Les prix des produits alimentaires de base sont restés stables en mai 2013, soit un niveau quasiment inchangé par rapport au mois dernier, a constaté la FAO dans son rapport sur les prix des aliments de juin 2013, en se basant sur son propre indice. Les prix des produits alimentaires de base sont restés stables en mai 2013, soit un niveau quasiment inchangé par rapport au mois dernier, a constaté la FAO dans son rapport sur les prix des aliments de juin 2013, en se basant sur son propre indice. Selon cet indice, les prix des aliments s'est établi en moyenne à 215,2 points en mai 2013, soit un niveau quasiment inchangé par rapport au mois dernier (215,8 points), a indiqué la FAO, estimant qu'à ce niveau, l'indice actuel est inférieur d'environ 10% au sommet atteint en février 2011. "Le léger recul enregistré en mai est dû à la baisse des prix du sucre et des produits laitiers, qui ont plus que compensé l'augmentation des céréales. Les prix de l'huile et de la viande sont restés inchangés", a relevé la FAO. Les prix des céréales s'est établi en moyenne à 238,9 points en mai, en hausse de 4 points (1,9%) par rapport au mois d'avril, mais supérieur de près de 17 points (7,8%) au niveau enregistré en 2012 pendant la même période. L'augmentation du mois dernier s'explique en grande partie par un fort rebond des prix du maïs, dû principalement aux resserrement des disponibilités à l'exportation et à des retards dans les semis des cultures aux Etats-Unis, selon l'agence. En revanche, les cours du blé et du riz sont restés quasiment stables par rapport au mois précédent, a-t-on encore relevé. Les prix des huiles/matières grasses s'est établi en moyenne à 199,0 points en mars, soit un niveau quasiment égal à celui d'avril. Les prix de l'huile de palme se sont redressés suite à un recul des stocks mondiaux par rapport aux niveaux records qu'ils avaient atteints récemment, tandis que les cours de l'huile de soja ont fléchi en raison de disponibilités exportables plus importantes que prévu en Argentine et de perspectives encourageantes concernant la récolte de soja 2013/14 aux Etats-Unis, a fait savoir la FAO. Les prix des produits laitiers s'est établi en moyenne à 249,8 points en mai, en recul de 9 points (3,5%) par rapport au niveau exceptionnellement élevé enregistré en avril. "Parmi les produits qui composent l'indice, le lait en poudre écrémé est celui qui a connu la chute la plus brutale, suivi par le beurre et le lait entier en poudre, tandis que le prix moyen du fromage (cheddar) a légèrement augmenté", a constaté la même source. "Les disponibilités de produits laitiers commercialisés sont encore limitées par des facteurs climatiques qui pèsent sur la production de lait dans la plupart des pays exportateurs", a-t-on souligné. Les prix de la viande s'est établi en moyenne à 179,3 points en mai, soit un niveau similaire à celui d'avril. En ce qui concerne les différentes catégories de viande qui composent l'indice, les prix de la volaille ont continué leur ascension et atteint un niveau record. Les prix de la viande ovine ont également monté, mais ceux des autres catégories de viande sont restés largement inchangés, selon l'agence. Les prix du sucre s'est établi en moyenne à 250,1 points en mai, en baisse de 2,6 points (1%) par rapport à avril. Les prix du sucre ont continué de fléchir en mai, en raison de conditions favorables pour les récoltes au Brésil, premier producteur et exportateur mondial, qui ont dopé la récolte de canne à sucre.Plus généralement, le fléchissement des prix reflète des perspectives de disponibilités mondiales plus abondantes associées à une contraction de la demande d'importation. Selon cet indice, les prix des aliments s'est établi en moyenne à 215,2 points en mai 2013, soit un niveau quasiment inchangé par rapport au mois dernier (215,8 points), a indiqué la FAO, estimant qu'à ce niveau, l'indice actuel est inférieur d'environ 10% au sommet atteint en février 2011. "Le léger recul enregistré en mai est dû à la baisse des prix du sucre et des produits laitiers, qui ont plus que compensé l'augmentation des céréales. Les prix de l'huile et de la viande sont restés inchangés", a relevé la FAO. Les prix des céréales s'est établi en moyenne à 238,9 points en mai, en hausse de 4 points (1,9%) par rapport au mois d'avril, mais supérieur de près de 17 points (7,8%) au niveau enregistré en 2012 pendant la même période. L'augmentation du mois dernier s'explique en grande partie par un fort rebond des prix du maïs, dû principalement aux resserrement des disponibilités à l'exportation et à des retards dans les semis des cultures aux Etats-Unis, selon l'agence. En revanche, les cours du blé et du riz sont restés quasiment stables par rapport au mois précédent, a-t-on encore relevé. Les prix des huiles/matières grasses s'est établi en moyenne à 199,0 points en mars, soit un niveau quasiment égal à celui d'avril. Les prix de l'huile de palme se sont redressés suite à un recul des stocks mondiaux par rapport aux niveaux records qu'ils avaient atteints récemment, tandis que les cours de l'huile de soja ont fléchi en raison de disponibilités exportables plus importantes que prévu en Argentine et de perspectives encourageantes concernant la récolte de soja 2013/14 aux Etats-Unis, a fait savoir la FAO. Les prix des produits laitiers s'est établi en moyenne à 249,8 points en mai, en recul de 9 points (3,5%) par rapport au niveau exceptionnellement élevé enregistré en avril. "Parmi les produits qui composent l'indice, le lait en poudre écrémé est celui qui a connu la chute la plus brutale, suivi par le beurre et le lait entier en poudre, tandis que le prix moyen du fromage (cheddar) a légèrement augmenté", a constaté la même source. "Les disponibilités de produits laitiers commercialisés sont encore limitées par des facteurs climatiques qui pèsent sur la production de lait dans la plupart des pays exportateurs", a-t-on souligné. Les prix de la viande s'est établi en moyenne à 179,3 points en mai, soit un niveau similaire à celui d'avril. En ce qui concerne les différentes catégories de viande qui composent l'indice, les prix de la volaille ont continué leur ascension et atteint un niveau record. Les prix de la viande ovine ont également monté, mais ceux des autres catégories de viande sont restés largement inchangés, selon l'agence. Les prix du sucre s'est établi en moyenne à 250,1 points en mai, en baisse de 2,6 points (1%) par rapport à avril. Les prix du sucre ont continué de fléchir en mai, en raison de conditions favorables pour les récoltes au Brésil, premier producteur et exportateur mondial, qui ont dopé la récolte de canne à sucre.Plus généralement, le fléchissement des prix reflète des perspectives de disponibilités mondiales plus abondantes associées à une contraction de la demande d'importation.