Cette année avec l'avènement du mois sacré de ramadhan, la Société algérienne de diabétologie (Sadiab) en collaboration avec Lilly a tenu à introduire un nouveau produit visant à aider les personnes atteintes de diabète à mieux gérer leur maladie. Cette année avec l'avènement du mois sacré de ramadhan, la Société algérienne de diabétologie (Sadiab) en collaboration avec Lilly a tenu à introduire un nouveau produit visant à aider les personnes atteintes de diabète à mieux gérer leur maladie. Lors d'une conférence de presse, organisée hier à Alger, et dédié à la présentation de cet outil, intitulé. « Carte de conversations : gestion du diabète pendant le ramadhan », les conférenciers ont présenté cette nouvelle carte d'éducation interactive, récemment introduite en Algérie. Celle-ci, a-t-on expliqué, aide les patient à débattre de leur maladie, des risques liés à celle-ci mais aussi de l'importance de la création d'un plan de gestion du diabète avant le Rramadhan, et ce qu'il faut faire en cas de complications liées au jeûne. Le Dr Aouiche, secrétaire général de la Sadiab, mais aussi maître assistant au service de diabétologie du CHU Mustapha- Pacha et expert-formateur du programme, a souligné lors de la cérémonie de lancement de cet outil « l'importance de l'éducation des patients sur la gestion du diabète pendant le ramadhan et le rôle que peuvent jouer les cartes de conversations pour faciliter cette tâche ». Selon elle, «pendant le mois sacré du ramadhan, les personnes atteintes de diabète sont exposées au changement de la fréquence des repas, ainsi qu'à la quantité de nourriture qu'elles consomment. Sans un plan personnel créé en collaboration avec leur médecin traitant, ce changement peut entraîner de graves complications ». Avec ce nouvel outil, a-t-elle fait savoir, « les patients seront préparés et motivés pour communiquer avec leurs médecins pour une consultation avant le ramadhan ». Pour sa part, le directeur général de Lilly pour la région de l'Afrique du Nord, Lionel Trichard, a relevé que «depuis la production de la première insuline il y a 90 ans, Lilly est un leader mondial dans la lutte contre le diabète », avant d'ajouter que « nous croyons que l'éducation des personnes atteintes de diabète, leurs familles et les professionnels de la santé sont complémentaires au traitement médicamenteux ». C'est pour quoi, a-t-il poursuivi « nous soutenons l'éducation sur le diabète partout dans le monde et en Algérie également. Nous sommes heureux de lancer cette nouvelle carte avec la Sadiab et nos partenaires à travers l'Algérie». Selon les conférenciers, cette nouvelle carte, qui est désormais disponible sur l'ensemble du territoire algérien fait partie du programme éducatif « Cartes de conversations sur le diabète » lancé an Algérie en 2011 et utilisé depuis pour éduquer plus de 20.000 patients diabétiques sur la gestion du diabète. Cette même carte, indique-t-on, a été « développée suite aux recommandations de plusieurs experts du diabète de pays musulmans pour l'élaboration d'une nouvelle carte de conversations qui éduquerait les patients au sujet de la gestion du diabète pendant le mois sacré du ramadhan ». Il faut savoir, qu'en se référant à l'Atlas 2012 de la Fédération international du diabète, il est indiqué que notre pays est classé parmi les pays à prévalence élevée qui est de l'ordre de 6,92%. Lors d'une conférence de presse, organisée hier à Alger, et dédié à la présentation de cet outil, intitulé. « Carte de conversations : gestion du diabète pendant le ramadhan », les conférenciers ont présenté cette nouvelle carte d'éducation interactive, récemment introduite en Algérie. Celle-ci, a-t-on expliqué, aide les patient à débattre de leur maladie, des risques liés à celle-ci mais aussi de l'importance de la création d'un plan de gestion du diabète avant le Rramadhan, et ce qu'il faut faire en cas de complications liées au jeûne. Le Dr Aouiche, secrétaire général de la Sadiab, mais aussi maître assistant au service de diabétologie du CHU Mustapha- Pacha et expert-formateur du programme, a souligné lors de la cérémonie de lancement de cet outil « l'importance de l'éducation des patients sur la gestion du diabète pendant le ramadhan et le rôle que peuvent jouer les cartes de conversations pour faciliter cette tâche ». Selon elle, «pendant le mois sacré du ramadhan, les personnes atteintes de diabète sont exposées au changement de la fréquence des repas, ainsi qu'à la quantité de nourriture qu'elles consomment. Sans un plan personnel créé en collaboration avec leur médecin traitant, ce changement peut entraîner de graves complications ». Avec ce nouvel outil, a-t-elle fait savoir, « les patients seront préparés et motivés pour communiquer avec leurs médecins pour une consultation avant le ramadhan ». Pour sa part, le directeur général de Lilly pour la région de l'Afrique du Nord, Lionel Trichard, a relevé que «depuis la production de la première insuline il y a 90 ans, Lilly est un leader mondial dans la lutte contre le diabète », avant d'ajouter que « nous croyons que l'éducation des personnes atteintes de diabète, leurs familles et les professionnels de la santé sont complémentaires au traitement médicamenteux ». C'est pour quoi, a-t-il poursuivi « nous soutenons l'éducation sur le diabète partout dans le monde et en Algérie également. Nous sommes heureux de lancer cette nouvelle carte avec la Sadiab et nos partenaires à travers l'Algérie». Selon les conférenciers, cette nouvelle carte, qui est désormais disponible sur l'ensemble du territoire algérien fait partie du programme éducatif « Cartes de conversations sur le diabète » lancé an Algérie en 2011 et utilisé depuis pour éduquer plus de 20.000 patients diabétiques sur la gestion du diabète. Cette même carte, indique-t-on, a été « développée suite aux recommandations de plusieurs experts du diabète de pays musulmans pour l'élaboration d'une nouvelle carte de conversations qui éduquerait les patients au sujet de la gestion du diabète pendant le mois sacré du ramadhan ». Il faut savoir, qu'en se référant à l'Atlas 2012 de la Fédération international du diabète, il est indiqué que notre pays est classé parmi les pays à prévalence élevée qui est de l'ordre de 6,92%.