Naftal passe à la vitesse supérieure en prenant des mesures de rationnement pour les stations de la région ouest du pays pour toute la durée estivale. Cela va faire grincer des dents mais aux grands maux les grands remèdes ! Naftal passe à la vitesse supérieure en prenant des mesures de rationnement pour les stations de la région ouest du pays pour toute la durée estivale. Cela va faire grincer des dents mais aux grands maux les grands remèdes ! On se souvient de la pénurie sévère de carburant de 2011 qui avait touché précisément les wilayas de l'ouest du pays engendrant des files monstres de voitures dans les stations d'essence. Un dilemme se posait aux citoyens : spéculation ou rupture de stocks chez Naftal. L'index était pointé vers les actions de protestations des travailleurs de Sonatrach de Hassi R'mel qui ont dans une petite proportion perturbé le marché. Mais c'est surtout le poing que les autorités brandissent contre les «hallabas» qui pompent d'importantes quantités d'essence aux moyens de grosses cylindrées ou semi-remorques pour les écouler aux frontières marocaines et tunisiennes. Récemment, la Tunisie a saisi quelque 14.665 litres de carburant provenant des cuves de Naftal qui perd de gros sous. Le système de surveillance installé dans les stations d'essence dans les wilayas proches des frontières n'a pas donné grand-chose. La direction de Naftal passe à la vitesse supérieure en prenant des mesures de rationnement pour les stations de la région ouest du pays pour toute la durée estivale. Cela va faire grincer des dents mais aux grands maux les grands remèdes. Mais les stations à qui on impose des quotas de distribution vont-elles jouer le jeu devant les contrebandiers de tout acabit qui ne reculeront devant rien pour remplir leurs jerricans destinés aux réservoirs des 4X4 des groupes terroristes. Le Maroc aussi est très friand du carburant algérien après que le royaume chérifien ait décidé d'augmenter les tarifs de l'essence. Une frénésie s'est alors emparée des rangs du crime organisé qui troquent contre des lingots d'or, de la drogue quand ce ne sont pas des armes donnant ainsi du fil à retordre aux gardes-frontières qui sillonnent la bande frontalière Ouest et qui ont arrêté, en 2012, 343 contrebandiers et récupéré la bagatelle d'un million de litres de carburant. Naftal en fermant ainsi les « vannes » aux contrebandiers de l'Ouest évitera les ruptures de stock pour le marché domestique en attendant la mise en service du projet de la raffinerie d'Alger avec une capacité de 3,64 millions de tonnes par an qui on l'espère ne prendront pas les chemins détournés pour aller dans les réservoirs de nos voisins. On se souvient de la pénurie sévère de carburant de 2011 qui avait touché précisément les wilayas de l'ouest du pays engendrant des files monstres de voitures dans les stations d'essence. Un dilemme se posait aux citoyens : spéculation ou rupture de stocks chez Naftal. L'index était pointé vers les actions de protestations des travailleurs de Sonatrach de Hassi R'mel qui ont dans une petite proportion perturbé le marché. Mais c'est surtout le poing que les autorités brandissent contre les «hallabas» qui pompent d'importantes quantités d'essence aux moyens de grosses cylindrées ou semi-remorques pour les écouler aux frontières marocaines et tunisiennes. Récemment, la Tunisie a saisi quelque 14.665 litres de carburant provenant des cuves de Naftal qui perd de gros sous. Le système de surveillance installé dans les stations d'essence dans les wilayas proches des frontières n'a pas donné grand-chose. La direction de Naftal passe à la vitesse supérieure en prenant des mesures de rationnement pour les stations de la région ouest du pays pour toute la durée estivale. Cela va faire grincer des dents mais aux grands maux les grands remèdes. Mais les stations à qui on impose des quotas de distribution vont-elles jouer le jeu devant les contrebandiers de tout acabit qui ne reculeront devant rien pour remplir leurs jerricans destinés aux réservoirs des 4X4 des groupes terroristes. Le Maroc aussi est très friand du carburant algérien après que le royaume chérifien ait décidé d'augmenter les tarifs de l'essence. Une frénésie s'est alors emparée des rangs du crime organisé qui troquent contre des lingots d'or, de la drogue quand ce ne sont pas des armes donnant ainsi du fil à retordre aux gardes-frontières qui sillonnent la bande frontalière Ouest et qui ont arrêté, en 2012, 343 contrebandiers et récupéré la bagatelle d'un million de litres de carburant. Naftal en fermant ainsi les « vannes » aux contrebandiers de l'Ouest évitera les ruptures de stock pour le marché domestique en attendant la mise en service du projet de la raffinerie d'Alger avec une capacité de 3,64 millions de tonnes par an qui on l'espère ne prendront pas les chemins détournés pour aller dans les réservoirs de nos voisins.