La ville de Ouargla a vécu, hier, une journée très particulière lorsque des centaines de jeunes chômeurs issus de la ville et de Hassi Messaoud se sont rassemblés au centre-ville de Ouargla avant de cerner les sièges de l'ENTP (Entreprise nationale des travaux aux puits), grande filiale de Sonatrach, suite à la publication d'une liste des bénéficiaires d'emplois. La ville de Ouargla a vécu, hier, une journée très particulière lorsque des centaines de jeunes chômeurs issus de la ville et de Hassi Messaoud se sont rassemblés au centre-ville de Ouargla avant de cerner les sièges de l'ENTP (Entreprise nationale des travaux aux puits), grande filiale de Sonatrach, suite à la publication d'une liste des bénéficiaires d'emplois. En effet, c'est à partir de cette liste que le vase a fini par déborder. Une liste qui comprend les noms de 60 bénéficiaires d'offre d'emplois engagés par l'ENTP, où aucun nom des demandeurs d'emplois issus de Ouargla n'y a été porté. C'était là l'étincelle qui a mis le feu aux poudres. Déjà en colère, durant les mois passés, suite à plusieurs contestations, les chômeurs de Ouargla et de Hassi Messaoud ont renoué avec la protesta suite à l'affichage de cette liste. Pis, un nombre important de jeunes chômeurs a fermé, hier, les deux bases de l'Entreprise nationale de travaux aux puits (ENTP). Il s'agit de la base du 20-Août et la base du 11-Décembre-1970, explique la même source. Les deux bases se trouvent à Hassi Messaoud, faut-il le signaler. Les jeunes chômeurs, par centaines, étaient en colère car selon eux il n'y a aucune personne de Hassi Messaoud sur la liste des bénéficiaires de l'offre d'emplois de 60 manœuvres. Ils ont fermé les deux bases avant d'être dispersés, quelques heures après, par la police. Suite à l'intervention des policiers anti-émeutes, les chômeurs en colère se sont dirigés ensuite vers le siège de l'Enafor, avant de rencontrer un autre barrage de police en cours de route et là il y a eu des échauffourées entre eux et des policiers. Ils ont par la suite tenu un rassemblement devant ce barrage de police, rapporte toujours la même source. En effet, c'est à partir de cette liste que le vase a fini par déborder. Une liste qui comprend les noms de 60 bénéficiaires d'offre d'emplois engagés par l'ENTP, où aucun nom des demandeurs d'emplois issus de Ouargla n'y a été porté. C'était là l'étincelle qui a mis le feu aux poudres. Déjà en colère, durant les mois passés, suite à plusieurs contestations, les chômeurs de Ouargla et de Hassi Messaoud ont renoué avec la protesta suite à l'affichage de cette liste. Pis, un nombre important de jeunes chômeurs a fermé, hier, les deux bases de l'Entreprise nationale de travaux aux puits (ENTP). Il s'agit de la base du 20-Août et la base du 11-Décembre-1970, explique la même source. Les deux bases se trouvent à Hassi Messaoud, faut-il le signaler. Les jeunes chômeurs, par centaines, étaient en colère car selon eux il n'y a aucune personne de Hassi Messaoud sur la liste des bénéficiaires de l'offre d'emplois de 60 manœuvres. Ils ont fermé les deux bases avant d'être dispersés, quelques heures après, par la police. Suite à l'intervention des policiers anti-émeutes, les chômeurs en colère se sont dirigés ensuite vers le siège de l'Enafor, avant de rencontrer un autre barrage de police en cours de route et là il y a eu des échauffourées entre eux et des policiers. Ils ont par la suite tenu un rassemblement devant ce barrage de police, rapporte toujours la même source.