Deux détenus algériens à Guantanamo seront très prochainement rapatriés vers Alger, c'est ce qu'a annoncé, avant-hier, la Maison Blanche. Avec cette nouvelle libération le nombre d'Algériens élargis depuis 2007 est donc de 14. Deux détenus algériens à Guantanamo seront très prochainement rapatriés vers Alger, c'est ce qu'a annoncé, avant-hier, la Maison Blanche. Avec cette nouvelle libération le nombre d'Algériens élargis depuis 2007 est donc de 14. "Le département de la Défense a signifié au Congrès son intention de rapatrier deux détenus supplémentaires (de Guantanamo) vers l'Algérie", a précisé le porte-parole de Barack Obama, Jay Carney, dans un communiqué. Jay Carney a souligné que l'administration a pris cette décision "en consultation avec le Congrès, et d'une façon responsable qui protège notre sécurité nationale". L'administration n'a pas communiqué les noms des détenus concernés dans l'immédiat, toutefois il pourrait s'agir de deux Algériens originaires de l'est du pays. De son côté, le porte-parole du Pentagone, George Little, a souligné que "ces derniers mois, une équipe de très hauts responsables a examiné de très près cette question avec les autorités algériennes" avant que le secrétaire à la Défense Chuck Hagel ne donne son feu vert. Par ailleurs, un autre porte-parole du département de la Défense a expliqué que "le transfèrement aura lieu lorsque toutes les conditions nécessaires auront été réunies". "Nous ne parlerons pas des accords diplomatiques sensibles liés au transfèrement", a ajouté Todd Breasseale. Le dernier transfèrement en date d'un détenu de Guantanamo remonte à la fin septembre 2012, quand le Canadien Omar Khadr avait été renvoyé dans son pays. Sur les 166 détenus de Guantanamo, 86 - dont 56 Yéménites et 4 Algériens - ont été désignés comme transférables vers leurs pays d'origine par les administrations des présidents George W. Bush et Obama. Quelque 46 autres sont en détention illimitée, sans inculpation ni procès faute de preuves, mais jugés trop dangereux pour être libérés. Cela dit, quatre Algériens sont toujours détenus à Guantanamo. Ces derniers ont toujours clamé leur innocence face aux accusations portées contre eux par les Etats-Unis, notamment leurs implications dans des attentats terroristes et appartenance à Al Qaida. Ces Algériens ont été interpellés, pour la plupart, en Serbie et transférés dans des avions militaires vers les Etats-Unis avant d'être transférés vers Guantanamo. "Le département de la Défense a signifié au Congrès son intention de rapatrier deux détenus supplémentaires (de Guantanamo) vers l'Algérie", a précisé le porte-parole de Barack Obama, Jay Carney, dans un communiqué. Jay Carney a souligné que l'administration a pris cette décision "en consultation avec le Congrès, et d'une façon responsable qui protège notre sécurité nationale". L'administration n'a pas communiqué les noms des détenus concernés dans l'immédiat, toutefois il pourrait s'agir de deux Algériens originaires de l'est du pays. De son côté, le porte-parole du Pentagone, George Little, a souligné que "ces derniers mois, une équipe de très hauts responsables a examiné de très près cette question avec les autorités algériennes" avant que le secrétaire à la Défense Chuck Hagel ne donne son feu vert. Par ailleurs, un autre porte-parole du département de la Défense a expliqué que "le transfèrement aura lieu lorsque toutes les conditions nécessaires auront été réunies". "Nous ne parlerons pas des accords diplomatiques sensibles liés au transfèrement", a ajouté Todd Breasseale. Le dernier transfèrement en date d'un détenu de Guantanamo remonte à la fin septembre 2012, quand le Canadien Omar Khadr avait été renvoyé dans son pays. Sur les 166 détenus de Guantanamo, 86 - dont 56 Yéménites et 4 Algériens - ont été désignés comme transférables vers leurs pays d'origine par les administrations des présidents George W. Bush et Obama. Quelque 46 autres sont en détention illimitée, sans inculpation ni procès faute de preuves, mais jugés trop dangereux pour être libérés. Cela dit, quatre Algériens sont toujours détenus à Guantanamo. Ces derniers ont toujours clamé leur innocence face aux accusations portées contre eux par les Etats-Unis, notamment leurs implications dans des attentats terroristes et appartenance à Al Qaida. Ces Algériens ont été interpellés, pour la plupart, en Serbie et transférés dans des avions militaires vers les Etats-Unis avant d'être transférés vers Guantanamo.