Les monarchies sunnites du Golfe ont promis lundi de sanctionner les miliciens du Hezbollah chiite libanais en représailles à leur intervention en Syrie aux côtés des forces de Bachar al Assad. Cette décision intervient cinq jours après la condamnation par la Ligue arabe de l'implication du Hezbollah dans la bataille de Koussaïr, une ville stratégique proche de la frontière libanaise que les forces loyalistes ont reprise mercredi aux rebelles syriens. Les monarchies sunnites du Golfe ont promis lundi de sanctionner les miliciens du Hezbollah chiite libanais en représailles à leur intervention en Syrie aux côtés des forces de Bachar al Assad. Cette décision intervient cinq jours après la condamnation par la Ligue arabe de l'implication du Hezbollah dans la bataille de Koussaïr, une ville stratégique proche de la frontière libanaise que les forces loyalistes ont reprise mercredi aux rebelles syriens. Les six pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont "décidé de prendre des mesures contre les individus appartenant au parti (Hezbollah) résidant dans les pays membres, que cela concerne leur résidence ou leurs transactions financières et commerciales", a annoncé le secrétariat du CCG dans un communiqué repris par l'agence saoudienne SPA. L'Arabie saoudite et le Qatar, poids lourds du CCG et de la Ligue arabe, réclament le départ du président syrien et soutiennent la rébellion majoritairement sunnite. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a quant à lui estimé la semaine dernière que la Syrie et le Liban devaient faire face à une menace commune, celle de l'islamisme radical sunnite. Les six pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont "décidé de prendre des mesures contre les individus appartenant au parti (Hezbollah) résidant dans les pays membres, que cela concerne leur résidence ou leurs transactions financières et commerciales", a annoncé le secrétariat du CCG dans un communiqué repris par l'agence saoudienne SPA. L'Arabie saoudite et le Qatar, poids lourds du CCG et de la Ligue arabe, réclament le départ du président syrien et soutiennent la rébellion majoritairement sunnite. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a quant à lui estimé la semaine dernière que la Syrie et le Liban devaient faire face à une menace commune, celle de l'islamisme radical sunnite.