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Levée de l'état d'urgence en vigueur
Mali
Publié dans Le Midi Libre le 07 - 07 - 2013

L'état d'urgence qui était en vigueur au Mali depuis le 12 janvier, a été levé samedi à la veille du lancement de la campagne pour le premier tour de l'élection présidentielle du 28 juillet, a annoncé le ministère malien de la Sécurité.
L'état d'urgence qui était en vigueur au Mali depuis le 12 janvier, a été levé samedi à la veille du lancement de la campagne pour le premier tour de l'élection présidentielle du 28 juillet, a annoncé le ministère malien de la Sécurité.
L'état d'urgence, qui interdisait réunions publiques, rassemblements et manifestations de rue de nature à troubler l'ordre public, avait été instauré le 12 janvier, deux jours après l'offensive lancée vers le Sud par des groupes armés qui contrôlaient depuis neuf mois le Nord du Mali.
Cette offensive avait précipité l'intervention de l'armée française au Mali, en cours depuis le 11 janvier, contre les groupes terroristes, désormais en grande partie chassés du nord du pays. La décision de lever l'état d'urgence, qui avait été reconduit à deux reprises depuis janvier, intervient à la veille du lancement de la campagne électorale de la présidentielle pour laquelle la Cour constitutionnelle a validé vendredi 28 candidatures sur 36.
Elle a également été prise au lendemain de l'entrée de quelque 150 soldats maliens dans la ville de Kidal (à 1.500 km au nord-est de Bamako) qui était occupée par la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA).
Cette entrée des soldats maliens à Kidal s'est faite parallèlement au cantonnement des combattants du MNLA dans la ville, conformément à un accord signé le 18 juin à Ouagadougou entre le gouvernement malien de transition et la rébellion touareg.
La présidentielle devrait donc pouvoir se tenir à Kidal comme dans le reste du territoire malien, ce qui était une exigence du gouvernement et de la communauté internationale.
L'état d'urgence, qui interdisait réunions publiques, rassemblements et manifestations de rue de nature à troubler l'ordre public, avait été instauré le 12 janvier, deux jours après l'offensive lancée vers le Sud par des groupes armés qui contrôlaient depuis neuf mois le Nord du Mali.
Cette offensive avait précipité l'intervention de l'armée française au Mali, en cours depuis le 11 janvier, contre les groupes terroristes, désormais en grande partie chassés du nord du pays. La décision de lever l'état d'urgence, qui avait été reconduit à deux reprises depuis janvier, intervient à la veille du lancement de la campagne électorale de la présidentielle pour laquelle la Cour constitutionnelle a validé vendredi 28 candidatures sur 36.
Elle a également été prise au lendemain de l'entrée de quelque 150 soldats maliens dans la ville de Kidal (à 1.500 km au nord-est de Bamako) qui était occupée par la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA).
Cette entrée des soldats maliens à Kidal s'est faite parallèlement au cantonnement des combattants du MNLA dans la ville, conformément à un accord signé le 18 juin à Ouagadougou entre le gouvernement malien de transition et la rébellion touareg.
La présidentielle devrait donc pouvoir se tenir à Kidal comme dans le reste du territoire malien, ce qui était une exigence du gouvernement et de la communauté internationale.


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