Les gestionnaires des centres hospitalo-universitaires (CHU) d'Alger ont appelé les pouvoirs publics à régler le problème du stationnement des véhicules à l'intérieur et à l'extérieur de ces établissements, soulignant la nécessité d'aménager des parkings à leur proximité afin de les désengorger. Les gestionnaires des centres hospitalo-universitaires (CHU) d'Alger ont appelé les pouvoirs publics à régler le problème du stationnement des véhicules à l'intérieur et à l'extérieur de ces établissements, soulignant la nécessité d'aménager des parkings à leur proximité afin de les désengorger. Les gestionnaires des CHU d'Alger se sont plaints des superficies réduites réservées au parking au sein de ces établissements, qui ne peuvent accueillir les véhicules des personnels des hôpitaux ou ceux des proches des patients, outre le problème des embouteillages. Le CHU Mustapha Pacha vient en tête de ces établissements, car ses quatre entrées connaissent un grand encombrement. Le nombre de véhicules qui y accèdent quotidiennement avoisine les 3000 voitures, bloquant ainsi la voie au niveau de l'entrée principale de l'hôpital et amenuisant les chances de trouver une place de parking pour le personnel de l'hôpital ou les proches des patients, a indiqué à l'APS le directeur général de cet établissement, Hachemi Chaouch. Cet hôpital a été bâti à l'époque coloniale pour accueillir 400 véhicules seulement mais aujourd'hui celui-ci accueille près de 3000 véhicules, se transformant ainsi en un grand parking occupé par le personnel du CHU et celui du Centre de cancérologie Pierre et Marie Curie (CPMC), outre les véhicules des patients venus d'Alger et de sa banlieue et des visiteurs, a-t-il précisé. Ce CHU assure la formation de plus de 1000 médecins résidents, car disposant du plus grand nombre de services à Alger, outre les 11 services d'urgences spécialisés accueillant chacun près de 300 patients/jour, assurant ainsi davantage d'opportunités dans les domaines de la formation et de l'encadrement, a affirmé M. Chaouch. Le CHU compte près de 5500 employés ainsi que 3000 autres au niveau du CPMC représentant les différents corps de la santé, outre les patients qui affluent vers les différents services spécialisés dont des personnes atteintes du cancer ainsi que ceux des urgences dont le nombre moyen est de 600 patients/jour et ceux des six laboratoires biologiques. Parmi les facteurs ayant compliqué davantage la situation actuelle de l'hôpital, M. Chaouch a cité l'emplacement stratégique du CHU qui se trouve au cœur d'Alger près de grands carrefours et dans une zone connaissant un trafic routier dense, outre sa proximité de centres commerciaux et de marchés, ce qui incite certains citoyens qui viennent y faire leurs achats à stationner à l'intérieur du CHU. Il a déploré aussi l'embouteillage causé par les véhicules qui accèdent à l'hôpital menant parfois à l'encombrement du carrefour de la Place du 1er mai, en dépit des efforts déployés par les agents de sécurité employés par l'hôpital et des agents de police pour davantage de fluidité du trafic routier. Par ailleurs, il a exprimé son mécontentement quant aux difficultés rencontrées par les ambulances pour accéder aux différents services d'urgences, et ce même lorsqu'elles allument leurs gyrophares, en raison des différents véhicules qui bloquent les accès menant vers ces services vitaux et créent un énorme embouteillage à l'entrée de l'hôpital. La circulation des véhicules à l'intérieur de l'hôpital cause plusieurs désagréments aux piétons et aux patients, en raison du vacarme. Utilisation de chaînes pour réserver sa place de parking à l'hôpital Le chef du service de dermatologie au CHU Mustapha-Pacha, le Pr Smail Benkaidali a regretté l'utilisation par certains chefs de services de chaînes pour réserver leurs places de parking à l'intérieur de l'hôpital, affirmant que les médecins trouvent difficilement une place pour stationner et arrivent souvent en retard à cause du temps perdu à la chercher. Le même spécialiste a appelé les pouvoirs publics à aménager un parking spécialement pour l'hôpital ou de réserver deux niveaux au parking d'Ali Mellah -(à proximité du CHU) pour désengorger les