Un programme a touché jusqu'ici 577 hectares de zones steppiques de la wilaya d'El-Bayadh à la faveur de la saison 2012-2013, a-t-on appris du responsable de l'antenne locale du Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS). Un programme a touché jusqu'ici 577 hectares de zones steppiques de la wilaya d'El-Bayadh à la faveur de la saison 2012-2013, a-t-on appris du responsable de l'antenne locale du Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS). L'opération a ciblé 77 ha dans la commune d'El-Kheïther, réalisée avec le concours de pensionnaires d'établissements pénitentiaires dans le cadre d'une convention entre le HCDS et le secteur de la Justice, ainsi que 400 ha dans la commune de Chegguig et 100 ha dans celle d'El-Mehra, a précisé Moussa Ahmed. Le programme de plantation pastorale s'inscrit dans le cadre de la stratégie de lutte contre la désertification, avec une concentration sur les communes de Chegguig et El-Mehra au vu de leur position géographique et de leur exposition au phénomène de l'avancée des sables. Il a aussi un objectif de mise en place des conditions encourageant la fixation des populations nomades, au regard des perspectives qu'offriront ces espaces plantés dans les années à venir, en termes de disponibilité de pâturages et de fourrages pour les éleveurs, a ajouté M. Moussa. contribue au renforcement de l'équilibre écologique de la région, à travers la fixation des sols et la régénération du couvert végétal permettant le retour de certaines espèces animales menacées de disparition dans la région, telles que le lièvre et la caille, selon le même responsable. L'opération a ciblé 77 ha dans la commune d'El-Kheïther, réalisée avec le concours de pensionnaires d'établissements pénitentiaires dans le cadre d'une convention entre le HCDS et le secteur de la Justice, ainsi que 400 ha dans la commune de Chegguig et 100 ha dans celle d'El-Mehra, a précisé Moussa Ahmed. Le programme de plantation pastorale s'inscrit dans le cadre de la stratégie de lutte contre la désertification, avec une concentration sur les communes de Chegguig et El-Mehra au vu de leur position géographique et de leur exposition au phénomène de l'avancée des sables. Il a aussi un objectif de mise en place des conditions encourageant la fixation des populations nomades, au regard des perspectives qu'offriront ces espaces plantés dans les années à venir, en termes de disponibilité de pâturages et de fourrages pour les éleveurs, a ajouté M. Moussa. contribue au renforcement de l'équilibre écologique de la région, à travers la fixation des sols et la régénération du couvert végétal permettant le retour de certaines espèces animales menacées de disparition dans la région, telles que le lièvre et la caille, selon le même responsable.