Le nouveau secrétaire général du FLN sera-t-il connu à la fin du mois courant. C'est tout l'enjeu de la réunion du CC du parti, prévu pour cette date. Rien n'est moins sûr. Boumahdi et Belayat jouent à la course contre la montre. Le premier compte convoquer le CC à l'hôtel Aurassi une réunion dont il a obtenu l'autorisation du département de Ould Kablia. Le nouveau secrétaire général du FLN sera-t-il connu à la fin du mois courant. C'est tout l'enjeu de la réunion du CC du parti, prévu pour cette date. Rien n'est moins sûr. Boumahdi et Belayat jouent à la course contre la montre. Le premier compte convoquer le CC à l'hôtel Aurassi une réunion dont il a obtenu l'autorisation du département de Ould Kablia. Le second compte, lui, convoquer le CC à l'hôtel Riadh à Sidi-Ferruch. Aura-t-il l'autorisation du ministère de l'Intérieur. C'est hautement improbable. Est-ce la fin de la crise au FLN ? Le nouveau secrétaire général du parti sera-t-il connu à l'issue de la réunion de son Comité central prévu pour les journées des 29 et 30 août courant à l'hôtel Aurassi. Le bureau politique qui s'est réuni hier à Alger a retenu cette date. Une date avancée, jeudi dernier, par le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia depuis M'Sila à l'occasion de la visite de travail et d'inspection effectuée dans la wilaya du Hodna par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. Déjà la polémique fait rage. Des pour et des contre pour la réunion de cette instance du vieux parti pour pourvoir le siège du secrétaire général, vacant depuis le 12 janvier dernier, suite à la destitution de Abdelaziz Belkhadem. Une division des rangs qui s'est accéléré ces derniers jours à la suite d'un coup de force tenté par Ahmed Boumahdi. Un seul ordre du jour à cette réunion du CC du vieux parti. La nomination d'un secrétaire général du parti. Le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia avait confirmé le jeudi 22 août à M'sila avoir délivré cette autorisation à Ahmed Boumahdi, chef du bureau de la dernière session du comité central tenue fin janvier dernier. Ould Kablia a déclaré que le FLN a présenté une demande "légalement fondée" pour réunir son comité. Il a expliqué à la presse, en marge de la visite du Premier ministre Abdelmalek Sellal dans cette wilaya qu'une réunion du CC est convoquée soit par le secrétaire général du parti soit par les 2/3 des membres du Comité. "Dans la situation actuelle du FLN qui ne dispose pas de secrétaire général, c'est aux deux tiers des membres du comité central de convoquer cette réunion", a-t-il ajouté. Peu avant cette sortie de Doho Ould Kablia, le coordonnateur du bureau politique du parti, Abderrahmane Belayat, avait démenti jeudi, dans la matinée, l'information de la tenue de cette réunion du CC à la date du 29 août. Il a ajouté que "seul le coordonnateur du bureau politique est habilité à convoquer cette réunion conformément à l'article 9 de son règlement intérieur". "Ni la date, ni le lieu, ni l'ordre du jour de cette réunion, n'ont été arrêtés par l'instance habilitée à convoquer une telle rencontre qui n'obéit ni aux procédures, ni aux règlements du parti, et encore moins aux textes relatifs à l'organisation et aux activités des partis politiques", a-t-il soutenu. Est-ce vraiment une surprise que le clan représenté par Ahmed Boumahdi est parvenu à arracher l'autorisation du ministère de l'Intérieur pour convoquer la réunion du CC, comme l'a soutenu Abderrahmane Belayat ? Il semble que la date de la réunion du CC a été avalisée hier par les membres du BP, du moins par la majorité de cette instance suprême. Les dernières "cartouches" tirées par le coordinateur du parti, Abderrahmane Belayat, n'étaient que des pétards mouillés. Il a été décidé que FLN reprenait "le droit chemin" en prévision des évènements qui auront lieu à court et moyen termes. Et, il se susurre que le nom du successeur de Belkhadem et connu. Le nom de Amar Saïdani revient avec insistance. Sa nomination serait une pure formalité que le comité central serait "invité" à adouber. Il reste que la situation est loin d'être claire. Le coordinateur national du parti Abderrahmane Belayat ne s'avoue pas pour autant vaincu. Il menace de convoquer un CC bis, le même jour à savoir le 