accès à l'hôpital et lui permettre d'assurer des prestations de qualité. Mme Fouzia, surveillante médicale principale au service gastro-entérologie au même CHU a pour sa part affirmé qu'elle arrivait avant 7h du matin à l'hôpital afin de trouver une place de stationnement, exprimant son mécontentement quant aux comportements de certains agents de sécurité qui profitent de la situation et perçoivent une somme d'argent de la part de médecins afin de leur réserver une place de stationnement. Par ailleurs, le Dr Nadia, médecin au CPMC, a dit préférer ne pas prendre sa voiture afin d'éviter tout problème, affirmant que la situation actuelle de l'hôpital exigeait une intervention urgente des pouvoirs publics pour éviter tout dérapage au sein du CHU. De même, pour le CHU Lamine Debaghine (ex-Maillot) qui souffre du problème du stationnement. A cet égard, son directeur général, Nacer Bar a affirmé que les 2.000 véhicules qui accèdent quotidiennement à cet établissement bloquent l'unique entrée de l'hôpital et causent un énorme embouteillage à l'intérieur de celui-ci, en raison du manque de places de stationnement. Il a dit avoir envoyé plusieurs correspondances aux responsables locaux, les appelant à la nécessité de construire des parkings à proximité de l'hôpital, mais qu'il n'avait reçu aucune réponse permettant la résolution de ce problème. M. Bar espère que la polyclinique qui sera ouverte prochainement à proximité de l'hôpital permettra de désengorger ses services, d'améliorer la prise en charge des malades et de rendre le trafic plus fluide. Si les CHU Mustapha-Pacha à Alger-Centre et Lamine-Debaghine à Bab el-Oued pâtissent énormément du manque de places de stationnement, l'entrée du CHU Hassani-Issaad à Beni-Messous est souvent bloquée, en raison des deux arrêts de bus de transport d'étudiants situés à quelques mètres de cet hôpital. Le directeur général de l'hôpital, Omar Bourjouane, s'est plaint des conditions de travail de l'établissement, affirmant que les ambulances venant du côté est de l'hôpital et à leur bord des patients en situation grave trouvent beaucoup de difficultés à arriver aux différents services, en raison des bus qui bloquent la voie. Il a dit avoir adressé plusieurs correspondances aux responsables concernés mais en vain, déplorant le vacarme provoqué par ces bus et le désagrément qu'ils causent aux patients et à l'hôpital en général. Les gestionnaires des CHU d'Alger se sont plaints des superficies réduites réservées au parking au sein de ces établissements, qui ne peuvent accueillir les véhicules des personnels des hôpitaux ou ceux des proches des patients, outre le problème des embouteillages. Le CHU Mustapha Pacha vient en tête de ces établissements, car ses quatre entrées connaissent un grand encombrement. Le nombre de véhicules qui y accèdent quotidiennement avoisine les 3000 voitures, bloquant ainsi la voie au niveau de l'entrée principale de l'hôpital et amenuisant les chances de trouver une place de parking pour le personnel de l'hôpital ou les proches des patients, a indiqué à l'APS le directeur général de cet établissement, Hachemi Chaouch. Cet hôpital a été bâti à l'époque coloniale pour accueillir 400 véhicules seulement mais aujourd'hui celui-ci accueille près de 3000 véhicules, se transformant ainsi en un grand parking occupé par le personnel du CHU et celui du Centre de cancérologie Pierre et Marie Curie (CPMC), outre les véhicules des patients venus d'Alger et de sa banlieue et des visiteurs, a-t-il précisé. Ce CHU assure la formation de plus de 1000 médecins résidents, car disposant du plus grand nombre de services à Alger, outre les 11 services d'urgences spécialisés accueillant chacun près de 300 patients/jour, assurant ainsi davantage d'opportunités dans les domaines de la formation et de l'encadrement, a affirmé M. Chaouch. Le CHU compte près de 5500 employés ainsi que 3000 autres au niveau du CPMC représentant les différents corps de la santé, outre les patients qui affluent vers les différents services spécialisés dont des personnes atteintes du cancer ainsi que ceux des urgences dont le nombre moyen est de 600 patients/jour et ceux des six laboratoires biologiques. Parmi les