A l'exception des cafés, des marchands de tabac et journaux et de quelques pharmacies la plupart des commerces ont gardé leurs rideaux baissés au grand dam des familles... A l'exception des cafés, des marchands de tabac et journaux et de quelques pharmacies la plupart des commerces ont gardé leurs rideaux baissés au grand dam des familles... La paralysie de l'activité commerciale, constatée durant les deux jours de l'Aïd el-Fitr, semble se prolonger dans la ville d'Oran, où de nombreux commerces demeurent fermés, a-t-on constaté dimanche dans plusieurs quartiers de la ville d'Oran. A l'exception des cafés, des marchands de tabac et journaux, de quelques pharmacies la plupart des commerces n'ont pas assuré leurs prestations habituelles. Les consommateurs se sont trouvés contraints de partir à "la conquête" qui d'une baguette de pain, qui de quelques légumes ou d'un sachet de lait, et autres produits de première nécessité. En dépit de l'appel lancé par l'Union des commerçants à l'adresse des boulangers pour assurer une permanence durant les deux jours de l'Aïd, nombreux étaient ceux qui n'ont pas respecté leur obligation, prétextant l'absence de leurs artisans partis célébrer cette fête avec leurs familles rapporte l'APS. Ce dimanche, les boulangeries ont commencé peu à peu à reprendre leurs activités. Certains ont préféré céder, dès les premières heures de la matinée, leurs fournées de pain à des revendeurs à la sauvette qui profitent de cette "pénurie" déguisée. Jeudi et vendredi derniers, la baguette de pain a atteint les 50 dinars de même que la petite miche de pain pour "panini", sur certaines places d'Oran, comme Gambetta, connues pour ce genre de commerces illicites. Les vendeurs de pain traditionnel comme "mat'lou Maghnia", "khobz s'mide" ou encore "khobz souri", n'ont pas raté cette occasion pour se remplir les poches en doublant, voire en triplant les prix de la galette. Déjà à quelques jours de la célébration de l'Aïd, les commerçants ont commencé à déserter les marchés et les produits ont commencé à disparaître des étalages aussi bien les légumes, comme la carotte, la courgette, la laitue, et la pomme de terre, mais également les autres produits comme le lait, la limonade et mêmes les eaux minérales. Le consommateur, peu exigeant, a été contraint de revoir à la baisse ses critères de consommation, achetant des denrées d'une qualité douteuse, et même des produits dont la date de péremption est trop proche ou dépassée. Les seuls commerces ayant prospéré durant ces derniers jours sont ceux qui se sont reconvertis dans la vente des jouets et autres gadgets, qui ont fait fureur auprès des enfants, soucieux de dépenser l'argent collecté durant l'Aïd auprès de leurs parents et autres membres de leurs familles. La paralysie de l'activité commerciale, constatée durant les deux jours de l'Aïd el-Fitr, semble se prolonger dans la ville d'Oran, où de nombreux commerces demeurent fermés, a-t-on constaté dimanche dans plusieurs quartiers de la ville d'Oran. A l'exception des cafés, des marchands de tabac et journaux, de quelques pharmacies la plupart des commerces n'ont pas assuré leurs prestations habituelles. Les consommateurs se sont trouvés contraints de partir à "la conquête" qui d'une baguette de pain, qui de quelques légumes ou d'un sachet de lait, et autres produits de première nécessité. En dépit de l'appel lancé par l'Union des commerçants à l'adresse des boulangers pour assurer une permanence durant les deux jours de l'Aïd, nombreux étaient ceux qui n'ont pas respecté leur obligation, prétextant l'absence de leurs artisans partis célébrer cette fête avec leurs familles rapporte l'APS. Ce dimanche, les boulangeries ont commencé peu à peu à reprendre leurs activités. Certains ont préféré céder, dès les premières heures de la matinée, leurs fournées de pain à des revendeurs à la sauvette qui profitent de cette "pénurie" déguisée. Jeudi et vendredi derniers, la baguette de pain a atteint les 50 dinars de même que la petite miche de pain pour "panini", sur certaines places d'Oran, comme Gambetta, connues pour ce genre de commerces illicites. Les vendeurs de pain traditionnel comme "mat'lou Maghnia", "khobz s'mide" ou encore "khobz souri", n'ont pas raté cette occasion pour se remplir les poches en doublant, voire en triplant les prix de la galette. Déjà à quelques jours de la célébration de l'Aïd, les commerçants ont commencé à déserter les marchés et les produits ont commencé à disparaître des étalages aussi bien les légumes, comme la carotte, la courgette, la laitue, et la pomme de terre, mais également les autres produits comme le lait, la limonade et mêmes les eaux minérales. Le consommateur, peu exigeant, a été contraint de revoir à la baisse ses critères de consommation, achetant des denrées d'une qualité douteuse, et même des produits dont la date de péremption est trop proche ou dépassée. Les seuls commerces ayant prospéré durant ces derniers jours sont ceux qui se sont reconvertis dans la vente des jouets et autres gadgets, qui ont fait fureur auprès des enfants, soucieux de dépenser l'argent collecté durant l'Aïd auprès de leurs parents et autres membres de leurs familles.