Un seul cadavre est arrivé entier à la morgue, ce qui rend difficile l'estimation exacte du nombre de tués, a précisé un médecin interrogé par Reuters. Un seul cadavre est arrivé entier à la morgue, ce qui rend difficile l'estimation exacte du nombre de tués, a précisé un médecin interrogé par Reuters. Au moins 3 personnes ont été tuées et 17 autres blessées lundi dans un attentat à la voiture piégée devant un hôpital de Benghazi, dans une zone très fréquentée de cette grande ville de l'est libyen, ont déclaré des témoins. Un seul cadavre est arrivé entier à la morgue, ce qui rend difficile l'estimation exacte du nombre de tués, a précisé un médecin interrogé par Reuters. Un autre médecin a fait état de 3 morts confirmés, dont un enfant, et de 17 blessés. "J'ai vu des gens courir, certains ramassant des morceaux de corps. L'odeur de poudre a envahi la zone", a indiqué, par ailleurs, un témoin à Reuters. Une foule en colère de plusieurs centaines de personnes s'est rassemblée sur les lieux de l'explosion, qui a endommagé une dizaine de véhicules et fait voler en éclats les vitres des bâtiments aux alentours. Les manifestants ont accusé des groupes armés et réclamé leur bannissement de Benghazi, capitale de la Cyrénaïque et berceau en février 2011 du soulèvement ayant abouti à l'assassinat de Mouammar Kadhafi. Le pouvoir intérimaire, mis en place après la chute du précédent régime, peine à imposer son autorité face aux nombreux mouvements armés issus de cette révolution. "C'est la chair de nos fils, voilà ce que les milices nous apportent", s'est indigné un participant à la manifestation spontanée sur les lieux de l'attentat de lundi. "Tout ce dont nous avons besoin ici, c'est de la police et de l'armée." Deux commissariats de Benghazi ont été visés par des attentats à la bombe vendredi, puis encore deux autres dimanche. Au moins 3 personnes ont été tuées et 17 autres blessées lundi dans un attentat à la voiture piégée devant un hôpital de Benghazi, dans une zone très fréquentée de cette grande ville de l'est libyen, ont déclaré des témoins. Un seul cadavre est arrivé entier à la morgue, ce qui rend difficile l'estimation exacte du nombre de tués, a précisé un médecin interrogé par Reuters. Un autre médecin a fait état de 3 morts confirmés, dont un enfant, et de 17 blessés. "J'ai vu des gens courir, certains ramassant des morceaux de corps. L'odeur de poudre a envahi la zone", a indiqué, par ailleurs, un témoin à Reuters. Une foule en colère de plusieurs centaines de personnes s'est rassemblée sur les lieux de l'explosion, qui a endommagé une dizaine de véhicules et fait voler en éclats les vitres des bâtiments aux alentours. Les manifestants ont accusé des groupes armés et réclamé leur bannissement de Benghazi, capitale de la Cyrénaïque et berceau en février 2011 du soulèvement ayant abouti à l'assassinat de Mouammar Kadhafi. Le pouvoir intérimaire, mis en place après la chute du précédent régime, peine à imposer son autorité face aux nombreux mouvements armés issus de cette révolution. "C'est la chair de nos fils, voilà ce que les milices nous apportent", s'est indigné un participant à la manifestation spontanée sur les lieux de l'attentat de lundi. "Tout ce dont nous avons besoin ici, c'est de la police et de l'armée." Deux commissariats de Benghazi ont été visés par des attentats à la bombe vendredi, puis encore deux autres dimanche.