En prévision d'une éventuelle attaque militaire en Syrie, le département d'Etat américain à la défense a décidé de faire évacuer le personnel diplomatique "non essentiel" de son ambassade à Beyrouth, au Liban. En prévision d'une éventuelle attaque militaire en Syrie, le département d'Etat américain à la défense a décidé de faire évacuer le personnel diplomatique "non essentiel" de son ambassade à Beyrouth, au Liban. Il a également pressé les citoyens américains de quitter au plus vite le pays frontalier avec la Syrie et y déconseille tout voyage pour des raisons de sécurité. "Le 6 septembre, le département d'Etat a décidé de réduire le nombre de personnels non essentiels et celui des membres de leurs familles de l'ambassade à Beyrouth en raison des menaces contre les sièges des missions américaines et contre le personnel", indique l'ambassade. Washington annonce parallèlement avoir réduit sa présence diplomatique au consulat d'Adana, dans le sud de la Turquie proche de la Syrie, pour des motifs similaires. Les Etats-Unis craignent notamment des attaques du Hezbollah, soutien du régime de Bachar Al-Assad, contre ses ressortissants au Liban. Le Wall Street Journal rapporte des propos de responsables américains faisant état de menaces sur les intérêts américains émanant d'une unité des gardiens de la révolution iraniens. Ces derniers auraient appelé des activistes en Irak à mener des attaques contre des intérêts américains à Baghdad si des actions militaires sont lancées en Syrie. Il a également pressé les citoyens américains de quitter au plus vite le pays frontalier avec la Syrie et y déconseille tout voyage pour des raisons de sécurité. "Le 6 septembre, le département d'Etat a décidé de réduire le nombre de personnels non essentiels et celui des membres de leurs familles de l'ambassade à Beyrouth en raison des menaces contre les sièges des missions américaines et contre le personnel", indique l'ambassade. Washington annonce parallèlement avoir réduit sa présence diplomatique au consulat d'Adana, dans le sud de la Turquie proche de la Syrie, pour des motifs similaires. Les Etats-Unis craignent notamment des attaques du Hezbollah, soutien du régime de Bachar Al-Assad, contre ses ressortissants au Liban. Le Wall Street Journal rapporte des propos de responsables américains faisant état de menaces sur les intérêts américains émanant d'une unité des gardiens de la révolution iraniens. Ces derniers auraient appelé des activistes en Irak à mener des attaques contre des intérêts américains à Baghdad si des actions militaires sont lancées en Syrie.