Le président de la Fédération des personnels de la santé, Amar Lakhal, se dit disposé à ouvrir un dialogue franc et constructif avec la tutelle pour trouver des solutions concrètes aux revendications socioprofessionnelles portées par les travailleurs du secteur. Le président de la Fédération des personnels de la santé, Amar Lakhal, se dit disposé à ouvrir un dialogue franc et constructif avec la tutelle pour trouver des solutions concrètes aux revendications socioprofessionnelles portées par les travailleurs du secteur. Il y a bien eu auparavant un dialogue qui s'est engagé avec la tutelle mais qui est resté sans suite a déclaré le président lors d'une conférence de presse. La FNPSP, affiliée au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), réclame notamment la revalorisation et la généralisation de la prime de contagion à tous les travailleurs de la santé, "sans aucune exception", la révision du régime indemnitaire et l'intégration des contractuels. Pour M. Lakhal, l'octroi de la prime de contagion pour "une certaine catégorie seulement" du personnel de la santé est "la goutte d'eau qui a fait déborder le vase de la colère" des travailleurs, qui veulent mettre fin à cette "anomalie". "Comment se fait-il que cette indemnité de contagion soit accordée dans les pays développés y compris aux personnes qui habitent aux abords des structures hospitalières, alors qu'en Algérie on continue à accorder une prime infime et à une catégorie seulement, tandis qu'on la refuse à d'autres sous de fallacieux prétextes?" s'est-t-il interrogé. Il a indiqué, à ce propos, qu'en raison de "la détérioration" de la situation des travailleurs de la santé et des rencontres "infructueuses" avec des responsables du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, la FNPSP entamerait un mouvement de grève de trois jours, à partir de lundi prochain, qui sera reconduit si la tutelle ne répondra pas favorablement à leurs revendications. Depuis près d'un mois, les syndicats de la santé ont entamé des mouvements de protestations pour réclamer une amélioration de leurs conditions socio-professionnelles. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelaziz Ziari, avait indiqué jeudi que les contacts avec les syndicats reconnus du secteur pour discuter de leurs revendications se poursuivaient dans le cadre d'un dialogue "constructif". Il y a bien eu auparavant un dialogue qui s'est engagé avec la tutelle mais qui est resté sans suite a déclaré le président lors d'une conférence de presse. La FNPSP, affiliée au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), réclame notamment la revalorisation et la généralisation de la prime de contagion à tous les travailleurs de la santé, "sans aucune exception", la révision du régime indemnitaire et l'intégration des contractuels. Pour M. Lakhal, l'octroi de la prime de contagion pour "une certaine catégorie seulement" du personnel de la santé est "la goutte d'eau qui a fait déborder le vase de la colère" des travailleurs, qui veulent mettre fin à cette "anomalie". "Comment se fait-il que cette indemnité de contagion soit accordée dans les pays développés y compris aux personnes qui habitent aux abords des structures hospitalières, alors qu'en Algérie on continue à accorder une prime infime et à une catégorie seulement, tandis qu'on la refuse à d'autres sous de fallacieux prétextes?" s'est-t-il interrogé. Il a indiqué, à ce propos, qu'en raison de "la détérioration" de la situation des travailleurs de la santé et des rencontres "infructueuses" avec des responsables du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, la FNPSP entamerait un mouvement de grève de trois jours, à partir de lundi prochain, qui sera reconduit si la tutelle ne répondra pas favorablement à leurs revendications. Depuis près d'un mois, les syndicats de la santé ont entamé des mouvements de protestations pour réclamer une amélioration de leurs conditions socio-professionnelles. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelaziz Ziari, avait indiqué jeudi que les contacts avec les syndicats reconnus du secteur pour discuter de leurs revendications se poursuivaient dans le cadre d'un dialogue "constructif".