facteurs ayant compliqué davantage la situation actuelle de l'hôpital, M. Chaouch a cité l'emplacement stratégique du CHU qui se trouve au cœur d'Alger près de grands carrefours et dans une zone connaissant un trafic routier dense, outre sa proximité de centres commerciaux et de marchés, ce qui incite certains citoyens qui viennent y faire leurs achats à stationner à l'intérieur du CHU. Il a déploré aussi l'embouteillage causé par les véhicules qui accèdent à l'hôpital menant parfois à l'encombrement du carrefour de la Place du 1er mai, en dépit des efforts déployés par les agents de sécurité employés par l'hôpital et des agents de police pour davantage de fluidité du trafic routier. Par ailleurs, il a exprimé son mécontentement quant aux difficultés rencontrées par les ambulances pour accéder aux différents services d'urgences, et ce même lorsqu'elles allument leurs gyrophares, en raison des différents véhicules qui bloquent les accès menant vers ces services vitaux et créent un énorme embouteillage à l'entrée de l'hôpital. La circulation des véhicules à l'intérieur de l'hôpital cause plusieurs désagréments aux piétons et aux patients, en raison du vacarme. Utilisation de chaînes pour réserver sa place de parking à l'hôpital Le chef du service de dermatologie au CHU Mustapha-Pacha, le Pr Smail Benkaidali a regretté l'utilisation par certains chefs de services de chaînes pour réserver leurs places de parking à l'intérieur de l'hôpital, affirmant que les médecins trouvent difficilement une place pour stationner et arrivent souvent en retard à cause du temps perdu à la chercher. Le même spécialiste a appelé les pouvoirs publics à aménager un parking spécialement pour l'hôpital ou de réserver deux niveaux au parking d'Ali Mellah -(à proximité du CHU) pour désengorger les accès à l'hôpital et lui permettre d'assurer des prestations de qualité. Mme Fouzia, surveillante médicale principale au service gastro-entérologie au même CHU a pour sa part affirmé qu'elle arrivait avant 7h du matin à l'hôpital afin de trouver une place de stationnement, exprimant son mécontentement quant aux comportements de certains agents de sécurité qui profitent de la situation et perçoivent une somme d'argent de la part de médecins afin de leur réserver une place de stationnement. Par ailleurs, le Dr Nadia, médecin au CPMC, a dit préférer ne pas prendre sa voiture afin d'éviter tout problème, affirmant que la situation actuelle de l'hôpital exigeait une intervention urgente des pouvoirs publics pour éviter tout dérapage au sein du CHU. De même, pour le CHU Lamine Debaghine (ex-Maillot) qui souffre du problème du stationnement. A cet égard, son directeur général, Nacer Bar a affirmé que les 2.000 véhicules qui accèdent quotidiennement à cet établissement bloquent l'unique entrée de l'hôpital et causent un énorme embouteillage à l'intérieur de celui-ci, en raison du manque de places de stationnement. Il a dit avoir envoyé plusieurs correspondances aux responsables locaux, les appelant à la nécessité de construire des parkings à proximité de l'hôpital, mais qu'il n'avait reçu aucune réponse permettant la résolution de ce problème. M. Bar espère que la polyclinique qui sera ouverte prochainement à proximité de l'hôpital permettra de désengorger ses services, d'améliorer la prise en charge des malades et de rendre le trafic plus fluide. Si les CHU Mustapha-Pacha à Alger-Centre et Lamine-Debaghine à Bab el-Oued pâtissent énormément du manque de places de stationnement, l'entrée du CHU Hassani-Issaad à Beni-Messous est souvent bloquée, en raison des deux arrêts de bus de transport d'étudiants situés à quelques mètres de cet hôpital. Le directeur général de l'hôpital, Omar Bourjouane, s'est plaint des conditions de travail de l'établissement, affirmant que les ambulances venant du côté est de l'hôpital et à leur bord des patients en situation grave trouvent beaucoup de difficultés à arriver aux différents services, en raison des bus qui bloquent la voie. Il a dit avoir adressé plusieurs correspondances aux responsables concernés mais en vain, déplorant le vacarme provoqué par ces bus et le désagrément qu'ils causent aux patients et à l'hôpital en général.