Le "petit" du Golfe voit grand en Algérie. Il ambitionne de renforcer davantage sa coopération bilatérale multidimensionnelle avec notre pays. Les grandes entreprises des Emirats arabes unis, telles que Dubai World, Mubadala, Al Qudra, Arabtec, Aabar Investments et Emaar, sont présentes en Algérie. Le "petit" du Golfe voit grand en Algérie. Il ambitionne de renforcer davantage sa coopération bilatérale multidimensionnelle avec notre pays. Les grandes entreprises des Emirats arabes unis, telles que Dubai World, Mubadala, Al Qudra, Arabtec, Aabar Investments et Emaar, sont présentes en Algérie. Seule cette dernière entreprise pose « problème » avec son projet « Dounia Parc » qui s'emmêle les pieds sur le terrain mouvant du côté de Dély-Ibrahim (Alger) Le ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis (EAU), Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane, est arrivé, hier, à Alger pour une visite de travail à la tête d'une importante délégation économique. Le ministre émirati a été accueilli à son arrivée à l'aéroport international Houari Boumediene par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. La veille de cette visite, le responsable émirati a affirmé dans une déclaration à l'APS que « les relations unissant l'Algérie et l'Etat des Emirats arabes unis, sans cesse croissantes, revêtent aujourd'hui un caractère multidimensionnel », souhaitant voir « les investissements émiratis en Algérie s'intensifier davantage ». « Nous sommes partenaires au dialogue aux plus hauts niveaux gouvernementaux et nos vues convergent autour des questions internationales pressantes, de la sécurité régionale et de la coopération bilatérale », a encore indiqué Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane. Cette visite du chef de la diplomatie des EAU permettra aux parties, algérienne et émiratie, de procéder à l'évaluation de la coopération bilatérale à la lumière de la 11e session de la commission mixte, tenue les 12 et 13 mai 2013 à Abou Dhabi. A l'issue de cette réunion de cette commission mixte, plusieurs accords de coopération relatifs au commerce et au transport aérien et maritime, notamment, ont été signés. Il s'agit d'un mémorandum d'entente relatif aux modalités administratives d'application de la convention de la non-double imposition, signé le 24 avril 2001, un accord de coopération dans le domaine des services aériens, et d'un accord dans le transport maritime et des ports. Un mémorandum d'entente portant création du comité de suivi des investissements, a été également signé à la clôture de la rencontre coprésidée par M. Karim Djoudi, ministre des Finances et M. Soltan Ben Saïd Al Mansouri, ministre émirati de l'Economie. Peu après, une délégation d'hommes d'affaires algériens sous la conduite de Cherif Rahmani, ministre de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprises et de la Promotion des investissements s'est rendue aux EAU pour étudier la possibilité nouer de nouveaux partenariats avec les hommes d'affaires émiraties à l'instar de ceux déjà noués avec des opérateurs économiques des deux parties, dans les domaines des ports, des médicaments, ainsi que dans les finances. La visite du ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis (EAU), Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane, à Alger vise à intensifier encore davantage la coopération bilatérale multidimensionnelle entre les deux pays. Il y a de fréquentes visites de haut niveau des deux côtés. Du côté émirati, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d'Abou Dhabi et Commandant en chef adjoint des Forces armées des Emirats, a visité l'Algérie au début de mars. Cette année, les EAU ont reçu la visite du ministre algérien de la Défense, Abdelmalek Guenaïzia, et du ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia. Le ministre algérien de l'Industrie, des PME et de la Promotion de l'investissement, Cherif Rahmani, a visité les Emirats arabes unis ce mois courant. Les EAU accueillent aussi près de 10.000 citoyens algériens qui vivent et travaillent dans ce pays. Les grandes entreprises des Emirats arabes unis, telles que Dubai World, Mubadala, Al Qudra, Arabtec, Aabar Investments et Emaar, sont présentes en Algérie et le commerce bilatéral s'est chiffré l'année dernière à 271 millions de dollars au cours des huit premiers mois. Il sera sûrement question de cette dernière entreprise qui peine à mener à son terme son projet « Dounia Parc » des Grands-vents à Dély-Ibrahim (Alger) lors des entretiens entre la partie algérienne et émiratie. Ce qui explique, la participation de Amara Benyounès, le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et de la Ville aux entretiens algéro-émiratis. D'un montant de 5 milliards de dollars, le projet lancé par le président Bouteflika et l'émir Al Nahyane, a du plomb dans l'aile. Selon des sources au fait du dossier, EIIC a buté sur une série d'obstacles : le statut de concession accordé sur le terrain (33 ans) qui ne permettait pas de réaliser le volet promotionnel sans lequel le reste de l'investissement n'avait pas de rentabilité, selon EIIC ; un accès complexe au financement par les banques algériennes ; et enfin, un tas de tracasseries juridiques pour l'expropriation des propriétaires des terrains qui ne veulent pas « lâcher » leurs terrains à des « étrangers » considérant qu'ils sont capables et ont les capacités de faire mieux que les Emiratis. Sans doute, le temps leur a donné raison. La défaillance financière du promoteur EIIC qui eu à pâtir de la crise financière de 2008-2009, aura rendu le projet