Neuf mois après le terrible assassinat de Chaïma, son assassin a été enfin arrêté, avant-hier, par les gendarmes de la compagnie de Zéralda appuyés par ceux de la brigade de recherches de Bab Djdid. L'annonce a été saluée par les citoyens qui ont amplement applaudi le grand travail accompli par la Gendarmerie nationale. Neuf mois après le terrible assassinat de Chaïma, son assassin a été enfin arrêté, avant-hier, par les gendarmes de la compagnie de Zéralda appuyés par ceux de la brigade de recherches de Bab Djdid. L'annonce a été saluée par les citoyens qui ont amplement applaudi le grand travail accompli par la Gendarmerie nationale. Le présumé assassin de la petite Chaïma, enlevée et retrouvée morte, faut-il le rappeler en décembre 2012, a été enfin identifié, localisé et arrêté par les gendarmes de Zéralda suite à un travail «chirurgical» basé sur le renseignement. C'est-ce qu'a dévoilé hier le commandant Belkacem Ben Hamamouch de la compagnie de Zéralda. Il s'agit d'un jeune maçon âgé de 30 ans, un vieux voisin, né à Ain Defla, expliquent les gendarmes. En effet, le commandant Ben Hamamouch accompagné, lors d'un point de presse animé au siège de la compagnie de Zéralda par le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud, chargé de la communication au sein de la Gendarmerie nationale, a dévoilé les circonstances de l'interpellation du présumé assassin de Chaïma. « Nous avons reçu des renseignements sûrs tirés de l'enquête que nous menions depuis neuf mois à partir desquels nous avons pu localiser, enfin, le présumé assassin de la jeune fillette de 8 ans. Selon ces renseignements, l'auteur qui était en fuite depuis le tragique évènement se trouvait, durant la journée d'avant-hier, chez ses parents, dont la maison se trouve à Zéralda. C'était à ce moment là que nous avons déclenché, très vite, un plan d'assaut où plusieurs centaines de gendarmes ont été mobilisés », explique le commandant Belkacem Ben Hamamouch. Il ajoute : « Après avoir bouclé toutes les issues menant vers Mahelma avec la mobilisation d'un grand dispositif sécuritaire autour des routes donnant l'accès à Mahelma, les lieux où le fugitif pourrait prendre route pour fuir, mais aussi les quartiers où le présumé pourrait se réfugier, nous avons, par la suite, encerclé la maison parentale de ce dernier. Ici, nous avons entamé une série de négociations avec le présumé assassin qui a duré plusieurs heures, toutefois il a refusé de se livrer aux gendarmes. C'est ainsi que nous avons lui demandé, à trois reprises, d'abandonner et de se livrer, cependant il a continué à refuser, puis quelques minutes après il est sorti de la fenêtre tout en allant vers un mur qui donne accès à une maison en construction. En escaladant, le fugitif a réussi tout de même à regagner la maison de son voisin, toutefois les gendarmes le guettaient ici, alors il a été maîtrisé après quelques minutes de résistance ». Emmené par la suite vers le siège de la compagnie de Zéralda, le présumé assassin a fini par avouer son acte barbare lors de son interrogatoire avec les gendarmes. Pis, il a expliqué aussi qu'une histoire d'argent, entre lui et le père de la fillette est derrière cette affaire. Décembre 2012 : la perquisition du domicile qui a tout dévoilé Lors de son intervention, le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud a révélé que durant le premier mois de l'enquête dans le cadre de cette affaire, les gendarmes ont perquisitionné le domicile du présumé assassin de Chaïma. Lors de cette perquisition, les gendarmes ont trouvé le pantalon de l'auteur dissimulé dans sa chambre, où des traces de sang ont été découvertes. Après avoir procédé aux prélèvements des taches de sang, les gendarmes experts de l'INCC ont pu identifier que le sang serait de Chaïma. Il ajoute : « C'était là le tout début de l'enquête, cela sans compter les quatre prélèvements tirés de la scène de crime. Mieux, lors de l'enquête, ce présumé a été arrêté et entendu par les gendarmes, toutefois durant ce moment nous n'avions pas encore les preuves solides en mains qui nous permettaient de l'interpeller, alors nous l'avions libéré ». En fait, durant les mois passés les gendarmes ont redoublé leurs efforts en vue d'arrêter l'auteur de l'assassinat de Chaima. D'un chantier à un autre,le fugitif tentait de fuir la justice La traque lancée contre l'assassin de Chaïma a duré neuf mois. Durant toute cette période, le fugitif se trouvait d'une wilaya à une autre, d'un chantier à un autre, chez un ami et un autre. Durant neuf mois, le jeune maçon a bénéficié d'une aide précieuse de ses amis, hébergé dans chaque wilaya comme s'il était un héros pour eux. Pourtant, il s'agit de l'assassin d'une fillette qui n'avait même pas bouclé ses 8 ans. Il s'est réfugié chez ses amis à Tipaza, Aïn Defla, Boufarik, Ben Chaâbane, Blida, Médéa, Chlef et Alger où il a bénéficié d'un hébergement sécurisé et loin des gendarmes. Il circulait avec deux fausses cartes d'identité, la première volée chez un citoyen résidant à Aïn Bénian et la seconde volée à Zéralda, également, appartenant à un citoyen. Toutefois, sa cavale a pris fin, avant-hier, à Zéralda, dans la demeure de ses parents. Revenons sur ce triste jour, voire le jour où Chaïma a été froidement tuée par son kidnappeur. La manière avec laquelle la petite Chaïma a été tuée par son voisin est atroce. Suite à son enlèvement le 21 