Ils étaient plusieurs centaines de citoyens à avoir marché, hier matin, au chef-lieu de la daïra d'Azeffoun, 60 kilomètres au nord-est de la ville de Tizi-Ouzou. A 10 h, la placette située en face du siège de l'assemblée populaire communale d'Azeffoun (dans l'ancienne ville) était déjà prise d'assaut par les manifestants. Ils étaient plusieurs centaines de citoyens à avoir marché, hier matin, au chef-lieu de la daïra d'Azeffoun, 60 kilomètres au nord-est de la ville de Tizi-Ouzou. A 10 h, la placette située en face du siège de l'assemblée populaire communale d'Azeffoun (dans l'ancienne ville) était déjà prise d'assaut par les manifestants. Ils sont venus des quatre coins de la daïra d‘Azeffoun et des autres localités limitrophes comme Ath Chafaâ, Aghrib, Azazga, Fréha... pour dire ensemble leur rejet de la terreur terroriste. La marche s‘est ébranlée à dix heures et les manifestants ont parcouru, dans le silence, les rues principales de la ville d‘Azeffoun avant d‘aboutir devant le siège de la daïra où a pris fin l‘action, initiée la veille par un groupe de citoyens. Quelques manifestants qui se trouvaient au devant de la marche étaient munis de banderoles où ils ont tenu à exprimer leurs mots d‘ordre comme : « Halte au terrorisme » et « Oui à la vigilance ». Des portraits des victimes de l‘attentat de mardi dernier étaient également brandis par les présents. Au moment où se déroulait la marche silencieuse, les magasins, les cafés maures et l‘ensemble des autres locaux abritant des activités commerciales étaient paralysés suite à l‘appel à la grève ayant accompagné celui de la marche. C‘était aussi le cas de tous les bureaux et des administrations locales qui n‘ont repris le service qu‘après la fin de la marche au niveau du siège de la daïra, sis à l‘entrée ouest de ville d‘Azeffoun. Devant le siège de cette administration locale, des prises de parole ont été improvisées. L‘ensemble des intervenants ont abondé dans le même sens, à savoir condamner à l‘unanimité et avec fermeté l‘action terroriste de mardi dernier ayant jeté l‘émoi au sein de la population locale qui ont pourtant passé un mois de Ramadhan dans la sérénité totale et qui s‘apprêtait à célébrer la fête de l‘Aid el Fitr, également, dans la liesse. Mais la fête a été gâchée et la région endeuillée par un attentat ayant provoqué la mort de trois policiers et fait des blessés sans compter le traumatisme qu‘une telle action peut occasionner à la population qui ne s‘y attendait guère, compte tenu de la longue période d‘accalmie ayant prévalu à Azeffoun. Rappelons que l‘attentat de mardi dernier à Azeffoun a fait suite à deux autres ayant visé les forces de l‘ANP. L‘un s‘était produit la veille à Ait Yahia Moussa (dans la daïra de Drâa El Mizan) et avait fait deux blessés. Quant au troisième, il avait fait un mort à Yakouren, près d‘Azazga durant la même semaine. Ils sont venus des quatre coins de la daïra d‘Azeffoun et des autres localités limitrophes comme Ath Chafaâ, Aghrib, Azazga, Fréha... pour dire ensemble leur rejet de la terreur terroriste. La marche s‘est ébranlée à dix heures et les manifestants ont parcouru, dans le silence, les rues principales de la ville d‘Azeffoun avant d‘aboutir devant le siège de la daïra où a pris fin l‘action, initiée la veille par un groupe de citoyens. Quelques manifestants qui se trouvaient au devant de la marche étaient munis de banderoles où ils ont tenu à exprimer leurs mots d‘ordre comme : « Halte au terrorisme » et « Oui à la vigilance ». Des portraits des victimes de l‘attentat de mardi dernier étaient également brandis par les présents. Au moment où se déroulait la marche silencieuse, les magasins, les cafés maures et l‘ensemble des autres locaux abritant des activités commerciales étaient paralysés suite à l‘appel à la grève ayant accompagné celui de la marche. C‘était aussi le cas de tous les bureaux et des administrations locales qui n‘ont repris le service qu‘après la fin de la marche au niveau du siège de la daïra, sis à l‘entrée ouest de ville d‘Azeffoun. Devant le siège de cette administration locale, des prises de parole ont été improvisées. L‘ensemble des intervenants ont abondé dans le même sens, à savoir condamner à l‘unanimité et avec fermeté l‘action terroriste de mardi dernier ayant jeté l‘émoi au sein de la population locale qui ont pourtant passé un mois de Ramadhan dans la sérénité totale et qui s‘apprêtait à célébrer la fête de l‘Aid el Fitr, également, dans la liesse. Mais la fête a été gâchée et la région endeuillée par un attentat ayant provoqué la mort de trois policiers et fait des blessés sans compter le traumatisme qu‘une telle action peut occasionner à la population qui ne s‘y attendait guère, compte tenu de la longue période d‘accalmie ayant prévalu à Azeffoun. Rappelons que l‘attentat de mardi dernier à Azeffoun a fait suite à deux autres ayant visé les forces de l‘ANP. L‘un s‘était produit la veille à Ait Yahia Moussa (dans la daïra de Drâa El Mizan) et avait fait deux blessés. Quant au troisième, il avait fait un mort à Yakouren, près d‘Azazga durant la même semaine.