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L'Algérie et l'Unicef veulent accélérer le programme économique 2015-2019 Analyse des privations de l'enfant et des disparités selon l'approche ‘'MODA''
Lors de la journée d'étude sur l'analyse des privations de l'enfant et des disparités selon l'approche ‘'MODA'', les responsables algériens en charge de la prise en charge des problèmes socio-économiques de l'enfant et l'organisation des Nations-unies pour l'enfance, UNICEF, ont présenté les grandes lignes du cadre national de mise en place d'un mécanisme d'analyse des privations et des disparités en proposant la création d'un Observatoire de l'équité sociale. Lors de la journée d'étude sur l'analyse des privations de l'enfant et des disparités selon l'approche ‘'MODA'', les responsables algériens en charge de la prise en charge des problèmes socio-économiques de l'enfant et l'organisation des Nations-unies pour l'enfance, UNICEF, ont présenté les grandes lignes du cadre national de mise en place d'un mécanisme d'analyse des privations et des disparités en proposant la création d'un Observatoire de l'équité sociale. En tant qu'outil d'analyse des privations cumulées et multiples, le ‘'MODA'' "le mécanisme est un instrument pour aider l'Algérie à réaliser son programme de développement économique et social de la période 2015-2019 sur la base des privations de l'enfant. Il s'agit de se poser en leadership et assurer les objectifs tracés par le biais de cet outil en prenant les responsabilités nécessaires" a affirmé le représentant de l'Unicef en Algérie, Thomas Davin.Il précise que ce système d'analyse permet de quantifier le volet financier de la pauvreté où il existe une évolution dans ce domaine. « Au cas où il faut raffiner l'analyse, c'est le cadre monétaire et voir où les enfants ont des privations d'accès et prendre de décisions dans les secteurs de développement économique », a-t-il dit.Le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la Prospective et des Statistiques, Bachir Messaitfa, a souligné que deux directions se chargent de mener à bien la stratégie de prise en charge les inégalités et les disparités des enfants. Ainsi, il indique que « les directions de la politique sociale et de la démographie, ainsi que la population cherchent un outil pour l'amélioration et la construction du programme économique allant de 2015 à 2019 et même jusqu'à 2030 et 2050 pour assurer le développement économique et lutter contre les disparités et la pauvreté ». Reconnaissant l'existence des inégalités sociales, Messaitfa a mis l'accent sur l'importance pour la croissance et le développement durable, ainsi que le développement global afin d'aplanir les inégalités politiques, sociales et économiques qui compromettent l'avenir du pays. Il a également insisté sur la nécessité de continuer à assurer la protection sociale et la sécurité sociale avec l'appui de l'UNICEF en préconisant un Observatoire national de l'équité sociale, un organe fédérateur de lutte contre les inégalités et l'exclusion. « En Algérie, pas moins de 11 % du produit intérieur brut sont consacrés à la sécurité sociale alors que 40 % sont destinés aux ressources humaines et à la population dans le cadre du programme 2010-2014". En tant qu'outil d'analyse des privations cumulées et multiples, le ‘'MODA'' "le mécanisme est un instrument pour aider l'Algérie à réaliser son programme de développement économique et social de la période 2015-2019 sur la base des privations de l'enfant. Il s'agit de se poser en leadership et assurer les objectifs tracés par le biais de cet outil en prenant les responsabilités nécessaires" a affirmé le représentant de l'Unicef en Algérie, Thomas Davin.Il précise que ce système d'analyse permet de quantifier le volet financier de la pauvreté où il existe une évolution dans ce domaine. « Au cas où il faut raffiner l'analyse, c'est le cadre monétaire et voir où les enfants ont des privations d'accès et prendre de décisions dans les secteurs de développement économique », a-t-il dit.Le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la Prospective et des Statistiques, Bachir Messaitfa, a souligné que deux directions se chargent de mener à bien la stratégie de prise en charge les inégalités et les disparités des enfants. Ainsi, il indique que « les directions de la politique sociale et de la démographie, ainsi que la population cherchent un outil pour l'amélioration et la construction du programme économique allant de 2015 à 2019 et même jusqu'à 2030 et 2050 pour assurer le développement économique et lutter contre les disparités et la pauvreté ». Reconnaissant l'existence des inégalités sociales, Messaitfa a mis l'accent sur l'importance pour la croissance et le développement durable, ainsi que le développement global afin d'aplanir les inégalités politiques, sociales et économiques qui compromettent l'avenir du pays. Il a également insisté sur la nécessité de continuer à assurer la protection sociale et la sécurité sociale avec l'appui de l'UNICEF en préconisant un Observatoire national de l'équité sociale, un organe fédérateur de lutte contre les inégalités et l'exclusion. « En Algérie, pas moins de 11 % du produit intérieur brut sont consacrés à la sécurité sociale alors que 40 % sont destinés aux ressources humaines et à la population dans le cadre du programme 2010-2014".