Le Festival international de la musique diwane d'Alger, dont la 6e édition se déroule actuellement à la salle Ibn-Zeydoun, "permet de mettre en lumière le patrimoine national, spécifiquement ce genre musical, sur la scène nationale et internationale", a affirmé l'artiste Souad Asla. Le Festival international de la musique diwane d'Alger, dont la 6e édition se déroule actuellement à la salle Ibn-Zeydoun, "permet de mettre en lumière le patrimoine national, spécifiquement ce genre musical, sur la scène nationale et internationale", a affirmé l'artiste Souad Asla. "La musique Diwane est sans doute la plus authentique de tout le Maghreb, par rapport à ses variantes maghrébines (gnaoui, stambali et stambouli)", a-t-elle indiqué dans un entretien téléphonique à l'APS. "Les adeptes de cet art musical et chorégraphique des différentes régions du pays ont su préserver les mélodies et les rythmes légués par les anciens comme un vrai trésor, mais encore de nombreux efforts restent à faire dans ce sens", a-t-elle souligné. "Parlant de ses projets professionnels, Souad Asla, qui vit actuellement en France et présentée comme la "princesse du diwan", déclaré qu'ils "visent à élargir le cadre des ateliers chants et danses du Sud algérien que j'encadre depuis quelques années dans ce pays européen, en amenant mes disciples à la source musicale de mon pays". "En marge de ces ateliers, je travaille avec Hasna El-Bacharia pour la concrétisation de son troisième album", signale cette artiste native de Béchar. S'agissant de son dernier album Awal, qui comprend onze chansons fruits de compositions personnelles de la chanteuse dont la voix sied au style diwane, elle a fait état des efforts qu'elle déploie pour qu'il soit distribué prochainement en Algérie. Souad Asla dont le répertoire des chansons est puisé dans la tradition diwane, signale que la musique et la danse diwanes sont pour elle "la vibration qui relie l'âme, le corps et la société". En ce sens, "elles sont guérisseuses", a-t-elle ajouté. Ayant vécu une grande partie de sa jeunesse à Béchar, capitale nationale du diwane et carrefour de rencontres des cultures algériennes et subsahariennes, l'artiste, qui a animé plusieurs concerts en Algérie, Maroc, France et dans d'autres pays européens, aborde dans ses chansons en plus des Bordj Diwane, des sujets engagés contre l'oppression, la Palestine et bien d'autres thèmes liés à l'adversité dans la vie, comme est le cas de la plupart des textes du répertoire diwane. "La musique Diwane est sans doute la plus authentique de tout le Maghreb, par rapport à ses variantes maghrébines (gnaoui, stambali et stambouli)", a-t-elle indiqué dans un entretien téléphonique à l'APS. "Les adeptes de cet art musical et chorégraphique des différentes régions du pays ont su préserver les mélodies et les rythmes légués par les anciens comme un vrai trésor, mais encore de nombreux efforts restent à faire dans ce sens", a-t-elle souligné. "Parlant de ses projets professionnels, Souad Asla, qui vit actuellement en France et présentée comme la "princesse du diwan", déclaré qu'ils "visent à élargir le cadre des ateliers chants et danses du Sud algérien que j'encadre depuis quelques années dans ce pays européen, en amenant mes disciples à la source musicale de mon pays". "En marge de ces ateliers, je travaille avec Hasna El-Bacharia pour la concrétisation de son troisième album", signale cette artiste native de Béchar. S'agissant de son dernier album Awal, qui comprend onze chansons fruits de compositions personnelles de la chanteuse dont la voix sied au style diwane, elle a fait état des efforts qu'elle déploie pour qu'il soit distribué prochainement en Algérie. Souad Asla dont le répertoire des chansons est puisé dans la tradition diwane, signale que la musique et la danse diwanes sont pour elle "la vibration qui relie l'âme, le corps et la société". En ce sens, "elles sont guérisseuses", a-t-elle ajouté. Ayant vécu une grande partie de sa jeunesse à Béchar, capitale nationale du diwane et carrefour de rencontres des cultures algériennes et subsahariennes, l'artiste, qui a animé plusieurs concerts en Algérie, Maroc, France et dans d'autres pays européens, aborde dans ses chansons en plus des Bordj Diwane, des sujets engagés contre l'oppression, la Palestine et bien d'autres thèmes liés à l'adversité dans la vie, comme est le cas de la plupart des textes du répertoire diwane.