Cosob: octroi d'un agrément à la première société de Crowdfunding en Algérie    Plus de 77.000 exploitations agricoles raccordées au réseau électrique depuis 2020    Le Premier ministre s'entretient avec son homologue tunisien    Qualif's-Mondial 2026: l'arbitre algérien Gamouh dirigera Burundi-Seychelles    Kouidri insiste sur la nécessité de la mise en service du site de Saidal à Mostaganem avant la fin de l'année en cours    Incidents du match MBR-USMH: Les auteurs des publications électroniques incitant à la haine arrêtés    Equipe nationale de Futsal: nouveau stage de préparation au Centre de Fouka à Tipasa    Le Conseil de sécurité réaffirme son ferme engagement pour la souveraineté et l'intégrité territoriale du Soudan    Des pluies parfois sous forme d'averses orageuses affecteront des wilayas du pays ce jeudi    Le ministre de la Communication se rend au chevet du journaliste hospitalisé Mohamed Lamsen    Appel à la mobilisation autour du peuple palestinien    17.000 prêts attribués aux porteurs de micro-projets en 2024    Les instructions de la Banque d'Algérie    Ligue 2 amateur : La 22e journée débutera aujourd'hui    Le huis clos sera au rendez-vous de deux matchs ce vendredi    Championnat MLS : l'Algérien Farsi (Columbus Crew) dans l'équipe type de la semaine    Les conflits et la sécheresse menacent plus 4.4 millions de personnes de famine    Mise en place du système de travail en continu 24/24 et 7/7 au port de Mostaganem    Trump suspend les aides militaires à Kiev    « Tikdourine », pour récompenser les petits jeûneurs    Saisie de 492 kilos de ''kalb-el-louz''    L'ortie et l'euphorbe, les plantes miracles    Il y a 67 ans, le faucon du Mont Zbarbar, le commandant Si Lakhdar tombait en martyr    « Nuits de la Télévision » à Alger    L'insoutenable et indicible odyssée-tragédie des migrants aux portes de l'Europe, ou le temps venu des rêves confisqués    Laghouat : décès de l'épouse du calife général de la zaouïa Tidjania à Ain-Madhi    La torture durant la période coloniale française au centre d'une conférence à Alger    Le président de la République préside une réunion consacrée au bilan des opérations d'exportation des produits algériens    ANP: Un terroriste capturé et reddition de trois autres en une semaine    Le ministre de la Santé reçoit le représentant de l'OMS    Mondial-2025 (U17): derniers entraînements des Algériennes avant le départ pour le Botswana    M. Ahmed Kherchi participe à la réunion du comité exécutif de l'UIP    A Monsieur le ministre de la Justice    Hidaoui reçoit la cheffe du Bureau de l'UNFPA en Algérie    Il y a 67 ans, le faucon du Mont Zbarbar, le commandant Si Lakhdar tombait au champ d'honneur    la Direction générale de la communication à la présidence de la République présente ses condoléances        L'Algérie happée par le maelström malien    Un jour ou l'autre.    En Algérie, la Cour constitutionnelle double, sans convaincre, le nombre de votants à la présidentielle    Algérie : l'inquiétant fossé entre le régime et la population    Tunisie. Une élection sans opposition pour Kaïs Saïed    BOUSBAA بوصبع : VICTIME OU COUPABLE ?    Des casernes au parlement : Naviguer les difficiles chemins de la gouvernance civile en Algérie    Les larmes de Imane    Algérie assoiffée : Une nation riche en pétrole, perdue dans le désert de ses priorités    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



La chanteuse Nouara subjugue le public
Concert mémorable à Bouira
Publié dans Le Midi Libre le 05 - 08 - 2013

La diva de la chanson kabyle Nouara a subjugué le public bouiri lors d'un concert mémorable faisant voyager l'assistance à travers ses mélodies qui traduisent une symbolique émotionnelle puisée dans le meilleur de son répertoire.
La diva de la chanson kabyle Nouara a subjugué le public bouiri lors d'un concert mémorable faisant voyager l'assistance à travers ses mélodies qui traduisent une symbolique émotionnelle puisée dans le meilleur de son répertoire.
