Ces tentatives se répètent de manière sporadique à Ceuta et Melilla, les deux seules frontières terrestres entre le continent africain et l'Europe, mettant l'Espagne, parmi les pays européens, en première ligne face à l'immigration clandestine. Les centres d'accueil de Ceuta et Melilla sont largement surpeuplés. A Melilla, le Centre d'accueil temporaire des immigrants (Ceti) abrite le double de sa capacité (480 places prévues à l'origine) et celui de Ceuta, prévu pour 512 personnes, en accueille 750. Ces tentatives se répètent de manière sporadique à Ceuta et Melilla, les deux seules frontières terrestres entre le continent africain et l'Europe, mettant l'Espagne, parmi les pays européens, en première ligne face à l'immigration clandestine. Les centres d'accueil de Ceuta et Melilla sont largement surpeuplés. A Melilla, le Centre d'accueil temporaire des immigrants (Ceti) abrite le double de sa capacité (480 places prévues à l'origine) et celui de Ceuta, prévu pour 512 personnes, en accueille 750. Parallèlement, les immigrants tentent leur chance par la voie maritime et traversent le détroit de Gibraltar, séparant le Maroc de l'Espagne, sur des canots pneumatiques pour atteindre les côtes. Lundi, près de 200 d'entre eux avaient été récupérés par les services de secours alors qu'ils tentaient de rejoindre plusieurs points de la côte. Douze de ces immigrants sont portés disparus. Parallèlement, les immigrants tentent leur chance par la voie maritime et traversent le détroit de Gibraltar, séparant le Maroc de l'Espagne, sur des canots pneumatiques pour atteindre les côtes. Lundi, près de 200 d'entre eux avaient été récupérés par les services de secours alors qu'ils tentaient de rejoindre plusieurs points de la côte. Douze de ces immigrants sont portés disparus.