Les exportations algériennes hors hydrocarbures devraient réaliser, en 2013, un taux de croissance oscillant entre 20 et 25%, selon le président de l'Association nationale des exportateurs algériens (Anexal), Ali Bey Nasri. Intervenant au cours d'une journée d'étude consacrée à la promotion des exportations hors hydrocarbures, organisée au musée du moudjahid de la ville de Mila, M. Nasri a indiqué que les exportations algériennes hors hydrocarbures ont atteint 1,4 milliard de dollars au 1er semestre 2013. Il a souligné que ce montant est appelé à atteindre, à la fin de l'année, les 2,5 milliards de dollars, contre 2,1 milliards de dollars en 2012. Les exportations algériennes hors hydrocarbures devraient réaliser, en 2013, un taux de croissance oscillant entre 20 et 25%, selon le président de l'Association nationale des exportateurs algériens (Anexal), Ali Bey Nasri. Intervenant au cours d'une journée d'étude consacrée à la promotion des exportations hors hydrocarbures, organisée au musée du moudjahid de la ville de Mila, M. Nasri a indiqué que les exportations algériennes hors hydrocarbures ont atteint 1,4 milliard de dollars au 1er semestre 2013. Il a souligné que ce montant est appelé à atteindre, à la fin de l'année, les 2,5 milliards de dollars, contre 2,1 milliards de dollars en 2012. M. Nasri, qui a mis en exergue "l'importance d'une stratégie nationale pour la promotion des exportations", a précisé que le pays possède des "qualifications" et des "capacités financières" à même "de dynamiser les exportations hors hydrocarbures", estimant au passage que "les lenteurs dans l'application des mesures sont une forme d'entrave aux objectifs tracés". Les participants à cette rencontre, organisée à l'initiative de la chambre de commerce et d'industrie (CCI Beni-Haroun), ont également évoqué "la volonté politique" du gouvernement visant à promouvoir les exportations hors hydrocarbures, soulignant le grand progrès enregistré par les services des Douanes dans la gestion des exportations. Smail Souiaidi, exportateur établi à Mila a estimé que la qualité de la production locale demeure aussi une raisons entravant les exportations, aux côtés, a-t-il poursuivi "du déficit dans les moyens de transports" et de "l'absence, dans les ports, de structures pour le stockage des produits périssables". Il a d'autre part considéré que les banques "ne favorisent pas les initiatives d'exportation", les domiciliations bancaires liées aux procédures d'exportation étant, selon lui, difficiles dans les agences bancaires de la wilaya de Mila. D'autres participants se sont étalés sur "les opportunités offertes" en matière d'exportation de produits naturels citant, entre autres, le thym et autres plantes à vertus thérapeutiques. Le président-directeur général de la Compagnie algérienne d'assurance et de garantie des exportations (Cagex), Djilali Tariket, a traité de "l'apport de la concertation et de la conjugaison des efforts" pour faire décoller l'exportation hors hydrocarbures. S'attardant sur l'évolution constante, d'année en année, des exportateurs affilés à la Cagex, M. Tariket a cité le chiffre de 300 exportateurs, clients réguliers de ses services, avant de souligner que la Cagex œuvre à accompagner ces exportateurs à travers des "contrats de garantie liés aux opérations de commerce extérieur". Pour sa part, le président de la CCI Beni-Haroun, Abdennacer Benhocine, puisant dans les statistiques, a indiqué que le montant des exportations hors hydrocarbures dans la wilaya de Mila, orientées essentiellement dans l'exportation d'escargots et d'oignon sauvage, a atteint en 2012, la somme de 1,3 million d'euros. Le wali de Mila, Abderahmane Keddid, a souligné de son côté "l'importance de créer un environnement adéquat" pour l'investissement et l'exportation hors hydrocarbures. Il a fait part dans ce contexte de "l'impact des pratiques bureaucratiques qui entravent les efforts consentis en la matière par l'Etat et les opérateurs économiques". M. Nasri, qui a mis en exergue "l'importance d'une stratégie nationale pour la promotion des exportations", a précisé que le pays possède des "qualifications" et des "capacités financières" à même "de dynamiser les exportations hors hydrocarbures", estimant au passage que "les lenteurs dans l'application des mesures sont une forme d'entrave aux objectifs tracés". Les participants à cette rencontre, organisée à l'initiative de la chambre de commerce et d'industrie (CCI Beni-Haroun), ont également évoqué "la volonté politique" du gouvernement visant à promouvoir les exportations hors hydrocarbures, soulignant le grand progrès enregistré par les services des Douanes dans la gestion des exportations. Smail Souiaidi, exportateur établi à Mila a estimé que la qualité de la production locale demeure aussi une raisons entravant les exportations, aux côtés, a-t-il poursuivi "du déficit dans les moyens de transports" et de "l'absence, dans les ports, de structures pour le stockage des produits périssables". Il a d'autre part considéré que les banques "ne favorisent pas les initiatives d'exportation", les domiciliations bancaires liées aux procédures d'exportation étant, selon lui, difficiles dans les agences bancaires de la wilaya de Mila. D'autres participants se sont étalés sur "les opportunités offertes" en matière d'exportation de produits naturels citant, entre autres, le thym et autres plantes à vertus thérapeutiques. Le président-directeur général de la Compagnie algérienne d'assurance et de garantie des exportations (Cagex), Djilali Tariket, a traité de "l'apport de la concertation et de la conjugaison des efforts" pour faire décoller l'exportation hors hydrocarbures. S'attardant sur l'évolution constante, d'année en année, des exportateurs affilés à la Cagex, M. Tariket a cité le chiffre de 300 exportateurs, clients réguliers de ses services, avant de souligner que la Cagex œuvre à accompagner ces exportateurs à travers des "contrats de garantie liés aux opérations de commerce extérieur". Pour sa part, le président de la CCI Beni-Haroun, Abdennacer Benhocine, puisant dans les statistiques, a indiqué que le montant des exportations hors hydrocarbures dans la wilaya de Mila, orientées essentiellement dans l'exportation d'escargots et d'oignon sauvage, a atteint en 2012, la somme de 1,3 million d'euros. Le wali de Mila, Abderahmane Keddid, a souligné de son côté "l'importance de créer un environnement adéquat" pour l'investissement et l'exportation hors hydrocarbures. Il a fait part dans ce contexte de "l'impact des pratiques bureaucratiques qui entravent les efforts consentis en la matière par l'Etat et les opérateurs économiques".