La création d'un nouveau poste pour la réforme du service public est venue à la rescousse pour assainir un secteur de fond en comble. La nomination de Mohamed El Ghazi comme ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme du service public sera délicate. La création d'un nouveau poste pour la réforme du service public est venue à la rescousse pour assainir un secteur de fond en comble. La nomination de Mohamed El Ghazi comme ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme du service public sera délicate. C'est tout un pan entier de l'administration qui reste à revoir avec des prérogatives claires. Sur terrain, il aura du pain sur la planche dans un secteur verrouillé par les pratiques bureaucratiques dont l'effet insidieux sur les citoyens est fort connu. Même si cet énarque qui a connu plusieurs promotions dont la dernière fonction était celle de wali d'Annaba, il y a tant de choses à reconsidérer dans son nouvel exercice. Farouk Ksentini, président de la Commission nationale des droits de l'homme a livré ses attentes dans le cadre de la réforme du service public en soulignant « la nécessaire éradication de la bureaucratie du fonctionnement de l'administration en assouplissant les procédures et documents ». Pour lui, « la création d'un ministère chargé de la Réforme du service public est une réponse du président de la République aux revendications de la société civile pour la lutte contre la bureaucratie, vivier de la corruption administrative ». Me Ksentini a déclaré que la commission qu'il préside fondait « de grands espoirs en cette nouvelle structure pour assumer son rôle dans le rétablissement de la confiance entre le citoyen et l'administration ». Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait affirmé jeudi dernier lors de la cérémonie d'installation de Mohamed El Ghazi, ministre auprès du Premier ministre chargé de la Réforme du service public, que « la réussite de l'Etat dans ses missions était tributaire de la facilitation des conditions de vie du citoyen dans son environnement, notamment l'administration qui continue de poser des problèmes au citoyen ». Dans une déclaration à la presse, Mohamed El Ghazi estime que « sa nouvelle structure a pour priorité de mettre un plan pour alléger les documents administratifs et de rapprocher les citoyens de l'administration ». Il indique dans ce sens que "sa nouvelle mission est de se rapprocher de tous les ministères afin de voir plus de prés quels types de facilités à entreprendre". Le nouveau ministre s'est offusqué « du nombre de documents que doivent fournir les jeunes pour les examens de concours de la Fonction publique ». Des procédures qu'il qualifie de « lourdes et handicapantes ». Car comment expliquer que ces postulants y compris ceux concernés par l'Ansej doivent fournir des documents d'état civil sans importance avec la nature de leurs activités. Mohamed El Ghazi promet de rendre « la tâche plus facile » aux futurs candidats aux examens des concours de la Fonction publique. Idem pour les dossiers liés à l'investissement qui relèvent du parcours du combattant pour les futurs investisseurs. Là, il y a l'urgence d'alléger le nombre de documents qui parfois frôlent la vingtaine et retardent donc les investisseurs dans leurs projets. Pour ce qui est de la réforme de l'état civil au sein des communes, c'est un axe qui est cerné aujourd'hui dans le code communal. C'est tout un pan entier de l'administration qui reste à revoir avec des prérogatives claires. Sur terrain, il aura du pain sur la planche dans un secteur verrouillé par les pratiques bureaucratiques dont l'effet insidieux sur les citoyens est fort connu. Même si cet énarque qui a connu plusieurs promotions dont la dernière fonction était celle de wali d'Annaba, il y a tant de choses à reconsidérer dans son nouvel exercice. Farouk Ksentini, président de la Commission nationale des droits de l'homme a livré ses attentes dans le cadre de la réforme du service public en soulignant « la nécessaire éradication de la bureaucratie du fonctionnement de l'administration en assouplissant les procédures et documents ». Pour lui, « la création d'un ministère chargé de la Réforme du service public est une réponse du président de la République aux revendications de la société civile pour la lutte contre la bureaucratie, vivier de la corruption administrative ». Me Ksentini a déclaré que la commission qu'il préside fondait « de grands espoirs en cette nouvelle structure pour assumer son rôle dans le rétablissement de la confiance entre le citoyen et l'administration ». Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait affirmé jeudi dernier lors de la cérémonie d'installation de Mohamed El Ghazi, ministre auprès du Premier ministre chargé de la Réforme du service public, que « la réussite de l'Etat dans ses missions était tributaire de la facilitation des conditions de vie du citoyen dans son environnement, notamment l'administration qui continue de poser des problèmes au citoyen ». Dans une déclaration à la presse, Mohamed El Ghazi estime que « sa nouvelle structure a pour priorité de mettre un plan pour alléger les documents administratifs et de rapprocher les citoyens de l'administration ». Il indique dans ce sens que "sa nouvelle mission est de se rapprocher de tous les ministères afin de voir plus de prés quels types de facilités à entreprendre". Le nouveau ministre s'est offusqué « du nombre de documents que doivent fournir les jeunes pour les examens de concours de la Fonction publique ». Des procédures qu'il qualifie de « lourdes et handicapantes ». Car comment expliquer que ces postulants y compris ceux concernés par l'Ansej doivent fournir des documents d'état civil sans importance avec la nature de leurs activités. Mohamed El Ghazi promet de rendre « la tâche plus facile » aux futurs candidats aux examens des concours de la Fonction publique. Idem pour les dossiers liés à l'investissement qui relèvent du parcours du combattant pour les futurs investisseurs. Là, il y a l'urgence d'alléger le nombre de documents qui parfois frôlent la vingtaine et retardent donc les investisseurs dans leurs projets. Pour ce qui est de la réforme de l'état civil au sein des communes, c'est un axe qui est cerné aujourd'hui dans le code communal.