L'Intersyndicale des professionnels de la santé (ISPS) a déploré, hier à Alger, la non satisfaction de leurs revendications, après huit mois d'attente et en dépit des instructions du Premier ministre allant dans le sens de la prise en charge du dossier. L'Intersyndicale des professionnels de la santé (ISPS) a déploré, hier à Alger, la non satisfaction de leurs revendications, après huit mois d'attente et en dépit des instructions du Premier ministre allant dans le sens de la prise en charge du dossier. L'Intersyndicale, composée du Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy), du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) et le Syndicat national du personnel de l'enseignement du paramédical (SNPEPM) a annoncé, au cours d'une conférence de presse, entamer "une grève de trois jours renouvelable à partir de lundi prochain". "L'ISPS a également décidé d'organiser un rassemblement national le mercredi 8 mai devant le ministère de la Santé", a ajouté son président, Khaled Kedad, qui a exprimé son mécontentement devant le silence affiché par les instances concernées, en dépit du préavis de grève. Il a, toutefois, réitéré la disponibilité de l'ISPS au dialogue, afin d'éviter, a-t-il dit, "la pénalisation du malade". Par ailleurs, le responsable de la communication du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Slim Belkacem, a rappelé que son institution a tenu "40 réunions avec les différents syndicats de santé, et ce, depuis décembre 2012". Il a estimé qu'"aucune avancée ne peut être réalisée, entre les deux parties, si les conditions ne sont pas réunies", pour trouver une solution aux problèmes posés, faisant allusion à la menace de grève. M. Belkacem a ajouté en outre, que l'un des syndicats qui a récemment tenu son mouvement de protestation "ne peut parler de dialogue et conciliation dès lors que celle-ci a été qualifiée d'illégale par la justice". L'ISPS revendique, notamment, des statuts particuliers, un régime indemnitaire et dénonce la discrimination en matière d'imposition entre les professionnels de la santé. L'Intersyndicale, composée du Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy), du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) et le Syndicat national du personnel de l'enseignement du paramédical (SNPEPM) a annoncé, au cours d'une conférence de presse, entamer "une grève de trois jours renouvelable à partir de lundi prochain". "L'ISPS a également décidé d'organiser un rassemblement national le mercredi 8 mai devant le ministère de la Santé", a ajouté son président, Khaled Kedad, qui a exprimé son mécontentement devant le silence affiché par les instances concernées, en dépit du préavis de grève. Il a, toutefois, réitéré la disponibilité de l'ISPS au dialogue, afin d'éviter, a-t-il dit, "la pénalisation du malade". Par ailleurs, le responsable de la communication du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Slim Belkacem, a rappelé que son institution a tenu "40 réunions avec les différents syndicats de santé, et ce, depuis décembre 2012". Il a estimé qu'"aucune avancée ne peut être réalisée, entre les deux parties, si les conditions ne sont pas réunies", pour trouver une solution aux problèmes posés, faisant allusion à la menace de grève. M. Belkacem a ajouté en outre, que l'un des syndicats qui a récemment tenu son mouvement de protestation "ne peut parler de dialogue et conciliation dès lors que celle-ci a été qualifiée d'illégale par la justice". L'ISPS revendique, notamment, des statuts particuliers, un régime indemnitaire et dénonce la discrimination en matière d'imposition entre les professionnels de la santé.