Les travailleurs de l'entreprise de fabrication de meubles, Leader Meubles, située dans la commune de Tizi Rached, sont en grève illimitée depuis le 11 août dernier. Les travailleurs de l'entreprise de fabrication de meubles, Leader Meubles, située dans la commune de Tizi Rached, sont en grève illimitée depuis le 11 août dernier. Le fleuron de l'industrie du bois dans la wilaya de Tizi-Ouzou traverse une zone de turbulences presqu'inédite dans ses annales. C'est du moins la conclusion qui pourrait être tirée de la situation, vraisemblablement inextricable, dans laquelle se débat cette entreprise, la plus importante dans son domaine dans la région centre du pays. Selon des travailleurs de cette unité, sise sur le territoire de la commune de Tizi Rached, vingt kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, les raisons de cette colère qui n'en finit pas est l'absence de prise en charge et de satisfaction des revendications principales exprimées par les employés. Depuis plus d'une année, la situation ne cesse de bouillonner dans cette entreprise de fabrication de meubles. Une grande cacophonie règne en son sein. On ne sait plus qui est syndicaliste et qui est administrateur, ici. Il a fallu une grève de plus d'un mois il y a une année, pour qu'enfin, les choses rentrent un tant soit peu dans l'ordre. Mais de manière provisoire. Pour l'instant, l'union locale de l'Union générale des travailleurs algériens a mis un terme à cette situation irrégulière en suspendant la section syndicale à l'origine du litige. Une section syndicale, faut-il le rappeler, qui a été vilipendée et décriée par l'ensemble des travailleurs de l'ex-ENATB de Taboukert. La dissolution de ladite section syndicale n'a pas pour autant mis un terme à la crise. Les travailleurs déplorent la non tenue d'une assemblée générale pour l'élection d'un nouveau syndicat d'unité et ce, conformément à la réglementation en vigueur. Afin d'exercer une pression sur les responsables, une partie des travailleurs a même enclenché une grève de la faim, a-t-on appris en outre. Jusqu'à hier, le débrayage au sein de la même entreprise se poursuivait. Une plate-forme de revendications comportant entre autres des préoccupations d'ordre salariale a été remise à la direction de l'entreprise. Les travailleurs attendent toujours une réponse. Le fleuron de l'industrie du bois dans la wilaya de Tizi-Ouzou traverse une zone de turbulences presqu'inédite dans ses annales. C'est du moins la conclusion qui pourrait être tirée de la situation, vraisemblablement inextricable, dans laquelle se débat cette entreprise, la plus importante dans son domaine dans la région centre du pays. Selon des travailleurs de cette unité, sise sur le territoire de la commune de Tizi Rached, vingt kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, les raisons de cette colère qui n'en finit pas est l'absence de prise en charge et de satisfaction des revendications principales exprimées par les employés. Depuis plus d'une année, la situation ne cesse de bouillonner dans cette entreprise de fabrication de meubles. Une grande cacophonie règne en son sein. On ne sait plus qui est syndicaliste et qui est administrateur, ici. Il a fallu une grève de plus d'un mois il y a une année, pour qu'enfin, les choses rentrent un tant soit peu dans l'ordre. Mais de manière provisoire. Pour l'instant, l'union locale de l'Union générale des travailleurs algériens a mis un terme à cette situation irrégulière en suspendant la section syndicale à l'origine du litige. Une section syndicale, faut-il le rappeler, qui a été vilipendée et décriée par l'ensemble des travailleurs de l'ex-ENATB de Taboukert. La dissolution de ladite section syndicale n'a pas pour autant mis un terme à la crise. Les travailleurs déplorent la non tenue d'une assemblée générale pour l'élection d'un nouveau syndicat d'unité et ce, conformément à la réglementation en vigueur. Afin d'exercer une pression sur les responsables, une partie des travailleurs a même enclenché une grève de la faim, a-t-on appris en outre. Jusqu'à hier, le débrayage au sein de la même entreprise se poursuivait. Une plate-forme de revendications comportant entre autres des préoccupations d'ordre salariale a été remise à la direction de l'entreprise. Les travailleurs attendent toujours une réponse.