On parle beaucoup de l'allègement des horaires et des programmes scolaires promis par le ministre qui devraient permettre à l'élève d'avoir un cartable moins lourd si tant est que les professeurs appliquent les recommandations de Baba Ahmed.. On parle beaucoup de l'allègement des horaires et des programmes scolaires promis par le ministre qui devraient permettre à l'élève d'avoir un cartable moins lourd si tant est que les professeurs appliquent les recommandations de Baba Ahmed.. Comment s'annonce la rentrée scolaire 2013/2014 fixée au 8 septembre. Une question posée au ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, à la veille des examens de passage de fin d'année. Celui-ci aurait répondu avec beaucoup d'optimiste, que la rentrée s'inscrit dans le cadre normal de la poursuite du processus de mise en œuvre de la réforme du système éducatif et de la réalisation du plan de développement du secteur. Va pour la théorie. Mais concrètement les choses ne sont pas si simples que cela pour les huit millions d'élèves, tous paliers confondus. En premier lieu la surcharge des classes qui est loin d'être réglée malgré les nouvelles structures réalisées au pas de charge et que l'on promet fin prêtes pour fin décembre si tout va bien.On verra encore et pour longtemps des classes avec plus de quarante élèves en option vacations. Il y aura un léger mieux dans la prise en charge pédagogique avec les nouveaux postes budgétaires dégagés par le ministère de tutelle où les grandes villes seront un peu mieux pourvues en enseignants qu'à l'intérieur du pays où le déficit sera plus criant. On parle beaucoup de l'allègement des horaires et des programmes scolaires promis par le ministre qui devraient permettre à l'élève d'avoir un cartable moins lourd si tant est que les professeurs appliquent les recommandations de Baba Ahmed en n'exigeant pas une montagne de cahiers. Le cartable en prend un coup, le porte-monnaie aussi. Mais la tache noire du système éducatif est sans conteste la déperdition scolaire où plus de 500.000 élèves sont exclus annuellement de l'école algérienne, une déperdition aux multiples causes souvent relationnelles. Les conséquences sont connues : chômage, délinquance et banditisme. Les différents acteurs de l'éducation sont interpellés. De vraies réformes du système éducatif s'imposent car l'échec scolaire incombe d'abord au système éducatif non adapté, à l'enseignant car comme a dit le philosophe français Alain « il n'y a pas de mauvais élèves mais de mauvais maîtres. » Comment s'annonce la rentrée scolaire 2013/2014 fixée au 8 septembre. Une question posée au ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, à la veille des examens de passage de fin d'année. Celui-ci aurait répondu avec beaucoup d'optimiste, que la rentrée s'inscrit dans le cadre normal de la poursuite du processus de mise en œuvre de la réforme du système éducatif et de la réalisation du plan de développement du secteur. Va pour la théorie. Mais concrètement les choses ne sont pas si simples que cela pour les huit millions d'élèves, tous paliers confondus. En premier lieu la surcharge des classes qui est loin d'être réglée malgré les nouvelles structures réalisées au pas de charge et que l'on promet fin prêtes pour fin décembre si tout va bien.On verra encore et pour longtemps des classes avec plus de quarante élèves en option vacations. Il y aura un léger mieux dans la prise en charge pédagogique avec les nouveaux postes budgétaires dégagés par le ministère de tutelle où les grandes villes seront un peu mieux pourvues en enseignants qu'à l'intérieur du pays où le déficit sera plus criant. On parle beaucoup de l'allègement des horaires et des programmes scolaires promis par le ministre qui devraient permettre à l'élève d'avoir un cartable moins lourd si tant est que les professeurs appliquent les recommandations de Baba Ahmed en n'exigeant pas une montagne de cahiers. Le cartable en prend un coup, le porte-monnaie aussi. Mais la tache noire du système éducatif est sans conteste la déperdition scolaire où plus de 500.000 élèves sont exclus annuellement de l'école algérienne, une déperdition aux multiples causes souvent relationnelles. Les conséquences sont connues : chômage, délinquance et banditisme. Les différents acteurs de l'éducation sont interpellés. De vraies réformes du système éducatif s'imposent car l'échec scolaire incombe d'abord au système éducatif non adapté, à l'enseignant car comme a dit le philosophe français Alain « il n'y a pas de mauvais élèves mais de mauvais maîtres. »