Le tribunal criminel près la cour d'Alger a condamné à 20 ans de prison ferme le principal accusé - Hanouti Khelifa un médecin généraliste - un médecin généraliste dans l'affaire de trafic d'enfants vers l'étranger, avec privation du droit d'exercer la profession pendant 10 ans. Le tribunal criminel près la cour d'Alger a condamné à 20 ans de prison ferme le principal accusé - Hanouti Khelifa un médecin généraliste - un médecin généraliste dans l'affaire de trafic d'enfants vers l'étranger, avec privation du droit d'exercer la profession pendant 10 ans. Six (6) autres accusés (franco-algériens) ont été condamnés par contumace à 10 ans de prison ferme par le juge Omar Benkharchi. Il s'agit de Hadj Ali Aïcha, Ibari Boualem, Mouza Alfonso Daniel, Saïb Zahia, Derdiche Hakim et Sayad Omar. Le tribunal a également condamné Saïdi Oualid à 5 ans de prison ferme et Mekhlouf Dahbia, Hanafi Loundja, Mouzaoui Amel et Abderrahmane Ahmed à 3 ans de prison avec sursis alors que Hanouti Hayet a bénéficié de l'acquittement. Selon l'arrêt de renvoi, les services de sécurité avait démantelé, en 2009, ce "dangereux réseau à l'origine du transfert illégal d'un grand nombre d'enfants vers l'étranger." Le réseau, constitué d'Algériens et de Franco-Algériens, activait depuis les années 90 en Algérie. Les investigations ont révélé que ce médecin généraliste se faisait passer pour un obstétricien propriétaire d'une clinique à Aïn Taya qui, avec l'aide de sa sœur, prenait en charge gratuitement des femmes enceintes (mères célibataires) jusqu'à ce qu'elles accouchent et exploitait aussi les foetus avortés qu'il conservait dans un produit spécial avant de les exporter vers l'étranger. Deux notaires, le fils et son père, ce dernier est décédé l'année dernière en prison, sont également impliqués dans cette affaire. Ils étaient chargés de rédiger "des documents de désistement" signés par les mères célibataires. Suite à une enquête approfondie, les services de sécurité sont parvenus à récupérer 3 enfants au domicile d'une puéricultrice exerçant dans une pouponnière à El-Biar, et découvert "12 certificats d'adoption" rédigés entre 2005 et 2006, dans lesquels figurent 9 enfants déjà expatriés de manière illégale et dont la kafala a été confiée à d'autres personnes moyennant une somme d'argent. Six (6) autres accusés (franco-algériens) ont été condamnés par contumace à 10 ans de prison ferme par le juge Omar Benkharchi. Il s'agit de Hadj Ali Aïcha, Ibari Boualem, Mouza Alfonso Daniel, Saïb Zahia, Derdiche Hakim et Sayad Omar. Le tribunal a également condamné Saïdi Oualid à 5 ans de prison ferme et Mekhlouf Dahbia, Hanafi Loundja, Mouzaoui Amel et Abderrahmane Ahmed à 3 ans de prison avec sursis alors que Hanouti Hayet a bénéficié de l'acquittement. Selon l'arrêt de renvoi, les services de sécurité avait démantelé, en 2009, ce "dangereux réseau à l'origine du transfert illégal d'un grand nombre d'enfants vers l'étranger." Le réseau, constitué d'Algériens et de Franco-Algériens, activait depuis les années 90 en Algérie. Les investigations ont révélé que ce médecin généraliste se faisait passer pour un obstétricien propriétaire d'une clinique à Aïn Taya qui, avec l'aide de sa sœur, prenait en charge gratuitement des femmes enceintes (mères célibataires) jusqu'à ce qu'elles accouchent et exploitait aussi les foetus avortés qu'il conservait dans un produit spécial avant de les exporter vers l'étranger. Deux notaires, le fils et son père, ce dernier est décédé l'année dernière en prison, sont également impliqués dans cette affaire. Ils étaient chargés de rédiger "des documents de désistement" signés par les mères célibataires. Suite à une enquête approfondie, les services de sécurité sont parvenus à récupérer 3 enfants au domicile d'une puéricultrice exerçant dans une pouponnière à El-Biar, et découvert "12 certificats d'adoption" rédigés entre 2005 et 2006, dans lesquels figurent 9 enfants déjà expatriés de manière illégale et dont la kafala a été confiée à d'autres personnes moyennant une somme d'argent.