Des professeurs de l'enseignement secondaire et technique ont observé hier un sit-in devant l'annexe du ministère de l'Education nationale à Alger pour réclamer l'amélioration de leur situation socioprofessionnelle, à l'appel du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest). Des professeurs de l'enseignement secondaire et technique ont observé hier un sit-in devant l'annexe du ministère de l'Education nationale à Alger pour réclamer l'amélioration de leur situation socioprofessionnelle, à l'appel du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest). Les protestataires demandent au ministère de l'Education nationale de "mettre un terme aux agissements de certains membres de l'administration" et de "corriger les dysfonctionnements qui en résultent", selon le coordinateur national du Cnapest, Nouar Larbi. Le Cnapest a remis au ministère "un rapport circonstancié sur ces agissements, sans qu'aucune mesure ne soit prise à cet effet", a-t-il regretté. Ce sit-in intervient en l'absence d'un dialogue sérieux avec le ministère de l'Education nationale, a-t-il ajouté, précisant que la tutelle "n'a toujours pas arrêté de calendrier pour l'application de la plateforme de revendications qui lui a été soumise". Les revendications du Cnapest concernent la révision du statut des travailleurs de l'éducation, la réhabilitation des anciens enseignants privés de promotion faute de diplôme universitaire, le dossier de la médecine du travail, le logement et la prime de zone, a-t-il précisé. Il faut dire qu'un mouvement de grève est entamé par les professeurs de l'éducation nationale et ceci depuis lundi dernier. La grève initiée par le Cnapest a été suivie, au deuxième jour, à 06,80 % dans tous les établissements scolaires, selon les chiffres avancés par le ministère de l'Education nationale alors que le syndicat fait état de plus de 85 % de taux de suivi dans le cycle secondaire. Selon les chiffres du ministère, la grève a été suivie à 24,18 % dans le secondaire et à 1,42 % dans les établissementsd'enseignement moyen. Le taux de suivi de la grève dans les écoles primaires est d'à peine 0,24%. Le ministère a affirmé de nouveau que les portes du dialogue restaient ouvertes à tous les partenaires sociaux en vue de garantir la stabilité socio-professionnelle et pédagogique de tous. De son côté, le Cnapest a assuré par la voix de son secrétaire national chargé de la communication Messaoud Boudiba, que le taux de suivi de la grève était de 85% dans le secondaire, 30 % au cycle moyen et 15 % dans les établissements primaires. M. Boudiba a affirmé qu'il n y avait pas de contacts avec la tutelle soulignant la determination du syndicat à poursuivre la grève jusqu'à satisfaction des revendications soulevées. Le Cnapest avait appelé à une grève nationale pour exiger le règlement de certaines questions socioprofessionnelles relatives notamment à l'amendement des statuts particuliers des travailleurs de l'Education, la réhabilitation des anciens enseignants exclus des promotions faute de diplômes et d'autres liés à la médecine du travail, et la prime de zone. Les protestataires demandent au ministère de l'Education nationale de "mettre un terme aux agissements de certains membres de l'administration" et de "corriger les dysfonctionnements qui en résultent", selon le coordinateur national du Cnapest, Nouar Larbi. Le Cnapest a remis au ministère "un rapport circonstancié sur ces agissements, sans qu'aucune mesure ne soit prise à cet effet", a-t-il regretté. Ce sit-in intervient en l'absence d'un dialogue sérieux avec le ministère de l'Education nationale, a-t-il ajouté, précisant que la tutelle "n'a toujours pas arrêté de calendrier pour l'application de la plateforme de revendications qui lui a été soumise". Les revendications du Cnapest concernent la révision du statut des travailleurs de l'éducation, la réhabilitation des anciens enseignants privés de promotion faute de diplôme universitaire, le dossier de la médecine du travail, le logement et la prime de zone, a-t-il précisé. Il faut dire qu'un mouvement de grève est entamé par les professeurs de l'éducation nationale et ceci depuis lundi dernier. La grève initiée par le Cnapest a été suivie, au deuxième jour, à 06,80 % dans tous les établissements scolaires, selon les chiffres avancés par le ministère de l'Education nationale alors que le syndicat fait état de plus de 85 % de taux de suivi dans le cycle secondaire. Selon les chiffres du ministère, la grève a été suivie à 24,18 % dans le secondaire et à 1,42 % dans les établissementsd'enseignement moyen. Le taux de suivi de la grève dans les écoles primaires est d'à peine 0,24%. Le ministère a affirmé de nouveau que les portes du dialogue restaient ouvertes à tous les partenaires sociaux en vue de garantir la stabilité socio-professionnelle et pédagogique de tous. De son côté, le Cnapest a assuré par la voix de son secrétaire national chargé de la communication Messaoud Boudiba, que le taux de suivi de la grève était de 85% dans le secondaire, 30 % au cycle moyen et 15 % dans les établissements primaires. M. Boudiba a affirmé qu'il n y avait pas de contacts avec la tutelle soulignant la determination du syndicat à poursuivre la grève jusqu'à satisfaction des revendications soulevées. Le Cnapest avait appelé à une grève nationale pour exiger le règlement de certaines questions socioprofessionnelles relatives notamment à l'amendement des statuts particuliers des travailleurs de l'Education, la réhabilitation des anciens enseignants exclus des promotions faute de diplômes et d'autres liés à la médecine du travail, et la prime de zone.