Le ramadhan a toujours été une occasion pour les grandes surfaces de la capitale de tenter de capter les convoitises des ménages algériens. Une «guerre» des prix s'en est alors lancée entre les centres commerciaux qui sont implantés à Alger, cela sans oublier les «gages» offerts par ces derniers pour ceux qui choisissent de se rendre dans leurs surfaces. Pour ce ramadhan, les grandes surfaces ont déjà aménagé leurs superficies pour arracher le maximum d'argent aux consommateurs. Le ramadhan a toujours été une occasion pour les grandes surfaces de la capitale de tenter de capter les convoitises des ménages algériens. Une «guerre» des prix s'en est alors lancée entre les centres commerciaux qui sont implantés à Alger, cela sans oublier les «gages» offerts par ces derniers pour ceux qui choisissent de se rendre dans leurs surfaces. Pour ce ramadhan, les grandes surfaces ont déjà aménagé leurs superficies pour arracher le maximum d'argent aux consommateurs. Ardis, hyper-marché d'Aïn Naâdja, Centre commercial et des loisirs de Bab Ezzouar, El Qods de Chéraga et Opéra d'Hydra tels sont les noms des grandes surfaces ouvertes à Alger. Depuis l'arrivée du ramadhan, ces grandes surfaces se sont lancées dans une véritable «guerre» des prix qui vise à capter le maximum de consommateurs algérois, d'autant qu'il s'agit d'un enjeu de taille estimé à plus de 1.000 milliards de centimes, une somme qui sera déboursée par les ménages durant le mois sacré, selon des experts économiques. «L'Algérie est le pays qui compte le plus grand nombre d'hypermarchés au Maghreb, un secteur très lucratif, avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 10.000 milliards de centimes, mais qui s'inquiète en raison de la crise et de la baisse du pouvoir d'achat. L'arrivée du mois sacré sera une occasion pour chaque établissement commercial de tenter de faire un chiffre d'affaires hallucinant. Toutefois pour y arriver, il faut savoir comment capter les clients», explique un expert algérien en économie. Du côté d'Ardis les choses semblent très bien marcher, du moment où une grande surface a été aménagée par les responsables pour l'installation du fameux cirque italien "Florigio". Cela dit, les responsables du centre commercial Ardis ont tablé sur le cirque pour parvenir à attirer les consommateurs. Pari gagné puisque depuis l'ouverture dudit cirque, un rush des Algérois s'est abattu sur Ardis. Ici, depuis une semaine déjà, le parking relié à Ardis a affiché fermé devant l'arrivée de centaines de véhicules de visiteurs. En engageant le crique, Ardis a pu récolter, en contrepartie, d'importants revenus des consommateurs algérois. Face à cette situation, le Centre commercial et des loisirs de Bab Ezzouar a été contraint de trouver une solution pour arracher sa part du «gâteau». Pour cela, les responsables ont tablé sur la baisse des prix afin de convaincre les familles algériennes à s'adresser aux boutiques et au marché «Uno» qui se trouve à l'intérieur, durant le mois du Ramadhan. C'est en baissant les prix que, effectivement, les stands du Centre commercial de Bab Ezzouar ont connu un encombrement depuis le premier jour du Ramadhan. Cela dit, la différence de prix proposée entre les deux grandes surfaces est de taille. Autrement dit, les prix des produits alimentaires proposés au Centre commercial de Bab Ezzouar sont beaucoup plus cléments que ceux d'Ardis, à en croire surtout l'avis des visiteurs. Partons maintenant du côté de l'hyper-marché de Blida doté d'une piscine de luxe et une salle de sport haut de gamme, le groupe «Sim», spécialisé dans l'agro-alimentaire, a investi dans le haut de gamme pour attirer les consommateurs. Son luxueux hypermarché a ouvert il y a quelques temps dans la ville de Blida. Il jouxte une autre grande surface, à quelques centaines de mètres seulement, lançant ainsi une rude concurrence. La clientèle est très importante et chaque jour, c'est le rush. Depuis le début du Ramadhan, Ahmed âgé de 30 ans, un employé de la