29 août à l'hôtel Riadh à Sidi-Ferruch. Belayat et ses partisans du bureau politique mènent, depuis jeudi, une véritable course contre la montre pour contrecarrer la démarche de leurs adversaires. Qui arrivera en fin de course à l'emporter. Difficile à dire tant les interférences brouillent toutes les pistes et les cartes ne sont pas dans une seule main. Le second compte, lui, convoquer le CC à l'hôtel Riadh à Sidi-Ferruch. Aura-t-il l'autorisation du ministère de l'Intérieur. C'est hautement improbable. Est-ce la fin de la crise au FLN ? Le nouveau secrétaire général du parti sera-t-il connu à l'issue de la réunion de son Comité central prévu pour les journées des 29 et 30 août courant à l'hôtel Aurassi. Le bureau politique qui s'est réuni hier à Alger a retenu cette date. Une date avancée, jeudi dernier, par le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia depuis M'Sila à l'occasion de la visite de travail et d'inspection effectuée dans la wilaya du Hodna par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. Déjà la polémique fait rage. Des pour et des contre pour la réunion de cette instance du vieux parti pour pourvoir le siège du secrétaire général, vacant depuis le 12 janvier dernier, suite à la destitution de Abdelaziz Belkhadem. Une division des rangs qui s'est accéléré ces derniers jours à la suite d'un coup de force tenté par Ahmed Boumahdi. Un seul ordre du jour à cette réunion du CC du vieux parti. La nomination d'un secrétaire général du parti. Le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia avait confirmé le jeudi 22 août à M'sila avoir délivré cette autorisation à Ahmed Boumahdi, chef du bureau de la dernière session du comité central tenue fin janvier dernier. Ould Kablia a déclaré que le FLN a présenté une demande "légalement fondée" pour réunir son comité. Il a expliqué à la presse, en marge de la visite du Premier ministre Abdelmalek Sellal dans cette wilaya qu'une réunion du CC est convoquée soit par le secrétaire général du parti soit par les 2/3 des membres du Comité. "Dans la situation actuelle du FLN qui ne dispose pas de secrétaire général, c'est aux deux tiers des membres du comité central de convoquer cette réunion", a-t-il ajouté. Peu avant cette sortie de Doho Ould Kablia, le coordonnateur du bureau politique du parti, Abderrahmane Belayat, avait démenti jeudi, dans la matinée, l'information de la tenue de cette réunion du CC à la date du 29 août. Il a ajouté que "seul le coordonnateur du bureau politique est habilité à convoquer cette réunion conformément à l'article 9 de son règlement intérieur". "Ni la date, ni le lieu, ni l'ordre du jour de cette réunion, n'ont été arrêtés par l'instance habilitée à convoquer une telle rencontre qui n'obéit ni aux procédures, ni aux règlements du parti, et encore moins aux textes relatifs à l'organisation et aux activités des partis politiques", a-t-il soutenu. Est-ce vraiment une surprise que le clan représenté par Ahmed Boumahdi est parvenu à arracher l'autorisation du ministère de l'Intérieur pour convoquer la réunion du CC, comme l'a soutenu Abderrahmane Belayat ? Il semble que la date de la réunion du CC a été avalisée hier par les membres du BP, du moins par la majorité de cette instance suprême. Les dernières "cartouches" tirées par le coordinateur du parti, Abderrahmane Belayat, n'étaient que des pétards mouillés. Il a été décidé que FLN reprenait "le droit chemin" en prévision des évènements qui auront lieu à court et moyen termes. Et, il se susurre que le nom du successeur de Belkhadem et connu. Le nom de Amar Saïdani revient avec insistance. Sa nomination serait une pure formalité que le comité central serait "invité" à adouber. Il reste que la situation est loin d'être claire. Le coordinateur national du parti Abderrahmane Belayat ne s'avoue pas pour autant vaincu. Il menace de convoquer un CC bis, le même jour à savoir le 29 août à l'hôtel Riadh à Sidi-Ferruch. Belayat et ses partisans du bureau politique mènent, depuis jeudi, une véritable course contre la montre pour contrecarrer la démarche de leurs adversaires. Qui arrivera en fin de course à l'emporter. Difficile à dire tant les interférences brouillent toutes les pistes et les cartes ne sont pas dans une seule main.