La campagne électorale pour les présidentielles de 2014 a démarré depuis peu bien loin du terrain habituel mais là où les Algériens s'y attendent le moins. En effet, certains ont déjà affiché les couleurs et ont d'ores et déjà entamé leur campagne sur Internet. La campagne électorale pour les présidentielles de 2014 a démarré depuis peu bien loin du terrain habituel mais là où les Algériens s'y attendent le moins. En effet, certains ont déjà affiché les couleurs et ont d'ores et déjà entamé leur campagne sur Internet. D'ici peu, ce sera sur les réseaux sociaux que cette campagne se fera et, bien évidemment, les commentaires des citoyens-internautes, en particulier les jeunes, ne se feront pas attendre. Quoique ce qu'il faut savoir, c'est que la donne politique en Algérie a certes évolué ces dernières années, a connu des mutations avec des dizaines de partis politiques qui se sont créés, bien que pour la plus part, ce processus s'est fait à la hâte, de manière peu conventionnelle, sommes-nous tentés de dire. Néanmoins, il est certain que le peu d'intérêt que l'Algérien moyen porte à la politique se fera ressentir d'ici au jour de l'élection présidentielle d'avril 2014. Dix mois nous séparent de cette échéance, importante certes, mais les Algériens nous ont, faut-il le rappeler, habitué à l'abstention, ce qui laisse prédire que cette campagne, qu'elle soit menée sur le terrain ou sur la toile, elle sera accueillie de la même manière. L'introduction de ce moyen de campagne nouveau, aux yeux des Algériens, bien qu'habitué aux réseaux sociaux et à l'Internet, ne changera pas la donne, car les jeunes, qui représentent le taux d'internautes le plus important dans la société, se fera plaisir en ayant recours à ce moyen de communication uniquement pour « dire ce qu'ils pensent », une autre façon d'exprimer et de commenter à leur manière dans le « virtuel » et ce, en grand nombre, pour ensuite, comme à l'accoutumée, bouder tout simplement ces candidats sur le terrain ; l'exemple en a été donné durant les dernières législatives, bien que l'enjeu ne soit pas le même, faut-il le souligner. Depuis peu, l'ancien directeur de campagne du président Bouteflika, également ancien Premier ministre, Ali Benflis, n'a, semble-t-il, pas baissé les bras, du moins ses partisans. Ces derniers ont investi la toile, en lançant un site Internet dédié à sa campagne électorale. Dans cette plateforme virtuelle, ils écrivent ; « Ce site est un appel lancé par un groupe de jeunes citoyens en faveur d'une candidature de Ali Benflis aux élections présidentielles de 2014.» Ce site, soulignons-le, est actif depuis plusieurs mois, soit depuis décembre dernier. Un autre candidat, qui s'est déclaré en tant que tel dernièrement, il s'agit de l'ancien chef du gouvernement, Ahmed Benbitour. Un site web existe sur la toile et est dédié à sa campagne. Ce dernier, intitulé « Jazaïr alizdihar » (l'Algérie du progrès), où sont diffusés des communiqués à la presse ou encore l'agenda des événements que Benbitour a animé ou animera. D'autres candidats, à l'instar des islamistes, qui cachent encore leurs cartes pour le moment, vont certainement s'en presser d'envahir la toile en espérant reconquérir le cœur des électeurs algériens en masse. Les jours à venir seront à même de nous l'infirmer ou de le confirmer. D'ici peu, ce sera sur les réseaux sociaux que cette campagne se fera et, bien évidemment, les commentaires des citoyens-internautes, en particulier les jeunes, ne se feront pas attendre. Quoique ce qu'il faut savoir, c'est que la donne politique en Algérie a certes évolué ces dernières années, a connu des mutations avec des dizaines de partis politiques qui se sont créés, bien que pour la plus part, ce processus s'est fait à la hâte, de manière peu conventionnelle, sommes-nous tentés de dire. Néanmoins, il est certain que le peu d'intérêt que l'Algérien moyen porte à la politique se fera ressentir d'ici au jour de l'élection présidentielle d'avril 2014. Dix mois nous séparent de cette échéance, importante certes, mais les Algériens nous ont, faut-il le rappeler, habitué à l'abstention, ce qui laisse prédire que cette campagne, qu'elle soit menée sur le terrain ou sur la toile, elle sera accueillie de la même manière. L'introduction de ce moyen de campagne nouveau, aux yeux des Algériens, bien qu'habitué aux réseaux sociaux et à l'Internet, ne changera pas la donne, car les jeunes, qui représentent le taux d'internautes le plus important dans la société, se fera plaisir en ayant recours à ce moyen de communication uniquement pour « dire ce qu'ils pensent », une autre façon d'exprimer et de commenter à leur manière dans le « virtuel » et ce, en grand nombre, pour ensuite, comme à l'accoutumée, bouder tout simplement ces candidats sur le terrain ; l'exemple en a été donné durant les dernières législatives, bien que l'enjeu ne soit pas le même, faut-il le souligner. Depuis peu, l'ancien directeur de campagne du président Bouteflika, également ancien Premier ministre, Ali Benflis, n'a, semble-t-il, pas baissé les bras, du moins ses partisans. Ces derniers ont investi la toile, en lançant un site Internet dédié à sa campagne électorale. Dans cette plateforme virtuelle, ils écrivent ; « Ce site est un appel lancé par un groupe de jeunes citoyens en faveur d'une candidature de Ali Benflis aux élections présidentielles de 2014.» Ce site, soulignons-le, est actif depuis plusieurs mois, soit depuis décembre dernier. Un autre candidat, qui s'est déclaré en tant que tel dernièrement, il s'agit de l'ancien chef du gouvernement, Ahmed Benbitour. Un site web existe sur la toile et est dédié à sa campagne. Ce dernier, intitulé « Jazaïr alizdihar » (l'Algérie du progrès), où sont diffusés des communiqués à la presse ou encore l'agenda des événements que Benbitour a animé ou animera. D'autres candidats, à l'instar des islamistes, qui cachent encore leurs cartes pour le moment, vont certainement s'en presser d'envahir la toile en espérant reconquérir le cœur des électeurs algériens en masse. Les jours à venir seront à même de nous l'infirmer ou de le confirmer.