grande surface de Blida se présente à l'aube pour reconstituer le rayon des poissonneries avant que les visiteurs ne se présentent. Chaque matin, pas moins de 20 personnes sont mobilisées pour remplir les rayons, brassant des tonnes de vêtements, des produits alimentaires, des produits laitiers, de la viande fraîche et bien d'autres articles. L'ensemble du personnel ayant terminé le travail, c'est l‘heure de l'ouverture des portails. Un quart d'heure après et c'est déjà le rush. Ardis, hyper-marché d'Aïn Naâdja, Centre commercial et des loisirs de Bab Ezzouar, El Qods de Chéraga et Opéra d'Hydra tels sont les noms des grandes surfaces ouvertes à Alger. Depuis l'arrivée du ramadhan, ces grandes surfaces se sont lancées dans une véritable «guerre» des prix qui vise à capter le maximum de consommateurs algérois, d'autant qu'il s'agit d'un enjeu de taille estimé à plus de 1.000 milliards de centimes, une somme qui sera déboursée par les ménages durant le mois sacré, selon des experts économiques. «L'Algérie est le pays qui compte le plus grand nombre d'hypermarchés au Maghreb, un secteur très lucratif, avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 10.000 milliards de centimes, mais qui s'inquiète en raison de la crise et de la baisse du pouvoir d'achat. L'arrivée du mois sacré sera une occasion pour chaque établissement commercial de tenter de faire un chiffre d'affaires hallucinant. Toutefois pour y arriver, il faut savoir comment capter les clients», explique un expert algérien en économie. Du côté d'Ardis les choses semblent très bien marcher, du moment où une grande surface a été aménagée par les responsables pour l'installation du fameux cirque italien "Florigio". Cela dit, les responsables du centre commercial Ardis ont tablé sur le cirque pour parvenir à attirer les consommateurs. Pari gagné puisque depuis l'ouverture dudit cirque, un rush des Algérois s'est abattu sur Ardis. Ici, depuis une semaine déjà, le parking relié à Ardis a affiché fermé devant l'arrivée de centaines de véhicules de visiteurs. En engageant le crique, Ardis a pu récolter, en contrepartie, d'importants revenus des consommateurs algérois. Face à cette situation, le Centre commercial et des loisirs de Bab Ezzouar a été contraint de trouver une solution pour arracher sa part du «gâteau». Pour cela, les responsables ont tablé sur la baisse des prix afin de convaincre les familles algériennes à s'adresser aux boutiques et au marché «Uno» qui se trouve à l'intérieur, durant le mois du Ramadhan. C'est en baissant les prix que, effectivement, les stands du Centre commercial de Bab Ezzouar ont connu un encombrement depuis le premier jour du Ramadhan. Cela dit, la différence de prix proposée entre les deux grandes surfaces est de taille. Autrement dit, les prix des produits alimentaires proposés au Centre commercial de Bab Ezzouar sont beaucoup plus cléments que ceux d'Ardis, à en croire surtout l'avis des visiteurs. Partons maintenant du côté de l'hyper-marché de Blida doté d'une piscine de luxe et une salle de sport haut de gamme, le groupe «Sim», spécialisé dans l'agro-alimentaire, a investi dans le haut de gamme pour attirer les consommateurs. Son luxueux hypermarché a ouvert il y a quelques temps dans la ville de Blida. Il jouxte une autre grande surface, à quelques centaines de mètres seulement, lançant ainsi une rude concurrence. La clientèle est très importante et chaque jour, c'est le rush. Depuis le début du Ramadhan, Ahmed âgé de 30 ans, un employé de la grande surface de Blida se présente à l'aube pour reconstituer le rayon des poissonneries avant que les visiteurs ne se présentent. Chaque matin, pas moins de 20 personnes sont mobilisées pour remplir les rayons, brassant des tonnes de vêtements, des produits alimentaires, des produits laitiers, de la viande fraîche et bien d'autres articles. L'ensemble du personnel ayant terminé le travail, c'est l‘heure de l'ouverture des portails. Un quart d'heure après et c'est déjà le rush.