La création d'une institution de la fetwa (Dar el-Iftaa) en Algérie est indispensable à la lumière de la prolifération des chaînes de télévision satellitaires et des nouvelles technologies de l'information et de la communication qui influent considérablement sur la société algérienne quand il s'agit de questions qui touchent à la religion, estime la Coordination des imams. La création d'une institution de la fetwa (Dar el-Iftaa) en Algérie est indispensable à la lumière de la prolifération des chaînes de télévision satellitaires et des nouvelles technologies de l'information et de la communication qui influent considérablement sur la société algérienne quand il s'agit de questions qui touchent à la religion, estime la Coordination des imams. Le secrétaire général de la Coordination nationale des imams et des fonctionnaires des affaires religieuses, cheikh Djelloul Hedjimi, imam de la mosquée Cheikh El Fodhil El Ouartilani (Alger), a indiqué dans un entretien à l'APS qu'une institution officielle de la fetwa contribuera à donner une vision uniforme à la fetwa (avis religieux) sur diverses questions religieuses qui intéressent le citoyen algérien sur la base du rite malékite qui constitue le référent religieux algérien."Ceci a pour objectif d'unifier les esprits et d'éviter l'émergence de contradictions dans la société en raison de fatwas hétéroclites qui se développent ici et là", a-t-il dit. Pour cheikh Djelloul Hedjimi l'influence de ces fetwas sur certains Algériens est motivée par l'absence d'institution officielle composée de compétences et cadres chargés de promulguer un décret (avis) religieux, alors qu'il existe des savants connus pour leur méthodologie et leur discernement. La création du poste de "mufti de la République" s'avère des plus impérative afin que l'Algérien comprenne que son pays protége l'Islam et qu'il existe un référent religieux auquel il aura recours en cas de besoin, a insisté cheikh Djelloul mettant en garde contre les organes audiovisuels qu'il faut consulter avec une "extrême prudence". Le secrétaire général de la Coordination nationale des imams et des fonctionnaires des affaires religieuses, cheikh Djelloul Hedjimi, imam de la mosquée Cheikh El Fodhil El Ouartilani (Alger), a indiqué dans un entretien à l'APS qu'une institution officielle de la fetwa contribuera à donner une vision uniforme à la fetwa (avis religieux) sur diverses questions religieuses qui intéressent le citoyen algérien sur la base du rite malékite qui constitue le référent religieux algérien."Ceci a pour objectif d'unifier les esprits et d'éviter l'émergence de contradictions dans la société en raison de fatwas hétéroclites qui se développent ici et là", a-t-il dit. Pour cheikh Djelloul Hedjimi l'influence de ces fetwas sur certains Algériens est motivée par l'absence d'institution officielle composée de compétences et cadres chargés de promulguer un décret (avis) religieux, alors qu'il existe des savants connus pour leur méthodologie et leur discernement. La création du poste de "mufti de la République" s'avère des plus impérative afin que l'Algérien comprenne que son pays protége l'Islam et qu'il existe un référent religieux auquel il aura recours en cas de besoin, a insisté cheikh Djelloul mettant en garde contre les organes audiovisuels qu'il faut consulter avec une "extrême prudence".