Le Festival culturel national de la musique et danse diwan de Béchar a réalisé un succès "amplement mérité", ont estimé des participants et invités à cette manifestation. Le Festival culturel national de la musique et danse diwan de Béchar a réalisé un succès "amplement mérité", ont estimé des participants et invités à cette manifestation. Les animateurs du festival, 15 troupes artistiques et 7 têtes d'affiche, ont fait découvrir, une fois encore, au public l'envoûtante musique diwane. Ce succès, outre qu'il soit du à la présence de plus de 200 musiciens de différentes régions du pays et de l'étranger à l'instar de l'ethnomusicologue américaine et joueuse de goumbri, Tamara Turner, est aussi le fait de l'ampleur, sans cesse grandissante que prend cette manifestation qui, en l'espace de quelques jours, a fait de la ville de Béchar, une "kibla" des adeptes du diwan. Plusieurs spécialistes nationaux et étrangers notamment, des chercheurs en patrimoine musical diwan ont été unanimes pour dire que le Festival culturel de musique et danse diwan, clôturé jeudi soir, "est devenu l'une des plus importantes manifestations musicale du pays". Cette réussite, ont-ils souligné, a été assurée grâce aux efforts et au dévouement de l'équipe organisatrice et à la qualité des musiciens et troupes conviés annuellement à ce festival, qui, "malgré certaines lacunes, reste l'unique espace dédié à la connaissance académique des rites sacrés et profanes du diwan" rapporte l'APS. Des conférences-débats ont été animées, en marge des représentations artistiques par des chercheurs et spécialistes des questions socioculturelles liés au diwan, genre qui s'est imposé ces sept dernières années comme une véritable alternative musicale dans le pays, a-t-on soutenu. Le Festival national de musique et danse diwan connaîtra assurément de nouvelles mutations avec le renforcement de sa programmation artistique en faisant appel aux groupes et formations d'autres genre musicaux et ce "comme cadeau" des organisateurs au public. Ces derniers ont pensé à mettre en évidence les créations de ces formations artistiques et, par ricochet, inviter les spectateurs à se délecter des spectacles donnés par Lotfi Raina-Rai, Kerketou, Hasna El Bacharia, Imarhane, Gaada-Diwane de Béchar et Ouled Haoussa. Pour la prochaine édition il est prévu d'amener la scène artistique à travers les trois grands quartiers de la ville de Béchar et poursuivre les efforts en matière d'animation artistique au niveau des communes par des troupes conviés à ce festival. D'autres projets sont inscrits dans l'agenda de la huitième édition dont les participants souhaitent qu'elle sera organisée durant la période des congés scolaires du printemps. Le premier prix de cette 7e édition a été remporté par la troupe "Diwane ammi Brahim" de Béchar, tandis que le deuxième et troisième prix ont été décernés par le jury respectivement à la troupe "Ouled Bambra" d'Alger et "Dendoun" de Ghardaïa, alors que celle de "Hna Mssilmine" de Aïn-Sefra (wilaya de Naâma) a reçu le prix spécial décerné pour la première fois depuis la création de ce festival et ce comme encouragement aux musiciens de cette formation, ont souligné les organisateur du festival. Les animateurs du festival, 15 troupes artistiques et 7 têtes d'affiche, ont fait découvrir, une fois encore, au public l'envoûtante musique diwane. Ce succès, outre qu'il soit du à la présence de plus de 200 musiciens de différentes régions du pays et de l'étranger à l'instar de l'ethnomusicologue américaine et joueuse de goumbri, Tamara Turner, est aussi le fait de l'ampleur, sans cesse grandissante que prend cette manifestation qui, en l'espace de quelques jours, a fait de la ville de Béchar, une "kibla" des adeptes du diwan. Plusieurs spécialistes nationaux et étrangers notamment, des chercheurs en patrimoine musical diwan ont été unanimes pour dire que le Festival culturel de musique et danse diwan, clôturé jeudi soir, "est devenu l'une des plus importantes manifestations musicale du pays". Cette réussite, ont-ils souligné, a été assurée grâce aux efforts et au dévouement de l'équipe organisatrice et à la qualité des musiciens et troupes conviés annuellement à ce festival, qui, "malgré certaines lacunes, reste l'unique espace dédié à la connaissance académique des rites sacrés et profanes du diwan" rapporte l'APS. Des conférences-débats ont été animées, en marge des représentations artistiques par des chercheurs et spécialistes des questions socioculturelles liés au diwan, genre qui s'est imposé ces sept dernières années comme une véritable alternative musicale dans le pays, a-t-on soutenu. Le Festival national de musique et danse diwan connaîtra assurément de nouvelles mutations avec le renforcement de sa programmation artistique en faisant appel aux groupes et formations d'autres genre musicaux et ce "comme cadeau" des organisateurs au public. Ces derniers ont pensé à mettre en évidence les créations de ces formations artistiques et, par ricochet, inviter les spectateurs à se délecter des spectacles donnés par Lotfi Raina-Rai, Kerketou, Hasna El Bacharia, Imarhane, Gaada-Diwane de Béchar et Ouled Haoussa. Pour la prochaine édition il est prévu d'amener la scène artistique à travers les trois grands quartiers de la ville de Béchar et poursuivre les efforts en matière d'animation artistique au niveau des communes par des troupes conviés à ce festival. D'autres projets sont inscrits dans l'agenda de la huitième édition dont les participants souhaitent qu'elle sera organisée durant la période des congés scolaires du printemps. Le premier prix de cette 7e édition a été remporté par la troupe "Diwane ammi Brahim" de Béchar, tandis que le deuxième et troisième prix ont été décernés par le jury respectivement à la troupe "Ouled Bambra" d'Alger et "Dendoun" de Ghardaïa, alors que celle de "Hna Mssilmine" de Aïn-Sefra (wilaya de Naâma) a reçu le prix spécial décerné pour la première fois depuis la création de ce festival et ce comme encouragement aux musiciens de cette formation, ont souligné les organisateur du festival.