Pour la réouverture des frontières, l'Algérie a émis trois conditions. La première, est que cessent les campagnes de dénigrement des medias marocains à l'égard de notre pays. La seconde : arrêter l'attaque à l'encontre de l'Algérie ciblée de trafic de drogue et de la contrebande. Troisièmement, le Maroc doit reconnaître une fois pour toutes, que l'Algérie a une position fixe et irréversible sur la question du Sahara occidental. Pour la réouverture des frontières, l'Algérie a émis trois conditions. La première, est que cessent les campagnes de dénigrement des medias marocains à l'égard de notre pays. La seconde : arrêter l'attaque à l'encontre de l'Algérie ciblée de trafic de drogue et de la contrebande. Troisièmement, le Maroc doit reconnaître une fois pour toutes, que l'Algérie a une position fixe et irréversible sur la question du Sahara occidental. La rancoeur qu'entretiennent les deux frères ennemis ne date pas d'aujourd'hui. On se souvient de l'épisode de la «guerre des sables» en 1963. 1973, le conflit du Sahara occidental entraîne une dégradation brutale des relations algéro-marocaines : c'est la guerre froide avec beaucoup plus de bas que de hauts. L'attentat de Marrakech en 1994 mettra un peu plus de poudre dans la guerre de déclarations entre Alger et Rabat. Les tensions montent crescendo avec la sortie médiatique d'un secrétaire général d'un parti marocain qui réclame la restitution, de Tindouf et de Béchar, prétextant qu'il s'agit d'un territoire usurpé par l'Algérie pour reconstituer «le Grand Maroc». Rien que cela ! Le dirigeant du parti Istiqlal joue les amnésiques à propos de la Convention relative au tracé des frontières signées par le Maroc et l'Algérie en 1972. Alors messieurs du Makhzen, remisez vos bendirs. De plus, le royaume chérifien accuse des «blancs» zappant de facto que c'est lui qui a imposé le visa d'entrée pour les Algériens. Mais la haine est viscérale et pour distiller son venin, le Maroc tient par-dessus tout à inonder le territoire algérien par des quantités astronomiques de drogue si ce n'était la vigilance de nos gardes-frontières qui, chaque jour réalisent l'exploit de saisir des tonnes de cannabis ou autres drogues. Pour la réouverture des frontières, l'Algérie a émis trois conditions. La première, est que cessent les campagnes de dénigrement des medias marocains à l'égard de notre pays. La seconde : arrêter l'attaque à l'encontre de l'Algérie ciblée de trafic de drogue et de la contrebande. Troisièmement, le Maroc doit reconnaître une fois pour toutes, que l'Algérie a une position fixe et irréversible sur la question du Sahara occidental. La position algérienne est non négociable sur le soutien au peuple sahraoui à l'autodétermination. Le roi et ses «amis» doivent se le tenir pour dit La rancoeur qu'entretiennent les deux frères ennemis ne date pas d'aujourd'hui. On se souvient de l'épisode de la «guerre des sables» en 1963. 1973, le conflit du Sahara occidental entraîne une dégradation brutale des relations algéro-marocaines : c'est la guerre froide avec beaucoup plus de bas que de hauts. L'attentat de Marrakech en 1994 mettra un peu plus de poudre dans la guerre de déclarations entre Alger et Rabat. Les tensions montent crescendo avec la sortie médiatique d'un secrétaire général d'un parti marocain qui réclame la restitution, de Tindouf et de Béchar, prétextant qu'il s'agit d'un territoire usurpé par l'Algérie pour reconstituer «le Grand Maroc». Rien que cela ! Le dirigeant du parti Istiqlal joue les amnésiques à propos de la Convention relative au tracé des frontières signées par le Maroc et l'Algérie en 1972. Alors messieurs du Makhzen, remisez vos bendirs. De plus, le royaume chérifien accuse des «blancs» zappant de facto que c'est lui qui a imposé le visa d'entrée pour les Algériens. Mais la haine est viscérale et pour distiller son venin, le Maroc tient par-dessus tout à inonder le territoire algérien par des quantités astronomiques de drogue si ce n'était la vigilance de nos gardes-frontières qui, chaque jour réalisent l'exploit de saisir des tonnes de cannabis ou autres drogues. Pour la réouverture des frontières, l'Algérie a émis trois conditions. La première, est que cessent les campagnes de dénigrement des medias marocains à l'égard de notre pays. La seconde : arrêter l'attaque à l'encontre de l'Algérie ciblée de trafic de drogue et de la contrebande. Troisièmement, le Maroc doit reconnaître une fois pour toutes, que l'Algérie a une position fixe et irréversible sur la question du Sahara occidental. La position algérienne est non négociable sur le soutien au peuple sahraoui à l'autodétermination. Le roi et ses «amis» doivent se le tenir pour dit