décembre 2012, Chaïma a été emmenée de force par son ravisseur, à savoir son voisin âgé de 30 ans. Ici, elle sera gardée dans un endroit secret et c'est là que son ravisseur l'a tabassé, agressé sexuellement avant d'être étranglée jusqu'à l'étouffement et durant trois longues minutes avec un tissu de la part de son assassin. Le présumé assassin de la petite Chaïma, enlevée et retrouvée morte, faut-il le rappeler en décembre 2012, a été enfin identifié, localisé et arrêté par les gendarmes de Zéralda suite à un travail «chirurgical» basé sur le renseignement. C'est-ce qu'a dévoilé hier le commandant Belkacem Ben Hamamouch de la compagnie de Zéralda. Il s'agit d'un jeune maçon âgé de 30 ans, un vieux voisin, né à Ain Defla, expliquent les gendarmes. En effet, le commandant Ben Hamamouch accompagné, lors d'un point de presse animé au siège de la compagnie de Zéralda par le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud, chargé de la communication au sein de la Gendarmerie nationale, a dévoilé les circonstances de l'interpellation du présumé assassin de Chaïma. « Nous avons reçu des renseignements sûrs tirés de l'enquête que nous menions depuis neuf mois à partir desquels nous avons pu localiser, enfin, le présumé assassin de la jeune fillette de 8 ans. Selon ces renseignements, l'auteur qui était en fuite depuis le tragique évènement se trouvait, durant la journée d'avant-hier, chez ses parents, dont la maison se trouve à Zéralda. C'était à ce moment là que nous avons déclenché, très vite, un plan d'assaut où plusieurs centaines de gendarmes ont été mobilisés », explique le commandant Belkacem Ben Hamamouch. Il ajoute : « Après avoir bouclé toutes les issues menant vers Mahelma avec la mobilisation d'un grand dispositif sécuritaire autour des routes donnant l'accès à Mahelma, les lieux où le fugitif pourrait prendre route pour fuir, mais aussi les quartiers où le présumé pourrait se réfugier, nous avons, par la suite, encerclé la maison parentale de ce dernier. Ici, nous avons entamé une série de négociations avec le présumé assassin qui a duré plusieurs heures, toutefois il a refusé de se livrer aux gendarmes. C'est ainsi que nous avons lui demandé, à trois reprises, d'abandonner et de se livrer, cependant il a continué à refuser, puis quelques minutes après il est sorti de la fenêtre tout en allant vers un mur qui donne accès à une maison en construction. En escaladant, le fugitif a réussi tout de même à regagner la maison de son voisin, toutefois les gendarmes le guettaient ici, alors il a été maîtrisé après quelques minutes de résistance ». Emmené par la suite vers le siège de la compagnie de Zéralda, le présumé assassin a fini par avouer son acte barbare lors de son interrogatoire avec les gendarmes. Pis, il a expliqué aussi qu'une histoire d'argent, entre lui et le père de la fillette est derrière cette affaire. Décembre 2012 : la perquisition du domicile qui a tout dévoilé Lors de son intervention, le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud a révélé que durant le premier mois de l'enquête dans le cadre de cette affaire, les gendarmes ont perquisitionné le domicile du présumé assassin de Chaïma. Lors de cette perquisition, les gendarmes ont trouvé le pantalon de l'auteur dissimulé dans sa chambre, où des traces de sang ont été découvertes. Après avoir procédé aux prélèvements des taches de sang, les gendarmes experts de l'INCC ont pu identifier que le sang serait de Chaïma. Il ajoute : « C'était là le tout début de l'enquête, cela sans compter les quatre prélèvements tirés de la scène de crime. Mieux, lors de l'enquête, ce présumé a été arrêté et entendu par les gendarmes, toutefois durant ce moment nous n'avions pas encore les preuves solides en mains qui nous permettaient de l'interpeller, alors nous l'avions libéré ». En fait, durant les mois passés les gendarmes ont redoublé leurs efforts en vue d'arrêter l'auteur de l'assassinat de Chaima. D'un chantier à un autre,le fugitif tentait de fuir la justice La traque lancée contre l'assassin de Chaïma a duré neuf mois. Durant toute cette période, le fugitif se trouvait d'une wilaya à une autre, d'un chantier à un autre, chez un ami et un autre. Durant neuf mois, le jeune maçon a bénéficié d'une aide précieuse de ses amis, hébergé dans chaque wilaya comme s'il était un héros pour eux. Pourtant, il s'agit de l'assassin d'une fillette qui n'avait même pas bouclé ses 8 ans. Il s'est réfugié chez ses amis à Tipaza, Aïn Defla, Boufarik, Ben Chaâbane, Blida, Médéa, Chlef et Alger où il a bénéficié d'un hébergement sécurisé et loin des gendarmes. Il circulait avec deux fausses cartes d'identité, la première volée chez un citoyen résidant à Aïn Bénian et la seconde volée à Zéralda, également, appartenant à un citoyen. Toutefois, sa cavale a pris fin, avant-hier, à Zéralda, dans la demeure de ses parents. Revenons sur ce triste jour, voire le jour où Chaïma a été froidement tuée par son kidnappeur. La manière avec laquelle la petite Chaïma a été tuée par son voisin est atroce. Suite à son enlèvement le 21 décembre 2012, Chaïma a été emmenée de force par son ravisseur, à savoir son voisin âgé de 30 ans. Ici, elle sera gardée dans un endroit secret et c'est là que son ravisseur l'a tabassé, agressé sexuellement avant d'être étranglée jusqu'à l'étouffement et durant trois longues minutes avec un tissu de la part de son assassin.