très improbable, victime de l'appétit des investisseurs émiratis qui ont « détourné » une partie du projet pour la dédier à la promotion pour réaliser un ensemble de 13.000 habitations de haut standing, 5 hôtels, une zone résidentielle de villas de luxe, un aquaparc, un hôpital et un parcours de golf. Seule cette dernière entreprise pose « problème » avec son projet « Dounia Parc » qui s'emmêle les pieds sur le terrain mouvant du côté de Dély-Ibrahim (Alger) Le ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis (EAU), Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane, est arrivé, hier, à Alger pour une visite de travail à la tête d'une importante délégation économique. Le ministre émirati a été accueilli à son arrivée à l'aéroport international Houari Boumediene par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. La veille de cette visite, le responsable émirati a affirmé dans une déclaration à l'APS que « les relations unissant l'Algérie et l'Etat des Emirats arabes unis, sans cesse croissantes, revêtent aujourd'hui un caractère multidimensionnel », souhaitant voir « les investissements émiratis en Algérie s'intensifier davantage ». « Nous sommes partenaires au dialogue aux plus hauts niveaux gouvernementaux et nos vues convergent autour des questions internationales pressantes, de la sécurité régionale et de la coopération bilatérale », a encore indiqué Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane. Cette visite du chef de la diplomatie des EAU permettra aux parties, algérienne et émiratie, de procéder à l'évaluation de la coopération bilatérale à la lumière de la 11e session de la commission mixte, tenue les 12 et 13 mai 2013 à Abou Dhabi. A l'issue de cette réunion de cette commission mixte, plusieurs accords de coopération relatifs au commerce et au transport aérien et maritime, notamment, ont été signés. Il s'agit d'un mémorandum d'entente relatif aux modalités administratives d'application de la convention de la non-double imposition, signé le 24 avril 2001, un accord de coopération dans le domaine des services aériens, et d'un accord dans le transport maritime et des ports. Un mémorandum d'entente portant création du comité de suivi des investissements, a été également signé à la clôture de la rencontre coprésidée par M. Karim Djoudi, ministre des Finances et M. Soltan Ben Saïd Al Mansouri, ministre émirati de l'Economie. Peu après, une délégation d'hommes d'affaires algériens sous la conduite de Cherif Rahmani, ministre de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprises et de la Promotion des investissements s'est rendue aux EAU pour étudier la possibilité nouer de nouveaux partenariats avec les hommes d'affaires émiraties à l'instar de ceux déjà noués avec des opérateurs économiques des deux parties, dans les domaines des ports, des médicaments, ainsi que dans les finances. La visite du ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis (EAU), Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane, à Alger vise à intensifier encore davantage la coopération bilatérale multidimensionnelle entre les deux pays. Il y a de fréquentes visites de haut niveau des deux côtés. Du côté émirati, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d'Abou Dhabi et Commandant en chef adjoint des Forces armées des Emirats, a visité l'Algérie au début de mars. Cette année, les EAU ont reçu la visite du ministre algérien de la Défense, Abdelmalek Guenaïzia, et du ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia. Le ministre algérien de l'Industrie, des PME et de la Promotion de l'investissement, Cherif Rahmani, a visité les Emirats arabes unis ce mois courant. Les EAU accueillent aussi près de 10.000 citoyens algériens qui vivent et travaillent dans ce pays. Les grandes entreprises des Emirats arabes unis, telles que Dubai World, Mubadala, Al Qudra, Arabtec, Aabar Investments et Emaar, sont présentes en Algérie et le commerce bilatéral s'est chiffré l'année dernière à 271 millions de dollars au cours des huit premiers mois. Il sera sûrement question de cette dernière entreprise qui peine à mener à son terme son projet « Dounia Parc » des Grands-vents à Dély-Ibrahim (Alger) lors des entretiens entre la partie algérienne et émiratie. Ce qui explique, la participation de Amara Benyounès, le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et de la Ville aux entretiens algéro-émiratis. D'un montant de 5 milliards de dollars, le projet lancé par le président Bouteflika et l'émir Al Nahyane, a du plomb dans l'aile. Selon des sources au fait du dossier, EIIC a buté sur une série d'obstacles : le statut de concession accordé sur le terrain (33 ans) qui ne permettait pas de réaliser le volet promotionnel sans lequel le reste de l'investissement n'avait pas de rentabilité, selon EIIC ; un accès complexe au financement par les banques algériennes ; et enfin, un tas de tracasseries juridiques pour l'expropriation des propriétaires des terrains qui ne veulent pas « lâcher » leurs terrains à des « étrangers » considérant qu'ils sont capables et ont les capacités de faire mieux que les Emiratis. Sans doute, le temps leur a donné raison. La défaillance financière du promoteur EIIC qui eu à pâtir de la crise financière de 2008-2009, aura rendu le projet très improbable, victime de l'appétit des investisseurs émiratis qui ont « détourné » une partie du projet pour la dédier à la promotion pour réaliser un ensemble de 13.000 habitations de haut standing, 5 hôtels, une zone résidentielle de villas de luxe, un aquaparc, un hôpital et un parcours de golf.