Le commerce prohibé des produits pyrotechniques continue de générer de grosses sommes d'argent pour les réseaux de trafic, ceci en dépit de la lutte sans relâche des services de police qui tentent tant bien que mal d'intercepter ces convois bourrés de produits dangereux et interdits sur les routes, mais aussi de surveiller les ports du pays là où des conteneurs contenant ce genre de produits sont envoyés vers le pays. Le commerce prohibé des produits pyrotechniques continue de générer de grosses sommes d'argent pour les réseaux de trafic, ceci en dépit de la lutte sans relâche des services de police qui tentent tant bien que mal d'intercepter ces convois bourrés de produits dangereux et interdits sur les routes, mais aussi de surveiller les ports du pays là où des conteneurs contenant ce genre de produits sont envoyés vers le pays. Un conteneur bourré de feux d'artifices a été intercepté, avant-hier, par les éléments de la Sûreté d'Alger suite à un contrôle d'un semi-remorque effectué au niveau du barrage de police dans la circonscription de Baraki. Le semi-remorque était conduit par un jeune chauffeur avant que les policiers ne lui demandent de stationner son engin pour passer au contrôle, explique un communiqué de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya d'Alger (SWA). Suite à la fouille du camion, les policiers mobilisés au niveau du point de contrôle ont découvert 3.000 pièces de feux d'artifices et bombes lacrymogènes destinées, illégalement, pour être vendues marché noir. L'interception du camion a poussé les policiers à ouvrir une enquête afin de connaître la provenance de cette grosse quantité de feux d'artifices qui, faut-il le signaler, sont strictement interdits à la commercialisation sur le territoire algérien. Ainsi, le conducteur du semi-remorque a été conduit au siège de la Police judiciaire (PJ) pour un interrogatoire. Ce dernier a dévoilé aux enquêteurs la présence d'une autre quantité de feux d'artifices, toutefois plus considérable gardée au secret au niveau du port d'Alger, chose qui a poussé les policiers à se déplacer rapidement au niveau dudit lieu pour passer au peigne fin le port. Ici, les recherches ont permis aux policiers de la circonscription Est de découvrir trois autres conteneurs contenant de grosses quantités de feux d'artifices et des bombes lacrymogènes également destinés pour le marché noir, explique toujours le communiqué de la SWA. Suite à cette grosse prise, les quatre conteneurs ont été saisis par les éléments de la Police judiciaire et remis aux services concernés, tandis que l'enquête se poursuit toujours explique, enfin, le communiqué de la Sûreté d'Alger. Un conteneur bourré de feux d'artifices a été intercepté, avant-hier, par les éléments de la Sûreté d'Alger suite à un contrôle d'un semi-remorque effectué au niveau du barrage de police dans la circonscription de Baraki. Le semi-remorque était conduit par un jeune chauffeur avant que les policiers ne lui demandent de stationner son engin pour passer au contrôle, explique un communiqué de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya d'Alger (SWA). Suite à la fouille du camion, les policiers mobilisés au niveau du point de contrôle ont découvert 3.000 pièces de feux d'artifices et bombes lacrymogènes destinées, illégalement, pour être vendues marché noir. L'interception du camion a poussé les policiers à ouvrir une enquête afin de connaître la provenance de cette grosse quantité de feux d'artifices qui, faut-il le signaler, sont strictement interdits à la commercialisation sur le territoire algérien. Ainsi, le conducteur du semi-remorque a été conduit au siège de la Police judiciaire (PJ) pour un interrogatoire. Ce dernier a dévoilé aux enquêteurs la présence d'une autre quantité de feux d'artifices, toutefois plus considérable gardée au secret au niveau du port d'Alger, chose qui a poussé les policiers à se déplacer rapidement au niveau dudit lieu pour passer au peigne fin le port. Ici, les recherches ont permis aux policiers de la circonscription Est de découvrir trois autres conteneurs contenant de grosses quantités de feux d'artifices et des bombes lacrymogènes également destinés pour le marché noir, explique toujours le communiqué de la SWA. Suite à cette grosse prise, les quatre conteneurs ont été saisis par les éléments de la Police judiciaire et remis aux services concernés, tandis que l'enquête se poursuit toujours explique, enfin, le communiqué de la Sûreté d'Alger.