L'administration de la SNTF a été paralysée, hier, par une grève initiée par la Fédération nationale des transports ferroviaires). Toutefois, le trafic ferroviaire est toujours en marche et il sera gelé dans les jours à venir, en cas de non satisfaction de la plateforme de revendications de la FNC par la direction générale de l'entreprise étatique. L'administration de la SNTF a été paralysée, hier, par une grève initiée par la Fédération nationale des transports ferroviaires). Toutefois, le trafic ferroviaire est toujours en marche et il sera gelé dans les jours à venir, en cas de non satisfaction de la plateforme de revendications de la FNC par la direction générale de l'entreprise étatique. Selon un membre de la Fédération nationale des cheminots (FNC), «la grève s'élargira prochainement touchant le gel du trafic ferroviaire si l'ensemble des revendications ne seront pas réglées par le directeur général de la SNTF dans les plus brefs délais». Ce même membre du FNC rappelle les points sur lesquels sa fédération proteste depuis maintenant plusieurs années, commençant par la satisfaction des problèmes socioprofessionnels des travailleurs (l'amélioration des conditions de travail, revoir la grille des salaires...). Outre les problèmes de travail, les membres du bureau de FNC réclament l'attachement de l'entreprise au protocole signé entre la direction générale et FNC auparavant. Et au cours de processus de négociations en juin 20111 et en octobre 2012, aucun déni d'engagement n'a été fait et aucune suite. Le troisième point, toujours les membres du bureau de la fédération insistent à la dissolution du comité de participation (CP) pour son absence permanente sur le terrain (la gérance de l'entreprise et le social, etc.). Et d'ajouter, selon eux, « l'urgence du départ du DRH (directeur des ressources humains), dépassant les 65 ans, qui n'est pas à la hauteur de régler leurs problèmes socioprofessionnels, laissant sa place à de jeunes compétents» . En réponse à une question posée à un membre de la fédération sur l'éventuelle grève dans les jours à venir, touchant le trafic ferroviaire, il dira « prochainement, c'est possible que le trafic ferroviaire soit gelé si la direction générale reste toujours sourde aux revendications légitimes des travailleurs de l'entreprise». Pour les premier temps, la grève a touché conjointement Constantine, Alger et à Oran. Par ailleurs, les travailleurs souhaitent voir leur entreprise prendre leurs doléances en charge. Selon un membre de la Fédération nationale des cheminots (FNC), «la grève s'élargira prochainement touchant le gel du trafic ferroviaire si l'ensemble des revendications ne seront pas réglées par le directeur général de la SNTF dans les plus brefs délais». Ce même membre du FNC rappelle les points sur lesquels sa fédération proteste depuis maintenant plusieurs années, commençant par la satisfaction des problèmes socioprofessionnels des travailleurs (l'amélioration des conditions de travail, revoir la grille des salaires...). Outre les problèmes de travail, les membres du bureau de FNC réclament l'attachement de l'entreprise au protocole signé entre la direction générale et FNC auparavant. Et au cours de processus de négociations en juin 20111 et en octobre 2012, aucun déni d'engagement n'a été fait et aucune suite. Le troisième point, toujours les membres du bureau de la fédération insistent à la dissolution du comité de participation (CP) pour son absence permanente sur le terrain (la gérance de l'entreprise et le social, etc.). Et d'ajouter, selon eux, « l'urgence du départ du DRH (directeur des ressources humains), dépassant les 65 ans, qui n'est pas à la hauteur de régler leurs problèmes socioprofessionnels, laissant sa place à de jeunes compétents» . En réponse à une question posée à un membre de la fédération sur l'éventuelle grève dans les jours à venir, touchant le trafic ferroviaire, il dira « prochainement, c'est possible que le trafic ferroviaire soit gelé si la direction générale reste toujours sourde aux revendications légitimes des travailleurs de l'entreprise». Pour les premier temps, la grève a touché conjointement Constantine, Alger et à Oran. Par ailleurs, les travailleurs souhaitent voir leur entreprise prendre leurs doléances en charge.