Le président du Conseil d'affaires algéro-américain (UABC), Smaïl Chikhoune, a appelé à un assouplissement des procédures administratives au profit des compagnies américaines notamment pour les PME afin de booster la coopération économique bilatérale. Le président du Conseil d'affaires algéro-américain (UABC), Smaïl Chikhoune, a appelé à un assouplissement des procédures administratives au profit des compagnies américaines notamment pour les PME afin de booster la coopération économique bilatérale. Chikhoune s'exprimait lors d'une conférence de presse organisée en marge de la 46e Foire internationale d'Alger qui se tient du 29 au 4 juin et animée conjointement avec le représentant de la chambre américaine du commerce, Nesrddine Mefti et le conseiller économique de l'ambassade américaine à Alger, Mballe Nkembe. Le président de l'UABC a souligné que la procédure administrative de mise en place d'un investissement en Algérie pour les entreprises américaines représentait un "véritable handicap", appelant dans ce sens à assouplir les démarches notamment aux profit des PME pour promouvoir et multiplier la présence de partenaires américains dans le pays. Pour ce qui est de la loi 51/49, les avis des conférenciers sont mitigés, car si pour Chikhoune "cette dernière freine les investisseurs potentiels", Mefti considère pour sa part, que "cette loi ne constitue aucun obstacle puisque les hommes d'affaires s'adaptent aux lois des pays où ils investissent". "Ce type de loi existe dans les autres pays. Il est normal que l'Algérie protège son économie", a tenu à souligner Mefti estime que la loi en question ne gène en aucun cas les entreprises US désireuses d'investir, ajoutant que le plus important étant de réunir les PME des deux pays. "Chaque pays a ses règles d'investissement, c'est aux compagnies de les connaître et de s'y adapter", considère pour sa part Nkembe. Pour le président de l'UABC, la loi 51/49 n'entrave pas l'investissement dans le secteur des hydrocarbures. "Elle ne gène pas dans ce secteur car elle est appliquée un peu partout dans le monde", explique-t-il. Toutefois, "il faut la revoir ailleurs, car elle n'attire pas les investisseurs américains". Pour ce qui est des relations économiques entre les deux pays, Nkembe a souligné la volonté de son pays à diversifier sa présence en Algérie notamment dans le domaine de la construction. Chikhoune s'exprimait lors d'une conférence de presse organisée en marge de la 46e Foire internationale d'Alger qui se tient du 29 au 4 juin et animée conjointement avec le représentant de la chambre américaine du commerce, Nesrddine Mefti et le conseiller économique de l'ambassade américaine à Alger, Mballe Nkembe. Le président de l'UABC a souligné que la procédure administrative de mise en place d'un investissement en Algérie pour les entreprises américaines représentait un "véritable handicap", appelant dans ce sens à assouplir les démarches notamment aux profit des PME pour promouvoir et multiplier la présence de partenaires américains dans le pays. Pour ce qui est de la loi 51/49, les avis des conférenciers sont mitigés, car si pour Chikhoune "cette dernière freine les investisseurs potentiels", Mefti considère pour sa part, que "cette loi ne constitue aucun obstacle puisque les hommes d'affaires s'adaptent aux lois des pays où ils investissent". "Ce type de loi existe dans les autres pays. Il est normal que l'Algérie protège son économie", a tenu à souligner Mefti estime que la loi en question ne gène en aucun cas les entreprises US désireuses d'investir, ajoutant que le plus important étant de réunir les PME des deux pays. "Chaque pays a ses règles d'investissement, c'est aux compagnies de les connaître et de s'y adapter", considère pour sa part Nkembe. Pour le président de l'UABC, la loi 51/49 n'entrave pas l'investissement dans le secteur des hydrocarbures. "Elle ne gène pas dans ce secteur car elle est appliquée un peu partout dans le monde", explique-t-il. Toutefois, "il faut la revoir ailleurs, car elle n'attire pas les investisseurs américains". Pour ce qui est des relations économiques entre les deux pays, Nkembe a souligné la volonté de son pays à diversifier sa présence en Algérie notamment dans le domaine de la construction.