Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelaziz Ziari a estimé, hier, à Alger que les services d'urgences médicales dans les établissements hospitaliers à travers le pays donnaient une "mauvaise image" du secteur entraînant une perte de confiance du citoyen. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelaziz Ziari a estimé, hier, à Alger que les services d'urgences médicales dans les établissements hospitaliers à travers le pays donnaient une "mauvaise image" du secteur entraînant une perte de confiance du citoyen. Les services d'urgences médicales reflètent une "mauvaise image du secteur", a indiqué le ministre lors d'une rencontre avec les gestionnaires des établissements de santé. La mauvaise gestion des services d'urgences, a-t-il dit, a entraîné la perte de la confiance qui marquait "les années 1970" malgré le manque de moyens matériels et humains à l'époque. Il a appelé à une présence "permanente et effective" des personnels de la santé afin d'assurer un service de santé de qualité en particulier au niveau des urgences et des permanences. Par ailleurs, M. Ziari a imputé la situation des urgences médicales en Algérie au manque de spécialistes parfois ou de certaines structures couvrant cet aspect. Il a préconisé la "réhabilitation" de fonctions du paramédical notamment le chef de service compte tenu de l'importance capitale de ce poste qu'il a qualifié de "sensible" car déterminant la qualité de la prise en charge des citoyens. Dans ce même sillage M Ziari, a appelé au "strict" respect des lois en vigueur dans la gestion des établissements de santé. «Il s'agit d'un des plus importants critères d'évaluation des gestionnaires», dira-t-il. Pour le ministre, les problèmes rencontrés actuellement sont étroitement liés à la gestion, d'où la nécessité d'en finir avec le "laisser-aller" dans des établissements hospitaliers, a-t-il dit. Concernant la gestion, la distribution et le stockage des produits pharmaceutiques au niveau des établissements hospitaliers, M. Ziari a souligné la nécessaire réhabilitation du rôle du pharmacien pour une meilleure maîtrise des besoins des établissements hospitaliers en médicaments. Le premier responsable du secteur a, par ailleurs, souligné la nécessité de définir le budget destiné aux médicaments anticancéreux pour une gestion optimale des ressources financières, tout en veillant à la disponibilité des autres médicaments, a-t-il insisté Les services d'urgences médicales reflètent une "mauvaise image du secteur", a indiqué le ministre lors d'une rencontre avec les gestionnaires des établissements de santé. La mauvaise gestion des services d'urgences, a-t-il dit, a entraîné la perte de la confiance qui marquait "les années 1970" malgré le manque de moyens matériels et humains à l'époque. Il a appelé à une présence "permanente et effective" des personnels de la santé afin d'assurer un service de santé de qualité en particulier au niveau des urgences et des permanences. Par ailleurs, M. Ziari a imputé la situation des urgences médicales en Algérie au manque de spécialistes parfois ou de certaines structures couvrant cet aspect. Il a préconisé la "réhabilitation" de fonctions du paramédical notamment le chef de service compte tenu de l'importance capitale de ce poste qu'il a qualifié de "sensible" car déterminant la qualité de la prise en charge des citoyens. Dans ce même sillage M Ziari, a appelé au "strict" respect des lois en vigueur dans la gestion des établissements de santé. «Il s'agit d'un des plus importants critères d'évaluation des gestionnaires», dira-t-il. Pour le ministre, les problèmes rencontrés actuellement sont étroitement liés à la gestion, d'où la nécessité d'en finir avec le "laisser-aller" dans des établissements hospitaliers, a-t-il dit. Concernant la gestion, la distribution et le stockage des produits pharmaceutiques au niveau des établissements hospitaliers, M. Ziari a souligné la nécessaire réhabilitation du rôle du pharmacien pour une meilleure maîtrise des besoins des établissements hospitaliers en médicaments. Le premier responsable du secteur a, par ailleurs, souligné la nécessité de définir le budget destiné aux médicaments anticancéreux pour une gestion optimale des ressources financières, tout en veillant à la disponibilité des autres médicaments, a-t-il insisté