Des membres du mouvement salafiste jihadiste tunisien Ansar Asharia feraient partie du groupe armé lié à Al-Qaïda pourchassé au mont Chaâmbi, à la frontière algérienne, a annoncé le porte-parole du ministère de l'Intérieur Mohamed Ali Aroui. Des membres du mouvement salafiste jihadiste tunisien Ansar Asharia feraient partie du groupe armé lié à Al-Qaïda pourchassé au mont Chaâmbi, à la frontière algérienne, a annoncé le porte-parole du ministère de l'Intérieur Mohamed Ali Aroui. Ansar Asharia, principal groupe salafiste jihadiste en Tunisie, a par le passé nié tout lien avec le groupe pourchassé par les forces tunisiennes à la frontière algérienne. Selon la même source, cinq "terroristes" ont été arrêtés fin mai s'ajoutant aux 40 autres placés en détention entre décembre 2012 et avril 2013. Lors de cette conférence, le porte-parole du ministère a montré les photos de 19 jihadistes tunisiens impliqués dans les évènements du Mont Chaâmbi et a cité les noms de 7 autres de nationalité algérienne. Les jihadistes du mont Chaâmbi sont recherchés depuis une attaque qui avait coûté la vie à un gendarme en décembre. A l'époque, une vaste opération n'avait pas réussi à démanteler cette cellule. Les opérations des forces tunisiennes ont repris après que 16 militaires et gendarmes ont été blessés dans les explosions de mines placées sur cette montagne par le groupe armé. La Tunisie est confrontée depuis la révolution qui a chassé début 2011 l'ancien président Zine el Abidine Ben Ali à l'essor de groupuscules islamistes violents responsables notamment, selon les autorités, d'une attaque contre l'ambassade américaine en septembre 2012 et de l'assassinat d'un opposant en février. Le 19 mai, des affrontements entre militants d'Ansar Asharia et policiers ont fait un mort et une vingtaine de blessés à Tunis. Ansar Asharia, principal groupe salafiste jihadiste en Tunisie, a par le passé nié tout lien avec le groupe pourchassé par les forces tunisiennes à la frontière algérienne. Selon la même source, cinq "terroristes" ont été arrêtés fin mai s'ajoutant aux 40 autres placés en détention entre décembre 2012 et avril 2013. Lors de cette conférence, le porte-parole du ministère a montré les photos de 19 jihadistes tunisiens impliqués dans les évènements du Mont Chaâmbi et a cité les noms de 7 autres de nationalité algérienne. Les jihadistes du mont Chaâmbi sont recherchés depuis une attaque qui avait coûté la vie à un gendarme en décembre. A l'époque, une vaste opération n'avait pas réussi à démanteler cette cellule. Les opérations des forces tunisiennes ont repris après que 16 militaires et gendarmes ont été blessés dans les explosions de mines placées sur cette montagne par le groupe armé. La Tunisie est confrontée depuis la révolution qui a chassé début 2011 l'ancien président Zine el Abidine Ben Ali à l'essor de groupuscules islamistes violents responsables notamment, selon les autorités, d'une attaque contre l'ambassade américaine en septembre 2012 et de l'assassinat d'un opposant en février. Le 19 mai, des affrontements entre militants d'Ansar Asharia et policiers ont fait un mort et une vingtaine de blessés à Tunis.