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1er cancer chez les ados
Publié dans Le Midi Libre le 18 - 09 - 2013

Le lymphome est le 1er cancer chez l'adolescent et le jeune adulte. Pourtant, il est très méconnu. Quand le diagnostic de lymphome tombe, la moitié des personnes n'ont jamais entendu parler de cette maladie. Et 74% d'entre elles ignorent même qu'il s'agit d'un cancer.
Le lymphome est le 1er cancer chez l'adolescent et le jeune adulte. Pourtant, il est très méconnu. Quand le diagnostic de lymphome tombe, la moitié des personnes n'ont jamais entendu parler de cette maladie. Et 74% d'entre elles ignorent même qu'il s'agit d'un cancer.
L'association France Lymphome Espoir qui organise la journée mondiale du lymphome ce 15 septembre veut lutter contre cette méconnaissance. Car la méconnaissance de cette maladie, qui touche environ 15.000 Français chaque année, n'est évidemment pas sans conséquences. En effet, le diagnostic souvent assombrit le pronostic alors que la prise en charge des lymphomes est aujourd'hui bien établie.
80 formes de lymphomes
Les lymphomes sont des tumeurs qui se développent dans l'ensemble du système lymphatique mais peuvent atteindre aussi des organes. Selon la classification de l'OMS, il existe 80 types différents de lymphomes, de gravité et d'évolution très variables, qui sont essentiellement classés en deux grandes catégories : les lymphomes hodgkininens qui représentent seulement 1 cas sur 7 et les lymphomes non hodgkininens, dont le nombre de nouveaux cas a augmenté de près 5% par an au cours des dernières décennies.
Le lymphome fait "un malheur chez les ados"
Le pronostic d'un lymphome non hodgkinien dépend bien entendu du type du lymphome mais aussi de l'âge du patient, un âge supérieur à 60 ans signe une gravité accrue de la maladie. Les lymphomes dont les cellules ont des critères de haute malignité guérissent définitivement dans au moins 50% des cas. L'association France Lymphome Espoir consacre, donc, la 7e édition de cette journée mondiale aux symptômes de la maladie. Et en particulier chez l'adolescent et le jeune adulte, avec pour slogan :
« Lymphome : 1er de sa classe, il fait un malheur chez les ados ! ».
Un cancer qui avance masqué
Le lymphome est le 1er cancer chez l'adolescent et le jeune adulte, mais il avance masqué, avec des symptômes peu spécifiques. Il faut donc être en alerte devant un ensemble de signes persistants : le gonflement d'un ou plusieurs ganglions palpables au niveau du cou, des aisselles, de l'aine ou d'un organe, lié à l'accumulation des cellules cancéreuses, des sueurs nocturnes abondantes, des démangeaisons permanentes mais également une perte de poids, une fièvre inexpliquée, de la fatigue, des malaises ou encore des douleurs abdominales. Ensuite, une fois le diagnostic établi, les traitements des lymphomes sont extrêmement hétérogènes puisqu'ils vont de la prise d'antibiotiques dans certaines formes de lymphome de l'estomac localisées et associées à Helicobacter Pylori, à la greffe de moelle osseuse.
L'association France Lymphome Espoir qui organise la journée mondiale du lymphome ce 15 septembre veut lutter contre cette méconnaissance. Car la méconnaissance de cette maladie, qui touche environ 15.000 Français chaque année, n'est évidemment pas sans conséquences. En effet, le diagnostic souvent assombrit le pronostic alors que la prise en charge des lymphomes est aujourd'hui bien établie.
80 formes de lymphomes
Les lymphomes sont des tumeurs qui se développent dans l'ensemble du système lymphatique mais peuvent atteindre aussi des organes. Selon la classification de l'OMS, il existe 80 types différents de lymphomes, de gravité et d'évolution très variables, qui sont essentiellement classés en deux grandes catégories : les lymphomes hodgkininens qui représentent seulement 1 cas sur 7 et les lymphomes non hodgkininens, dont le nombre de nouveaux cas a augmenté de près 5% par an au cours des dernières décennies.
Le lymphome fait "un malheur chez les ados"
Le pronostic d'un lymphome non hodgkinien dépend bien entendu du type du lymphome mais aussi de l'âge du patient, un âge supérieur à 60 ans signe une gravité accrue de la maladie. Les lymphomes dont les cellules ont des critères de haute malignité guérissent définitivement dans au moins 50% des cas. L'association France Lymphome Espoir consacre, donc, la 7e édition de cette journée mondiale aux symptômes de la maladie. Et en particulier chez l'adolescent et le jeune adulte, avec pour slogan :
« Lymphome : 1er de sa classe, il fait un malheur chez les ados ! ».
Un cancer qui avance masqué
Le lymphome est le 1er cancer chez l'adolescent et le jeune adulte, mais il avance masqué, avec des symptômes peu spécifiques. Il faut donc être en alerte devant un ensemble de signes persistants : le gonflement d'un ou plusieurs ganglions palpables au niveau du cou, des aisselles, de l'aine ou d'un organe, lié à l'accumulation des cellules cancéreuses, des sueurs nocturnes abondantes, des démangeaisons permanentes mais également une perte de poids, une fièvre inexpliquée, de la fatigue, des malaises ou encore des douleurs abdominales. Ensuite, une fois le diagnostic établi, les traitements des lymphomes sont extrêmement hétérogènes puisqu'ils vont de la prise d'antibiotiques dans certaines formes de lymphome de l'estomac localisées et associées à Helicobacter Pylori, à la greffe de moelle osseuse.


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