Quelque 1.800 vols ont été annulés mardi en France en raison d'une grève des contrôleurs aériens qui contestent les projets de la Commission européenne de libéralisation du secteur, a rapporté la Direction générale de l'aviation civile (DGAC). Quelque 1.800 vols ont été annulés mardi en France en raison d'une grève des contrôleurs aériens qui contestent les projets de la Commission européenne de libéralisation du secteur, a rapporté la Direction générale de l'aviation civile (DGAC). Le syndicat autonome des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA), qui se dit majoritaire chez les contrôleurs aérien de la DGAC, a déposé un préavis de grève du 11 au 13 juin, afin de dénoncer "les conséquences directes sur la politique nationale des contraintes européennes" dans le secteur. D‘autres syndicats ont déposé des préavis, mais pour la seule journée de mercredi, afin notamment de dénoncer le projet de Bruxelles visant à créer un "ciel unique" au niveau européen. Un porte-parole de la DGAC a indiqué qu "globalement, la situation est assez calme dans les aérogares" car les mesures prises en amont permettent "d‘avoir uniquement les passagers qui ont un avion à prendre", précisant que 1.800 vols avaient été annulés sur l‘ensemble du territoire, alors qu‘en moyenne "il y a 7.650 vols sur la journée". La DGAC avait demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 50% pendant la durée de cette grève, de mardi à jeudi, dans les aéroports de Roissy, Orly, Beauvais, Lyon, Nice, Marseille, Toulouse et Bordeaux. La compagnie Air France estimait notamment lundi, sur son site, être en mesure d‘assurer les vols long-courrier au départ de Paris, mais n‘excluait pas "des retards et des annulations de dernière minute", invitant les passagers à se tenir informés "en temps réel". Le syndicat autonome des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA), qui se dit majoritaire chez les contrôleurs aérien de la DGAC, a déposé un préavis de grève du 11 au 13 juin, afin de dénoncer "les conséquences directes sur la politique nationale des contraintes européennes" dans le secteur. D‘autres syndicats ont déposé des préavis, mais pour la seule journée de mercredi, afin notamment de dénoncer le projet de Bruxelles visant à créer un "ciel unique" au niveau européen. Un porte-parole de la DGAC a indiqué qu "globalement, la situation est assez calme dans les aérogares" car les mesures prises en amont permettent "d‘avoir uniquement les passagers qui ont un avion à prendre", précisant que 1.800 vols avaient été annulés sur l‘ensemble du territoire, alors qu‘en moyenne "il y a 7.650 vols sur la journée". La DGAC avait demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 50% pendant la durée de cette grève, de mardi à jeudi, dans les aéroports de Roissy, Orly, Beauvais, Lyon, Nice, Marseille, Toulouse et Bordeaux. La compagnie Air France estimait notamment lundi, sur son site, être en mesure d‘assurer les vols long-courrier au départ de Paris, mais n‘excluait pas "des retards et des annulations de dernière minute", invitant les passagers à se tenir informés "en temps réel".