ce dernier réseau démantelé il y a deux semaines seulement, ce dernier est composé de 26 trafiquants où une jeune fille âgée de 28 ans est considérée comme le véritable cerveau de cette bande. Cette dernière travaille dans un cabaret à Guelma, où de nombreux éleveurs de bétails viennent ici, chaque nuit, pour passer des heures à boire de l'alcool et écouter la "gasba". Ces éleveurs ont été victimes de vols de plusieurs milliers de têtes de bétails (ovins et bovins) commis par le réseau de trafic qui est composé, faut-ile le rappeler, par 26 contrebandiers. C'est grâce aux renseignements fournis par la fille de cabaret que les trafiquants du réseau ont pu dépouiller les cheptels appartenant aux éleveurs. Cette dernière, étant donnée qu'elle fréquente régulièrement les éleveurs qui se présentent au cabaret, a pu gagner leur confiance et ces relations se sont retournées contre eux. Ceci dit, la jeune fille de Souk Ahras avait, tout au long de ces derniers mois, alimenté sous formes des renseignements, le réseau de trafic qui servaient à localiser les lieux des bétails appartenant aux éleveurs. Pis, la fille de cabaret savait les heures de présence des éleveurs au cabaret, comme elle était au courant du nombre de leurs bétails ainsi que le lieu de leurs maisons et firmes. Partant de cette "banque de données", la fille fournissait autant d'informations à ses acolytes qui, effectivement, au bout de plusieurs années de vols (depuis l'année 2008), sont arrivés à dépouiller des milliers de têtes d'ovins et bovins. Cette complicité reliant la fille avec le réseau de trafic de cheptel a pris fin avec l'arrestation de l'ensemble des accusés suite à une enquête diligentée par les gendarmes de Guelma. En effet, les éléments de la GN de Guelma ont agi suite à de nombreuses plaintes déposées par les éleveurs de cheptel qui ont vu leurs bétails volés par le réseau. par ailleurs, les gendarmes du même groupement ont traité aussi, durant ces derniers mois, d'autres affaires liées au trafic de véhicules, où la ville de Guelma a été sérieusement touchée par le fléau. En quelques mois seulement, pas moins de cinq réseaux ont été neutralisés par les enquêteurs gendarmes. En tout, plus d'une vingtaine de véhicules ont été saisis, tandis que 25 trafiquants ont été arrêtés. "Les trafiquants de véhicules s'intéressent à Guelma du fait des pistes qui existent dans cette région et qui mènent, facilement, vers d'autres wilayas du pays ce qui facilite le sale travail des trafiquants. Toutefois, nous établissons, chaque semaine, une nouvelle carte de crime suivant les itinéraires empruntés par les criminels, cela pour mieux les cerner et arriver à les arrêter. Grâce à cette carte de crime nous avons pu démanteler plusieurs réseaux de trafic de véhicules et récupérer plusieurs voitures volées à Guelma et ailleurs", ajoute le colonel lors du point de presse.