La diva de la chanson kabyle Nouara a subjugué le public bouiri lors d'un concert mémorable faisant voyager l'assistance à travers ses mélodies qui traduisent une symbolique émotionnelle puisée dans le meilleur de son répertoire. La diva de la chanson kabyle Nouara a subjugué le public bouiri lors d'un concert mémorable faisant voyager l'assistance à travers ses mélodies qui traduisent une symbolique émotionnelle puisée dans le meilleur de son répertoire. La chanteuse a fait son apparition sur scène, jeudi soir à la salle de la Maison de la culture Ali-Zaâmoum de Bouira, sous un tonnerre d'applaudissements et des youyous lancés dans la salle par les dizaines de familles venues assister au gala. Cette représentante charismatique et emblématique de la chanson féminine kabyle a chanté Lewdjabik, Thin Ikizran et d'autres textes qui ont bercé des centaines de fans, Nouara a, grâce à sa voix mélodieuse, pu accrocher le public qui a fortement apprécié les qualités vocales de l'artiste. Elle a interprété Thechnam ghef zniw, une chanson qui relate la vie de la femme kabyle. Modeste, mais aussi sensible, Nouara essayait toujours de donner le meilleur d'elle-même pour combler son public par ses fameuses chansons qui évoquent à la fois une enfance lointaine et l'amour de tous les temps. Ses chants sont empreints d'une mélancolie déchirante, d'une densité émotionnelle mais aussi de messages d'espoir pour la génération montante. Elle a enchaîné ainsi avec Akwesigh ami azizène, un texte enveloppé dans une distribution musicale fascinante qui reflète parfaitement le talent de la chanteuse. Le gala de Nouara a drainé un public nombreux venu des quatre coins de la wilaya de Bouira. Avec sa voix magique, pure et cristalline, la chanteuse a subjugué son public. A la fin du spectacle, plusieurs fans se bousculaient pour approcher la diva et surtout immortaliser cette occasion avec des prises de photos. La chanteuse a tenu à saluer chaleureusement le public bouiri pour son assistance. "Ça me fait grand plaisir d'être ici parmi vous", lance-t-elle très émue, et d'ajouter : "Si je savais qu'il y aurait tout ce monde qui m'admire, j'aurais décidé de ne pas arrêter la chanson." Le public bouiri a été émerveillé de redécouvrir la voix sensible de l'artiste qui n'a vraiment pas changée. D'aucuns soutiennent qu'elle est restée aussi fraîche et aussi puissante comme dans les années 1970. D'ailleurs, ses chansons suscitent toujours des moments de nostalgie et donnent des frissons au public, surtout quand elle chante ses fameux Ichewiquen. La chanteuse a fait son apparition sur scène, jeudi soir à la salle de la Maison de la culture Ali-Zaâmoum de Bouira, sous un tonnerre d'applaudissements et des youyous lancés dans la salle par les dizaines de familles venues assister au gala. Cette représentante charismatique et emblématique de la chanson féminine kabyle a chanté Lewdjabik, Thin Ikizran et d'autres textes qui ont bercé des centaines de fans, Nouara a, grâce à sa voix mélodieuse, pu accrocher le public qui a fortement apprécié les qualités vocales de l'artiste. Elle a interprété Thechnam ghef zniw, une chanson qui relate la vie de la femme kabyle. Modeste, mais aussi sensible, Nouara essayait toujours de donner le meilleur d'elle-même pour combler son public par ses fameuses chansons qui évoquent à la fois une enfance lointaine et l'amour de tous les temps. Ses chants sont empreints d'une mélancolie déchirante, d'une densité émotionnelle mais aussi de messages d'espoir pour la génération montante. Elle a enchaîné ainsi avec Akwesigh ami azizène, un texte enveloppé dans une distribution musicale fascinante qui reflète parfaitement le talent de la chanteuse. Le gala de Nouara a drainé un public nombreux venu des quatre coins de la wilaya de Bouira. Avec sa voix magique, pure et cristalline, la chanteuse a subjugué son public. A la fin du spectacle, plusieurs fans se bousculaient pour approcher la diva et surtout immortaliser cette occasion avec des prises de photos. La chanteuse a tenu à saluer chaleureusement le public bouiri pour son assistance. "Ça me fait grand plaisir d'être ici parmi vous", lance-t-elle très émue, et d'ajouter : "Si je savais qu'il y aurait tout ce monde qui m'admire, j'aurais décidé de ne pas arrêter la chanson." Le public bouiri a été émerveillé de redécouvrir la voix sensible de l'artiste qui n'a vraiment pas changée. D'aucuns soutiennent qu'elle est restée aussi fraîche et aussi puissante comme dans les années 1970. D'ailleurs, ses chansons suscitent toujours des moments de nostalgie et donnent des frissons au public, surtout quand elle chante ses fameux Ichewiquen.