Plus de 400 familles de la vieille cité Beni Mouimene d'El-Affroune (Blida), dont l'édification remonte à 1954, seront relogées, en septembre prochain, dans des logements neufs, a indiqué lundi le chef de cette daïra. Plus de 400 familles de la vieille cité Beni Mouimene d'El-Affroune (Blida), dont l'édification remonte à 1954, seront relogées, en septembre prochain, dans des logements neufs, a indiqué lundi le chef de cette daïra. "Le nombre de familles résidant au niveau de cette cité de vieilles habitations auxquelles sont venues se greffer des constructions anarchiques, est estimé à 460, selon un recensement réalisé en 2012", a précisé, à l'APS, Cherchali Mohamed, relevant une hausse de ses habitants comparativement au recensement de 2007, où ils n'étaient que 398 familles. Selon ce responsable, le relogement de ces familles, inscrit au titre de la restructuration de la cité Béni-Mouimène, mitoyenne du nouveau pôle universitaire, "touchera, dans un premier temps, 400 familles, avant de s'étendre au reste des habitants, après la confirmation de leur situation sociale". Une fois ces habitants relogés, toutes les vieilles habitations de cette cité, implantée sur une superficie de 3 ha, et où l'anarchie s'était instaurée, seront démolies, aux fins d'y implanter une polyclinique ou des espaces verts, a précisé la même source. "Le nombre de familles résidant au niveau de cette cité de vieilles habitations auxquelles sont venues se greffer des constructions anarchiques, est estimé à 460, selon un recensement réalisé en 2012", a précisé, à l'APS, Cherchali Mohamed, relevant une hausse de ses habitants comparativement au recensement de 2007, où ils n'étaient que 398 familles. Selon ce responsable, le relogement de ces familles, inscrit au titre de la restructuration de la cité Béni-Mouimène, mitoyenne du nouveau pôle universitaire, "touchera, dans un premier temps, 400 familles, avant de s'étendre au reste des habitants, après la confirmation de leur situation sociale". Une fois ces habitants relogés, toutes les vieilles habitations de cette cité, implantée sur une superficie de 3 ha, et où l'anarchie s'était instaurée, seront démolies, aux fins d'y implanter une polyclinique ou des espaces verts, a précisé la même source.