La chanteuse a fait son apparition sur scène, jeudi soir à la salle de la Maison de la culture Ali-Zaâmoum de Bouira, sous un tonnerre d'applaudissements et des youyous lancés dans la salle par les dizaines de familles venues assister au gala. Cette représentante charismatique et emblématique de la chanson féminine kabyle a chanté Lewdjabik, Thin Ikizran et d'autres textes qui ont bercé des centaines de fans, Nouara a, grâce à sa voix mélodieuse, pu accrocher le public qui a fortement apprécié les qualités vocales de l'artiste.
Elle a interprété Thechnam ghef zniw, une chanson qui relate la vie de la femme kabyle. Modeste, mais aussi sensible, Nouara essayait toujours de donner le meilleur d'elle-même pour combler son public par ses fameuses chansons qui évoquent à la fois une enfance lointaine et l'amour de tous les temps. Ses chants sont empreints d'une mélancolie déchirante, d'une densité émotionnelle mais aussi de messages d'espoir pour la génération montante.
Elle a enchaîné ainsi avec Akwesigh ami azizène, un texte enveloppé dans une distribution musicale fascinante qui reflète parfaitement le talent de la chanteuse. Le gala de Nouara a drainé un public nombreux venu des quatre coins de la wilaya de Bouira.
Avec sa voix magique, pure et cristalline, la chanteuse a subjugué son public. A la fin du spectacle, plusieurs fans se bousculaient pour approcher la diva et surtout immortaliser cette occasion avec des prises de photos. La chanteuse a tenu à saluer chaleureusement le public bouiri pour son assistance. "Ça me fait grand plaisir d'être ici parmi vous", lance-t-elle très émue, et d'ajouter : "Si je savais qu'il y aurait tout ce monde qui m'admire, j'aurais décidé de ne pas arrêter la chanson."
Le public bouiri a été émerveillé de redécouvrir la voix sensible de l'artiste qui n'a vraiment pas changée. D'aucuns soutiennent qu'elle est restée aussi fraîche et aussi puissante comme dans les années 1970. D'ailleurs, ses chansons suscitent toujours des moments de nostalgie et donnent des frissons au public, surtout quand elle chante ses fameux Ichewiquen.
La chanteuse a fait son apparition sur scène, jeudi soir à la salle de la Maison de la culture Ali-Zaâmoum de Bouira, sous un tonnerre d'applaudissements et des youyous lancés dans la salle par les dizaines de familles venues assister au gala. Cette représentante charismatique et emblématique de la chanson féminine kabyle a chanté Lewdjabik, Thin Ikizran et d'autres textes qui ont bercé des centaines de fans, Nouara a, grâce à sa voix mélodieuse, pu accrocher le public qui a fortement apprécié les qualités vocales de l'artiste.
Elle a interprété Thechnam ghef zniw, une chanson qui relate la vie de la femme kabyle. Modeste, mais aussi sensible, Nouara essayait toujours de donner le meilleur d'elle-même pour combler son public par ses fameuses chansons qui évoquent à la fois une enfance lointaine et l'amour de tous les temps. Ses chants sont empreints d'une mélancolie déchirante, d'une densité émotionnelle mais aussi de messages d'espoir pour la génération montante.
Elle a enchaîné ainsi avec Akwesigh ami azizène, un texte enveloppé dans une distribution musicale fascinante qui reflète parfaitement le talent de la chanteuse. Le gala de Nouara a drainé un public nombreux venu des quatre coins de la wilaya de Bouira.
Avec sa voix magique, pure et cristalline, la chanteuse a subjugué son public. A la fin du spectacle, plusieurs fans se bousculaient pour approcher la diva et surtout immortaliser cette occasion avec des prises de photos. La chanteuse a tenu à saluer chaleureusement le public bouiri pour son assistance. "Ça me fait grand plaisir d'être ici parmi vous", lance-t-elle très émue, et d'ajouter : "Si je savais qu'il y aurait tout ce monde qui m'admire, j'aurais décidé de ne pas arrêter la chanson."
Le public bouiri a été émerveillé de redécouvrir la voix sensible de l'artiste qui n'a vraiment pas changée. D'aucuns soutiennent qu'elle est restée aussi fraîche et aussi puissante comme dans les années 1970. D'ailleurs, ses chansons suscitent toujours des moments de nostalgie et donnent des frissons au public, surtout quand elle chante ses fameux Ichewiquen.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.