L'universitaire et historien, Hassen Remaoun a annoncé, dans la soirée du lundi à Oran, qu'un projet d'ouvrage sur "Nelson Mandela et l'Algérie" sera lancé prochainement, avec la contribution de plusieurs chercheurs qui aborderont plusieurs aspects concernant, entre autres, les relations du leader de l'ANC avec la révolution algérienne et avec l'Algérie indépendante. L'universitaire et historien, Hassen Remaoun a annoncé, dans la soirée du lundi à Oran, qu'un projet d'ouvrage sur "Nelson Mandela et l'Algérie" sera lancé prochainement, avec la contribution de plusieurs chercheurs qui aborderont plusieurs aspects concernant, entre autres, les relations du leader de l'ANC avec la révolution algérienne et avec l'Algérie indépendante. "Cet ouvrage sera édité en Algérie et traduit en anglais pour être disponible en Afrique du Sud", a encore ajouté M. Remaoun, lors de la première veillée culturelle du Ramadhan, organisée par l'Institut de développement de la ressource humaine (IDRH) d'Oran, en hommage à Nelson Mandela sous le titre "Un homme, un parcours pour la liberté de l'Afrique". Cette soirée à laquelle ont pris part de nombreux universitaires, intellectuels et représentants de la société civile oranaise a permis de retracer la vie et le parcours militant de cette figure de proue de la lutte anti-apartheid. Hassen Remaoun a distingué plusieurs étapes dans le parcours de Nelson Mandela, évoquant, notamment, sa prise de conscience du fait de l'apartheid, son combat non-violent en tant qu'avocat contre les lois d'apartheid instituées à partir de 1948, la radicalisation du mouvement de l'ANC et de ses dirigeants après les massacres de Sharpeville (mars 1960), son arrestation sur dénonciation de la CIA et son emprisonnement durant 27 longues années. L'intervenant a également mis en exergue les relations entretenues par Mandela avec l'Algérie combattante puis l'Algérie indépendante, rappelant que des militants de l'ANC ont été formés dans les camps de l'ALN au Maroc et qu'un élan de solidarité et de soutien de l'Algérie aux mouvements de lutte africains comme le montrent les "Unes" d'El Moudjahid, organe officiel de la Révolution algérienne durant les années 1960-1962. De son côté, Brahim Senouci, maître de conférence à l'université de Cergy-Pontoise (France) a, pour sa part, abordé le compromis historique qui a permis, après la libération de Mandela en février 1990, d'abolir le régime infâme de l'apartheid et d'éviter aux communautés noires et blanches le recours à la violence. Il est à rappeler que six veillées sont prévues jusqu'à la fin du Ramadhan à l'IDRH au cours desquelles seront traitées plusieurs problématiques culturelles, économiques et sociales. "Cet ouvrage sera édité en Algérie et traduit en anglais pour être disponible en Afrique du Sud", a encore ajouté M. Remaoun, lors de la première veillée culturelle du Ramadhan, organisée par l'Institut de développement de la ressource humaine (IDRH) d'Oran, en hommage à Nelson Mandela sous le titre "Un homme, un parcours pour la liberté de l'Afrique". Cette soirée à laquelle ont pris part de nombreux universitaires, intellectuels et représentants de la société civile oranaise a permis de retracer la vie et le parcours militant de cette figure de proue de la lutte anti-apartheid. Hassen Remaoun a distingué plusieurs étapes dans le parcours de Nelson Mandela, évoquant, notamment, sa prise de conscience du fait de l'apartheid, son combat non-violent en tant qu'avocat contre les lois d'apartheid instituées à partir de 1948, la radicalisation du mouvement de l'ANC et de ses dirigeants après les massacres de Sharpeville (mars 1960), son arrestation sur dénonciation de la CIA et son emprisonnement durant 27 longues années. L'intervenant a également mis en exergue les relations entretenues par Mandela avec l'Algérie combattante puis l'Algérie indépendante, rappelant que des militants de l'ANC ont été formés dans les camps de l'ALN au Maroc et qu'un élan de solidarité et de soutien de l'Algérie aux mouvements de lutte africains comme le montrent les "Unes" d'El Moudjahid, organe officiel de la Révolution algérienne durant les années 1960-1962. De son côté, Brahim Senouci, maître de conférence à l'université de Cergy-Pontoise (France) a, pour sa part, abordé le compromis historique qui a permis, après la libération de Mandela en février 1990, d'abolir le régime infâme de l'apartheid et d'éviter aux communautés noires et blanches le recours à la violence. Il est à rappeler que six veillées sont prévues jusqu'à la fin du Ramadhan à l'IDRH au cours desquelles seront traitées plusieurs problématiques culturelles, économiques et sociales.