Les discussions sur le dossier syrien ont été particulièrement âpres, Vladimir Poutine se retrouvant très déterminé, malgré les pressions de ses partenaires pour qu'il modère son soutien au président Assad. Les discussions sur le dossier syrien ont été particulièrement âpres, Vladimir Poutine se retrouvant très déterminé, malgré les pressions de ses partenaires pour qu'il modère son soutien au président Assad. Les chefs d'Etat et de gouvernement des pays du G8 appellent à la tenue de négociations le plus rapidement possible pour résoudre le conflit en Syrie mais la Russie a obtenu qu'ils ne mentionnent pas le sort du président Bachar al Assad dans leur communiqué final mardi. Les discussions sur le dossier syrien ont été particulièrement âpres, Vladimir Poutine se retrouvant très déterminé, malgré les pressions de ses partenaires pour qu'il modère son soutien au président Assad. Le président russe a refusé toute mention dans le communiqué qui aurait impliqué une mise à l'écart de Bachar al Assad ou une modération du soutien de la Russie au président syrien. Pourtant, le président américain Barack Obama et les dirigeants occidentaux ont souvent présenté le départ du chef de l'Etat syrien comme faisant partie de la solution au conflit. Dans leur communiqué, les membres du G8 précisent qu'ils restent "déterminés à trouver une solution politique à la crise, basée sur une vision d'une Syrie démocratique" et comprenant toutes les parties au conflit. Ils sont également d'accord pour organiser à Genève une conférence de paix sur la Syrie "aussitôt que possible". A Enniskillen, où était organisé le sommet du G8 en Irlande du Nord, on soulignait de source proche des discussions que cette conférence de Genève, initialement prévue pour juin, puis pour juillet, pourrait ne pas se tenir avant août. Les dirigeants du G8 (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Canada et Russie) appellent aussi les autorités syriennes et l'opposition à s'engager à démanteler toutes les organisations affiliées à Al Qaïda. Ils s'engagent aussi à fournir une aide humanitaire de 1,5 milliard de dollars (1,1 milliard d'euros) pour soulager la population syrienne. Pour le président russe, forcer le président Assad à se retirer aurait des conséquences désastreuses, non seulement pour la Syrie mais aussi pour tout le Proche-Orient, à un moment où n'existe aucun plan précis de transition. Barack Obama a toutefois déclaré à la fin du sommet qu'il était important de construire une forte opposition en Syrie capable de prendre les rênes du pays en cas de départ de Bachar al Assad. Vladimir Poutine a assuré qu'il ne s'était pas senti isolé lors de ce sommet. Il a par ailleurs réitéré ses critiques au sujet des projets occidentaux de livraisons d'armes aux insurgés, qui pourraient selon lui être un jour utilisées en Europe, tout en défendant les relations entre Moscou et Damas dans le domaine de l'armement. Les chefs d'Etat et de gouvernement des pays du G8 appellent à la tenue de négociations le plus rapidement possible pour résoudre le conflit en Syrie mais la Russie a obtenu qu'ils ne mentionnent pas le sort du président Bachar al Assad dans leur communiqué final mardi. Les discussions sur le dossier syrien ont été particulièrement âpres, Vladimir Poutine se retrouvant très déterminé, malgré les pressions de ses partenaires pour qu'il modère son soutien au président Assad. Le président russe a refusé toute mention dans le communiqué qui aurait impliqué une mise à l'écart de Bachar al Assad ou une modération du soutien de la Russie au président syrien. Pourtant, le président américain Barack Obama et les dirigeants occidentaux ont souvent présenté le départ du chef de l'Etat syrien comme faisant partie de la solution au conflit. Dans leur communiqué, les membres du G8 précisent qu'ils restent "déterminés à trouver une solution politique à la crise, basée sur une vision d'une Syrie démocratique" et comprenant toutes les parties au conflit. Ils sont également d'accord pour organiser à Genève une conférence de paix sur la Syrie "aussitôt que possible". A Enniskillen, où était organisé le sommet du G8 en Irlande du Nord, on soulignait de source proche des discussions que cette conférence de Genève, initialement prévue pour juin, puis pour juillet, pourrait ne pas se tenir avant août. Les dirigeants du G8 (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Canada et Russie) appellent aussi les autorités syriennes et l'opposition à s'engager à démanteler toutes les organisations affiliées à Al Qaïda. Ils s'engagent aussi à fournir une aide humanitaire de 1,5 milliard de dollars (1,1 milliard d'euros) pour soulager la population syrienne. Pour le président russe, forcer le président Assad à se retirer aurait des conséquences désastreuses, non seulement pour la Syrie mais aussi pour tout le Proche-Orient, à un moment où n'existe aucun plan précis de transition. Barack Obama a toutefois déclaré à la fin du sommet qu'il était important de construire une forte opposition en Syrie capable de prendre les rênes du pays en cas de départ de Bachar al Assad. Vladimir Poutine a assuré qu'il ne s'était pas senti isolé lors de ce sommet. Il a par ailleurs réitéré ses critiques au sujet des projets occidentaux de livraisons d'armes aux insurgés, qui pourraient selon lui être un jour utilisées en Europe, tout en défendant les relations entre Moscou et Damas dans le domaine de l'armement.