Les présidents du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et du Front du changement (FC), Abderrazak Mokri et Abdelmadjid Menasra, caressent le vœu d'un projet d'union. Les leaders de ces deux formations souhaitent que toutes les parties y adhèrent mais n'ont pas donné de date précise pour sa concrétisation. Les présidents du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et du Front du changement (FC), Abderrazak Mokri et Abdelmadjid Menasra, caressent le vœu d'un projet d'union. Les leaders de ces deux formations souhaitent que toutes les parties y adhèrent mais n'ont pas donné de date précise pour sa concrétisation. Lors d'une rencontre avec les cadres du FC à l'occasion de la tenue d'une conférence nationale du parti, M. Mokri a exprimé le souhait de voir les "rangs se resserrer" au service de la nation, avant d'annoncer qu'une commission mixte travaillait actuellement sur les mécanismes d'élargissement du projet d'union. Il a également annoncé une prochaine rencontre avec Mustapha Benmehdi (ancien dirigeant au MSP) et de ceux qu'il a qualifiés d'enfants du MSP dans le parti Tadjamoue Amal Jazair (TAJ) en vue d'examiner leur éventuelle adhésion au projet. "Il y a une volonté sincère de former un parti fort capable d'opérer le changement dans le pays", a déclaré M. Mokri. Après être revenu longuement sur le parcours du mouvement depuis les années 90 et ses contributions au nom du devoir national, il a indiqué que sa formation comptait parmi l'opposition pacifique et "œuvrera de ce fait, à travers l'Alliance de l'Algérie verte, au rééquilibrage de l'action politique sur la scène nationale aux côtés de toutes les factions politiques du pays" . M. Mokri a estimé que certaines parties ont voulu affaiblir la classe politique en Algérie, ce qui donnera aux ennemis de l'Algérie une occasion pour semer la discorde. S'agissant des objectifs du projet d'union, M. Mokri a indiqué que ce projet n'est ni contre le gouvernement ni contre les personnes ou autre force politique. L'objectif étant de service l'intérêt général, car l'Algérie, a-t-il dit, est au-dessus de toute considération personnelle. Pour sa part, Abdelmadjid Menasra a souligné que le projet d'union requiert du temps pour lancer un débat et une réflexion approfondis en toute sérénité, en vue de dégager une position claire est unifiée sur les mécanismes du projet. Il a ajouté à ce propos que l'intention existait pour resserrer les rangs dans l'intérêt de la démocratie en Algérie, appelant d'autres parties à adhérer au projet d'union. Concernant la révision de la Constitution, M. Menasra a estimé que ce serait une erreur de le faire en ce moment, proposant de reporter l'amendement de la Constitution après l'élection présidentielle afin de permettre aux candidats de soumettre leurs opinions et projets durant la campagne électorale. La conférence nationale du FC a débuté vendredi avec la participation de 600 militants et cadres du part. Parmi les points débattus, le projet d'union, la révision de la Constitution, la prochaine présidentielle et la situation sur le plan social. La réunion sera sanctionnée samedi par des recommandations. Lors d'une rencontre avec les cadres du FC à l'occasion de la tenue d'une conférence nationale du parti, M. Mokri a exprimé le souhait de voir les "rangs se resserrer" au service de la nation, avant d'annoncer qu'une commission mixte travaillait actuellement sur les mécanismes d'élargissement du projet d'union. Il a également annoncé une prochaine rencontre avec Mustapha Benmehdi (ancien dirigeant au MSP) et de ceux qu'il a qualifiés d'enfants du MSP dans le parti Tadjamoue Amal Jazair (TAJ) en vue d'examiner leur éventuelle adhésion au projet. "Il y a une volonté sincère de former un parti fort capable d'opérer le changement dans le pays", a déclaré M. Mokri. Après être revenu longuement sur le parcours du mouvement depuis les années 90 et ses contributions au nom du devoir national, il a indiqué que sa formation comptait parmi l'opposition pacifique et "œuvrera de ce fait, à travers l'Alliance de l'Algérie verte, au rééquilibrage de l'action politique sur la scène nationale aux côtés de toutes les factions politiques du pays" . M. Mokri a estimé que certaines parties ont voulu affaiblir la classe politique en Algérie, ce qui donnera aux ennemis de l'Algérie une occasion pour semer la discorde. S'agissant des objectifs du projet d'union, M. Mokri a indiqué que ce projet n'est ni contre le gouvernement ni contre les personnes ou autre force politique. L'objectif étant de service l'intérêt général, car l'Algérie, a-t-il dit, est au-dessus de toute considération personnelle. Pour sa part, Abdelmadjid Menasra a souligné que le projet d'union requiert du temps pour lancer un débat et une réflexion approfondis en toute sérénité, en vue de dégager une position claire est unifiée sur les mécanismes du projet. Il a ajouté à ce propos que l'intention existait pour resserrer les rangs dans l'intérêt de la démocratie en Algérie, appelant d'autres parties à adhérer au projet d'union. Concernant la révision de la Constitution, M. Menasra a estimé que ce serait une erreur de le faire en ce moment, proposant de reporter l'amendement de la Constitution après l'élection présidentielle afin de permettre aux candidats de soumettre leurs opinions et projets durant la campagne électorale. La conférence nationale du FC a débuté vendredi avec la participation de 600 militants et cadres du part. Parmi les points débattus, le projet d'union, la révision de la Constitution, la prochaine présidentielle et la situation sur le plan social. La réunion sera sanctionnée samedi par des recommandations.